Mihrab

centrale : 25,67 m. Al-Walîd, qui souhaite montrer ici toute sa puissance, fait réaliser un édifice religieux hors norme. Les matériaux employés sont luxueux : marbre, mosaïque, lapis-lazuli. Ils contribue à rendre le décor de la mosquée majestueux (mihrab en pierres précieuses). La Grande mosquée n’est pas seulement un lieu de culte où la communauté des musulmans s’y réunit pour la prière du vendredi, sous la direction de son chef, l’imam ; c’est aussi un lieu de réunion et d’enseignement religieux

Le mihrab : élément le plus important du bâtiment, car il indique la, la direction de la Mecque, vers laquelle prient les musulmans. Le mihrab prend place sur le mur qibla. Le mihrab a en général la forme d'une niche plus ou moins profonde et plus ou moins grande. Il peut en exister plusieurs dans une même mosquée. Le minbar : chaire à prêcher. En bois ou en tout autre matériau (pierre, marbre par exemple), il se situe toujours juste à côté du mihrab.

une largeur de 3.10m ; la nef principale à 3.50m .les arcs sons portés, comme ceux des portiques de la cour, par des pieds droits ; une coupole précède le mihrab. Une porte placée à droite donne accès dans la salle des morts .quatre fenêtres éclairent la nef transversale du fond, en plus des ouvertures qui couronnent le mihrab. Mihrab une grande arcade en fer à cheval, qui forme le cadre somptueux du porche monumentale de la mosquée. Onze marches permettent l’accès à l’intérieur

CHERIF Zineb Gr :01 Groupe : 2LMD Année Universitaire : 2009/2010 Plan de travail * Introduction * Situation * Église principale * Identification * Les modifications apportées à la mosquée * La salle de prière * Le mihrab * Le minbar * Le minaret * L’intérieur de la mosquée * Conclusion * bibliographie Introduction * Isolée au milieu des vastes paysages de l'Alentejo, apparaît soudain toute blanche; mértola, dont elle a une importance

palais abandonnés des alentours. La mosquée de Cordoue est patrimoine mondial de l'UNESCO. classée au Le mihrab [6] Pour prier, les musulmans doivent se diriger vers La Mecque (ville d'Arabie, ville sainte pour les musulmans). Dans chaque mosquée se trouve donc une niche creusée dans un mur qui indique la direction. On appelle cette niche le mihrab. Mais à la mosquée de Cordoue, le mihrab n'indique pas la direction de La Mecque, mais le sud. Ce sont des ouvriers syriens qui ont construit la mosquée

configuration des palais sassanides avec une cour à iwans à l’architecture islamique religieuse (2).  Elle a introduit l’iwân comme élément identifiant et caractéristique de l’architecture des édifices publics  La maqsoura à coupole au devant du mihrab (espace de prière privé pour le sultan) (b)  La nef centrale est en continuité avec l’axe de iwân sud- ouest La mosquée du Vendredi (Masdjid al-Djumua) d’Ispahan ( IX- XVIIIe siècle) Arc d l’iwân de la salle d’audience du palais sassanide de Ctésiphon

prédynastique islamique figure à Médine la « Maison du Prophète » qui innove du point de vue du vocabulaire architectural avec l’invention du plan « arabe » préfigurant celui des mosquées et composé de : •cour à ciel ouvert, •salle de prière avec mihrab. Le plan type de la mosquée aurait été emprunté au plan de la synagogue de Doura Europos (restauré en 245 ap Jc) et du temple de Husa au Yemen (II è s av Jc) Aujourd’hui la grande mosquée de Médine s’élève sur la Maison du Prophète LES OMEYYADES

indifférenciée du lieu de la prière. Mosquées entourées de petites pierres sèches. Notion de musalla, lieu de prière : notion de mosquée aussi. Le Mihrab, niche marquant la qibla, l’orientation de la prière. Le mihrab souligne l’importance du mur, d’insister sur l’endroit où se tourner vers la prière. Il diffère des autres murs. Ce mihrab est un élément qui va apparaître dans toutes les mosquées à partir du VIII° siècle. La nécessité d’un lieu spécifique pour la prière en commun Marrakech

At-Tigani raconte qu’on utilisa pour la construction de cette mosquée des colonnes et quelques pièces en marbre finement sculpté apportés de la mosquée d’une ville jadis capitale du Cap-bon, Manzil –Bassu,qui était alors en état de ruines. Près du mihrab une inscription commémore des travaux importants réalisés en 992/1584 par les nouveaux maitres Turcs de la Tunisie dont le minbar en marbre qui à du remplacer un ancien en bois sculpté. La mosquée était alors affectée au rite hanéfite qui était le

SIDI BELLAHSSEN TLEMCEN Cette mosquée transformée en musée s’élève sur le coté ouest de la place voisine de la Grande Mosquée de Tlemcen. Celle-ci a été élevé, ainsi qu’en témoigne l’inscription gravée sur une plaque d’onyx scellée dans le mur du mihrâb, (بنى هذا المسجد الأمير أبي عامر إبراهيم إبن السلطان إبي يحيى يغمراسن إبن زيان في سنة ست و تسعين و ستمائة من بعد وفاته رحمه الله ,. Son plan se caractérise par l’absence de cour et des travées perpendiculaires à la qibla. La salle de prière est