Miles Kane

MILES DAVIS( 1926-1991) Biographie : Figure légendaire du Jazz, surnommé l'ange noir, le prince des ténèbres Miles Davis est reconnu par beaucoup comme l'un des plus grands génies de la musique du Xxèm siécle, il s'est essayé à tous les courants. En ce sens, il est probablement le musicien le plus évolutif, celui qui ne regarde pas derrière lui, ainsi sa musique se hisse au rang des plus « grandes ». En effet, le jazz qui été opposé à la musique classique dite sérieuse est aujourd'hui placée

à faire de lui le « Prince de Saint-Germain-des-Prés » selon les folliculaires.  En 1948 Boris présenta « le seul vrai génie du jazz », Duke Ellington, à Raymond Queneau et à Gaston Gallimard avant de servir d’intermédiaire l’année suivante entre Miles Davis, Sartre, Picasso et Juliette Gréco. Il réussit même à entraîner Charlie Parker au Club Saint-Germain-des-Prés. V . Raymond Queneau Raymond Queneau (Le Havre, 21 février 1903 - 25 octobre 1976) est un écrivain français. Il est surtout connu

résumé .Tutu (1986) Miles Davis Hommage à mr Desmond Tutu  futur archevêque anglican de Cape Town qui a eu le prix nobel de la paix en 84 « tutu »  équivalent au mot « cool » en Africain yoruba producteur Tommy Lipuma a eu l’idée du titre définitif en remplacement de «Perfect Way» a eu un succès auprès de la communauté noire d’Afrique du sud. Les titres à retenir : - Tutu (Marcus mille), 5’15 Tomaas (Miles davis, Marcus miller), 5’32 Porati (marcus Miler), 618 Miles Davis  trompette

et la grosse caisse, pistes auxquelles s’ajoute la percussion jouée (bongos, congas). À noter également au synthé, des sons de type bruitiste, comme le souffle qui fait écho à la première “pêche” et que nous retrouverons. Dès la troisième mesure, Miles Davis entame sa mélopée et introduit la suite par une longue descente. Le thème apparaît à 35’’ à la trompette avec sourdine Harmon, doublé au synthé et au saxophone soprano (joué par Marcus Miller). L’harmonie (les accords) teinte le thème de couleurs

se diversifier : Le mouvement jazz-funk : dans les années 1970, dans le prolongement du mouvement HardBop, des musiciens de jazz s'inspirent du funk. Et, le jazz-funk s'ouvre aux balbutiements de la musique électronique, du fait principalement de Miles Davis, d'Eumir Deodato et de Herbie Hancock, pianiste de jazz de formation classique, qui sort en 1973 l'album Head Hunters, son plus grand succès commercial. On peut également citer le guitariste Jeff Beck (ancien membre des Yardbirds), qui sort l'album

1. Les thèmes On retrouve dans le film Citizen Kane plusieurs thèmes dont un inévitable : l’enfance. « Rosebud » le mot mystérieux qui nous hante tout le film, dont on cherche inlassablement la signification, n’en est que la représentation. Tout commence dans un flashback où l’on voit comment Kane a été retiré à sa famille par Mr Thatcher. Alors qu’il n’avait qu’autour de 7 ans, qu’ils étaient encore qu’un jeune garçon innocent des malheurs de la vie, il jouait dans la neige

réalisateur peut filmer son sujet en plongée, en plaçant la caméra au-dessus, ou en contre-plongée, en la plaçant au-dessous, soit pour suggérer un regard vers le haut ou le bas, soit pour déformer la perspective. Filmé en contre-plongée, le héros de Citizen Kane, de Welles, paraît encore plus grand, tandis que le château de Nosferatu dans le film éponyme de Murnau ressemble à un nid d’aigle. Quand la caméra bouge lors du tournage d’une scène, il y a changement d’angle. Cadrage : organisation du cadre visible

La dame de Shanghai est un film dramatique américain en noir et blanc d‘Orson Welles sorti en 1947. Interpréter notamment par Rita Hayworth (Elsa 'Rosalie' Bannister) Orson Welles (Michael O'Hara) Everett Sloane (Arthur Bannister) Glenn Anders  (George Grisby). Michael O'Hara rencontre la splendide Elsa Bannister, qu'il sauve peu après d'une agression dans un parc. Mariée à Arthur Bannister un riche avocat âgé, ayant pas de scrupule et boiteux. Elsa trouve un travail à Michael sur le yacht de

| |1- Plan Rapproché de «  Citizen Kane » | | |Longue Focale | | |Caméra fixe | |

Dans sa version, Sarah Kane n'épargne personne et elle insiste sur le personnage d'Hippolyte qui devient le centre de l'intrigue, le jouet à consommer. Sexualité dangereuse et morbide, négligence des sentiments sans autre désir que l'affaissement, abandon de la vie. C'est un personnage sans demi-mesure. Un mortvivant impuissant devant l'état du monde. Un prince à la couronne trop lourde, cynique face à la condition humaine. Il touche au nihilisme parfait. Sarah Kane lui transmet l'amour.