Milady

s'arrêta après. Athos est la personne la plus réfléchi des trois mousquetaires il sais trouver les solutions dans les erreur sombres c'est lui qui va réussir à avoir la lettre du cardinal Richelieu pour sauver D'Artagnan de Milady et du cardinal. Il va aussi prévenir D'Artagnan que Milady est un femme mauvaise. Armis est un mousquetaire avec beaucoup de relation qui va donner un lieu pour se cacher à Ketty, qui va trouve une personne pour vite donner la lettre à la reine et la prévenir du complot qui se

contraire antipathiques au lecteur. Tout d'abord, Julien Sorel et Milady, décrits respectivement par Stendhal et Dumas. Tous deux sont deux jeunes gens étouffés par leur soif de vengeance : Julien envers les nobles en général, qui le méprisent ou le prennent de haut sous des airs protecteurs « ces nobles si fiers qui (…) le regardaient avec un sourire si protecteur » (l.5) et « cette femme ne peut plus me mépriser » (l.6). Et Milady envers Mme Bonacieux, Buckingham, et d'Artagnan « elle conçoit (…)

narrateur instaure-t-il une proximité avec le personnage du meurtrier (Julien, Milady, Tchen)? Le corpus est constitué de trois extraits de romans : Le Rouge et le Noir, de Stendhal publié en 1830 ; Les Trois mousquetaires de Dumas paru en 1844 et La Condition humaine de Malraux publié en 1933.Ces trois extraits mettent en scène des figures de meurtriers : Julien et Tchen commettent un assassinat, tandis que la meurtrière, Milady, est tuée. On peut se demander comment les lieux soulignent la gravité du

Rouge et le Noir de Stendhal, Les Trois Mousquetaires de Dumas et Les Misérables de Victor Hugo. Ils présentent tous un personnage central antipathique. Tout d'abord, la description physique de ces personnages laisse transparaître leur caractère : la Milady des Trois Mousquetaires use de son charme diabolique pour parvenir à ses fins ; elle se sait belle, mais cette beauté est rendue à travers tout un lexique l'assimilant au serpent, à commencer par la comparaison « comme un serpent » : elle a les «

caractéristiques d’un roman épistolaire car les différentes parties ont des narrateurs différents. Les personnages : John Herncastle : C’est lui qui vol lors de la prise de Seringapatam la pierre jaune lors de sa mission en Inde. Il est le frère de Milady, Julia Verinder (« Il avait eu en tout cinq enfants : deux fils au début de son mariage, puis, longtemps après, trois jeunes ladies […] Des deux fils, l’aîné, Arthur, hérita du titre et des biens ; le second, l’honorable John, entra dans l’armée »

l'aventure et prévient les nains. Tomes[modifier] Les Nains[modifier] Le passage de pierre, Milady, 2008, trad. Yannick Van Belleghem (ISBN 2811200010 et 9782811200015) Lame de feu, Millady, 2008, trad. Yannick Van Belleghem (ISBN 9782811200305) La guerre des nains[modifier] Le secret de l'eau noire, Milady, 2009, trad. Joël Falcoz (ISBN 2811200797 et 9782811200794) Les êtres de feu, Milady, 2009, trad. Joël Falcoz (ISBN 2811201262 et 9782811201265) La revanche des nains[modifier] Le diamant

27, « le reflet d'un nuage pâle » ligne 29, « les personnages se dessinaient en noir » ligne 31, « un rayon de la Lune » lignes 37 et 38. Ces compléments amplifient la gravité de cette scène d'exécution de Milady, car elle se déroule la nuit, près d'une rivière, avec les ennemis de Milady, ainsi on peut en conclure que cette exécution n'est pas déclarée, qu'elle se fait en petit comité et qu'elle est cachée de la vue de tout le monde. Elle ne se déroule donc pas normalement, car à cette époque

confrontant les textes. Tout d’abord, l’extrait de Les trois Mousquetaires, met en scène Milady, comme s’il s’agissait d’un tableau. En effet, Milady est un personnage féminin qui meurt, dans une mise en scène violente, c’est une exécution publique : « on entendit le sifflement du cimeterre », « y jeta la tête », ... . La mort de cette femme est également théâtralisée, de part par la disposition des personnages (Milady est entourée par les hommes, puis elle meurt de l’autre côté de la rive), par le décor

grâce à la tournure de phrase, parvient à rendre ce métier sans valeur aucune. De plus, Julien est cynique et a un égo surdimensionné : "Belle occasion [...] d'amants !" (l.19-20). Il pense uniquement à se venger, en gagnant en réputation et image. Milady, dans le texte d'Alexandre Dumas, est rendue antipathique par une animalisation assez violente : "rugissements sourds" (l.2), "mugit" (l.3), "comme un serpent fatigué" (l.18). De plus, le narrateur est partie prenante dans le texte avec la première

plaisir cruel. (Le Joker) Le deuxième Bouffon Vert Sauron Fantômas Les Dalton Exemples de personnages malfaisants : Au cinéma : Le Joker (Batman), Voldemort (Harry Potter) Dans les romans : Milady de Winter (Les trois mousquetaires) de Alexandre Dumas, le professeur Moriarty (Sherlock Holmes) de Sir Arthur Conan Doyle, Vautrin (La Comédie humaine) de Honoré de Balzac Dans les contes : Sorcières (Blanche-Neige, La Belle aux bois dormants),