Milice

jeune Iop se sentait plus fort que jamais, il appris a maîtrisé le feu avec beaucoup de finesse , et atteint très vite les plus hauts cercles. Cependant , après des mois de cohabitation pacifique , Un de ses amis lui confia qu'il était membre de la milice Bontarienne , et qu'il avait pour mission secrète d'infiltré la cité de Brâkmar. Ce fût trop pour le jeune Iop qui dégaina son épée et tua net celui qu'il avait considéré pendant plusieurs mois comme son ami. Le Iop quitta donc sa confrérie actuelle

Gandara Esteban LA RESISTANCE Sommaire  -Introduction I/ Qui s’occupe de la répression en France ? 1) La Gestapo. 2)La Milice. II/ Comment font les résistants pour résister face à la répression allemande ? (ici en Haute-Marne) 1)Les Maquis.(en Haute-Marne) 2) Les FFI.(forces française de l’Intérieur) Conclusion Introduction Le gouvernement de Vichy commandé par le Maréchal Pétain à partir du 16

intime de Zay, intitulé « Souvenirs et Solitude ». Il était publié comme un roman policier mais il passait des messages absolument politiques. Jean Zay a perdu sa vie au 20 juin en 1944. Il a été tué par l’organisation militaire de Vichy, la « Milice française ». Après sa morte, son épouse a battu, afin de rendre la justice. L’héritage de Zay était très important dans tous les domaines et accepté par tous, aussi par ses adversaires. Selon l’historien Jean Prost, « Zay était un témoin et, en même

politique. C’est alors les milices patriotique, les résistants communistes qui règnent sur les territoires libérés. Les communistes garantissent aux régions libérées la paix civique contre les représentants, entre les deux on retrouve la population. De Gaulle va partir en septembre 44 parcourir la France pour se faire connaitre de cette population et pour faire basculer la légitimité de son côté. Lorsqu’il estime qu’il est bien installé, le 28 octobre 1944, il dissout les milices patriotiques. Les communistes

d’histoire   font   penser   le   mot   «  milice  »,   l’extermination   des   races,   la   censure,   les   arrestations  en  masse. Le récit fait référence à la montée au pouvoir d’Hitler dans les années trente. Elle montre comment un état fasciste peut s’installer. Le mot « milice » est connoté. Il ne désigne pas seulement une organisation policière mais dans notre mémoire collective, il désigne la milice française, police française responsable de l’arrestation

être malades. Au milieu de l'extrait, un plan qui est filmé en contre-plongé, nous montre un bâtiment avec deux chemins de chaque côté, sur l'un les deux fillettes qui préparent leur fuite vont dans un sens et de l'autre côté, des soldats de la milice française marchent dans l'autre sens. Ce plan montre très bien l'opposition de ces personnages, ainsi que leur but. Au cours de la première moitié de l'extrait, de nombreux cris et bruits sont présents, bien qu'ils ne soient pas toujours dans le

Bientôt connu comme l'un des principaux centres de résistance du maquis, le village de Vassieux, situé sur le plateau du Vercors à environ 1100 mètres d'altitude, est l'objet d'une première opération de répression du 16 au 24 avril 1944 menée par la Milice française sous le commandement de Raoul Dagostini. Le 13 et 15 juin, les Allemands qui ont été provoqués, par le déploiement d'un immense drapeau aux couleurs de la République Libre du Vercors visible depuis la vallée

cela que certains travailleurs s’échappèrent et se constituèrent des maquis. Peu de temps après, une force policière spéciale fut chargée de faire régner l'ordre en France occupée, la Milice. Les miliciens étaient composés de Français, souvent des criminels ou des tueurs sortis des prisons. Les membres de la milice étaient détestés et poursuivis par les Français et ils étaient considérés comme des traitres qui combattaient leurs compatriotes . Les miliciens étaient là pour faire régner l’ordre et

n’hésitera pas de nous raconter la situation vécue à l’époque ,pénurie de charbon et d’aliments .situation économique difficile ,il n’hésiera pas non plus de nous montrer que les francais aussi sont partagés entre eux et une collaboration allemande par la milice francaise a lieu. La fin du film est tragique et les allemands réussisent à s’emparer des juifs clandestins du collège dénoncés par un collaborateur allemande,le prêtre responsable du college sera aussi exterminé fautif d’avoir caché les petits

encore dégrafé les rideaux de fer de sa boutique » lorsque les S.S décident d’assiéger le bourg. On constate ici comme un ‘‘viol’’ de la routine matinale des habitants par les occupants, les nazis et la milice. Le narrateur quant à lui était réveillé « depuis quatre heures » ce qui sous-entend que la milice est arrivée de nuit. Cette arrivée prématurée est d’ailleurs accentuée par les adverbes de temps « pas encore » et « déjà » que l’on retrouve à la ligne 1. Ils marquent la surprise de l’attaque, comme