Miguel Benasayag

mes parents m’ont offert pour un de mes anniversaires. Mes pieds n’atteignaient pas les pédales. J’ai commencé à me consacrer beaucoup plus au cyclisme vers l’âge 15 ans. Quelles étaient tes idoles quand tu étais jeune ? Je suis un grand fan de Miguel Indurain Larray, j'adorais aussi voir courir « El Chaba ». (Plus connu sous le nom de José-Maria Jimenez.) Parlons de ta vie en dehors du cyclisme. Comment occupes-tu tes temps libre ? J’aime beaucoup les nouvelles technologies en ce moment je passe

Littératures et philosophies : Le XVI ème siècle est un grand tournant de la littérature et de la philosophie, cette période marque le début de l'imprimerie, créée au XVème par Gutenberg, les livres peuvent être recopiés et donc conservés dans les bibliothèques. Les premiers livres sont appelés les incunables. Ce ne sont que des livres religieux et des Bibles. Il y avait les moines copistes, maintenant il y a les imprimeries, une sorte de nouveau moyen de réécrire les ouvrages. L'écrivain français

droit à l'université de Salamanque. Sans négliger la jurisprudence, il commence à écrire et compose des letrillas, et se rend vite compte que sa véritable vocation est la littérature. Il se fait très vite connaître, et n'a que vingt-trois ans lorsque Miguel de Cervantes parle de lui avec éloge dans La Galatea parue en 1585, disant que ses vers « réjouissent et enchantent le monde entier » et le qualifiant de « génie sans pareil ». En 1613, il compose les Solitudes, à l'origine divisée en quatre longs

même distinguer, sur la lance de Don Quichotte la signature de l'auteur du monument, Pedro Requejo. On peut voir plusieurs lignes verticales qui nous donnent une sensation de stabilité. Il s’agit de deux personnages fictifs de l'auteur espagnol Miguel de Cervantes qui vécut au XVIème siècle, c’est pour cela qu’on trouve ces statues en face du Musée qui lui est dédié dans sa ville natale. Ces sculptures s'inscrivent parfaitement dans notre thème d’histoire des arts : Rupture et Continuité.

Les mines d’argent du Potosi Introduction Ce qui anime les conquistadores à se lancer dans l’aventure coloniale en Amérique latine, c’est la promesse de s’enrichir rapidement d’or. Le mythe de l’Eldorado, une cité entièrement couverte d’or, diffusé et exagéré par les Indiens sous la torture, avive leur avidité mercantiliste. Des expéditions se multiplient vers les contrées inconnues et la conquête espagnole se poursuit toujours plus au Sud. A la suite de la conquête du Pérou par Pizarro

Quichotte" de Cervantes arriva en première position après avoir été sélectionné deux fois plus souvent que les autres livres. Découvrez ces écrits qui ont laissé une trace dans l'histoire de la littérature. • • • • • • • • • • Don Quichotte, Miguel de Cervantes Saavedra Le Monde s'effondre, Chinua Achebe Les Contes d'Andersen Orgueil et préjugés, Jane Austen Le Père Goriot, Honoré de Balzac L'Innommable, Samuel Beckett Malone meurt, Samuel Beckett Molloy, Samuel Beckett Le Décaméron, Jean Boccace

Vivre tous simplement pour que tous puissent simplement vivre. “Citation : Gandhi„ Penser, c'est parler avec soi-même. “Citation : Miguel de Unamuno - Le sentiment tragique de la vie„ La conscience est cette petite voix douce qui, parfois, résonne trop fort à notre goût. “Citation : Bert Murray„ Comment savez-vous si la Terre n'est pas l'enfer d'une autre planète ? “Citation : Aldous Huxley„ Ce n'est pas Dieu qui a créé l'homme : c'est l'homme qui a créé

CORRALES: Durant le Siècle d'or, le théâtre prend une importance extraordinaire en Espagne, avec des auteurs majeurs tels que Lope de Vega, Cervantes et Pedro Calderón de la Barca. De nouveaux modes de représentation apparaissent. Toutes les pièces de théâtre profanes sont appelées « comedias », bien qu’elles couvrent trois genres : la tragédie, le drame, et la comédie proprement dite. Avant la fin du XVIe siècle, il n’y avait pas de bâtiments spécifiquement dédiés au théâtre en Espagne. Les

dans la mesure où nous sommes parfois nostalgique d'une illusion perdue - comme on pourrait l'être face aux enfants croyant encore au père noël -, que nous pouvons même dans certains cas envier l'illusion d'un autre : en effet, l' Alonso Quichano de Miguel de Cervantes, passionné par les livres de chevalerie, s'illusionnera en se prenant pour le célèbre Don Quichotte dont la mission est de parcourir l’Espagne pour combattre le mal et protéger les opprimés, mais échappera à la vie banale qu'est celle

certain qu’au moment de sa mort il se rétracta, dit-on, et déclara que c’était lui qui l’avait inventée parce qu’il lui semblait qu’elle s’accordait et cadrait fort bien avec les aventures qu’il avait lues dans ses histoires. » (DQ, II, XXIV) In : Miguel de Cervantes Saavedra, La Galatée. Don Quichotte de la Manche, trad. par J. Canavaggio, C. Allaigre, M. Moner, Paris, Gallimard (Pléiade), 2001, p. 1079. 22 Op. cit., p. 781. 23 Cf. M. Debaisieux, Le procès du roman. Ecriture et contrefaçon