Milice

attentat agit alors comme l’étincelle qui déclenche le génocide, pourtant déjà planifié. En effet, depuis deux ans auparavant, des milices sont formées : les milices Interahamwe financé par des banques françaises notamment BNP mais aussi par des hommes d’affaires rwandais qui détournent des fonds via des entreprises publiques et surtout par le régime déjà en place. Ces milices peuvent alors bénéficier d’entrainements, d’armes etc. pour préparer le génocide et l’extermination des tutsis qui règne déjà

entre les Syriens et les Israéliens dominent cette phase de la guerre. Le clan maronite des Frangié est massacré (1978-1980), les populations sont déplacées et soumises à des bombardements meurtriers, tandis que les phalangistes éliminent les autres milices chrétiennes. Le 21 juillet 1981, le Conseil de sécurité de l’O.N.U. exige un cessez-le-feu, qui sera négocié indirectement entre Palestiniens et Israéliens.  La troisième phase (1982-1983) La troisième phase est marquée par le rôle politique et

un vieux peintre du nom de Wang-Fô erre de village en village, vivant dans la misère mais dédaignant l'argent, avec pour seul compagnon son disciple, appelé Ling. Un jour où les deux dorment à même le sol dans une auberge, ils sont arrêtés par la milice et emmenés auprès de l'Empereur. Celui-ci lui annonce qu'il aura les yeux brûlés et les mains coupées, mais qu'à l'instant du « dernier repas du condamné », il devra terminer une peinture commencée dans sa jeunesse. Le vieil homme se retrouve alors

miliciens phalangistes (chrétiens maronites). Des accrochages et des représailles s'ensuivent entre Palestiniens et Phalangistes. Cet évènement marque le début de la guerre du Liban qui durera 15 ans. Avril 75-janvier 1976 : les combats opposent les milices chrétiennes conservatrices aux palestino-progressistes (Palestiniens et gauche libanaise). La Syrie soutient ces derniers, tout en proclamant sa neutralité. Juin 1976 : renversement d'alliance de la Syrie qui envoie des troupes au Liban à la demande

entre chrétiens et Palestiniens. Un chrétien meurt et ainsi, en représailles des miliciens phalangistes attaquent un autocar palestinien traversant la zone, faisant 27 morts parmi les passagers. Jusqu’en septembre 1976 : Deux camps vont s’affronter Milices chrétiennes (principalement maronites) La « ligne verte » sépare l’Est chrétien de l’Ouest musulman, ressemblant chaque jour un peu plus à un terrain vague. Septembre 1975 : Les phalangistes détruisent, au cœur du centre-ville, des ruelles

conduit à une guerre asymétrique impliquant plusieurs groupes d'insurgés, des milices, des membres d'Al-Qaida, l'armée américaine et les forces du nouveau gouvernement irakien. La guérilla irakienne est menée côté sunnite, principalement par l'Armée islamique en Irak, par les baasistes de l'Armée des hommes de la Naqshbandiyya et par les djihadistes d'Al-Qaïda en Irak qui forment en 2006 l'État islamique d'Irak. Plusieurs milices chiites sont également constituées, la principale étant l'Armée du Mahdi

Depuis leur prise de pouvoir en mars 2013, les milices de la Séléka ont été responsables de violations massives des droits de l'homme. Ils ont massacré, violé, torturé, exécuté, et incendié des centaines de villages. Près d'un cinquième de la population a dû fuir et vit dans des conditions désastreuses dans des camps de déplacés ou dans la brousse. En septembre, les milices anti-balaka (principalement chrétiennes) ont entamé des représailles contre la communauté musulmane. Massacres, exécutions

centre d'opérations spéciales interforces, professionnels/milice -L'état-major du commandement des forces spéciales, professionnels/milice 2.1.2) Élément d'engagement : -Le détachement de reconnaissance de l'armée 10, (DRA 10), professionnels -Le détachement spécial de la police militaire, (dét spéc PM), professionnels -Les bataillons de grenadiers 20,30 et 40 , milice -La compagnie d'éclaireurs parachutistes 17, milice 2.1.3 ) Élément d'instruction : -Le centre

de plus en plus nette au fur et à mesure que la guerre avance. Des exemples : Le gouvernement de Vichy encourage les Français à aller travailler en Allemagne. Il encourage les français à dénoncer les résistants : la milice créée en 1943 aide les Allemands à les arrêter. Milice = police qui participe à la chasse aux résistants aux cotés des Allemands. Il entretient dans le pays un climat de soumission, d’obéissance à l’occupant. Vichy est un régime d’exclusion antisémite Les

pas la seule force armée à aider les allemands. 2) La Milice Le régime de Vichy créé en 1943 la Milice avec pour chef Joseph Darnand, un homme qui a juré fidélité à Hitler. C’est une force paramilitaire de Vichy, regroupant 123 000 hommes en 1944. La Milice accepte tous les candidats valides. C’est une force armée très collaboratrice, les sortants de la Milice pouvant intégrer les Waffen SS. Chaque service régionaux de cette milice constitue une brigade spécialise qui a pour but de chercher