Milon De Crotone

très influencé par la sculpture antique, celle de Michel-Ange et celle du Bernin. _ Hercule terrassant l’hydre de Lerne : puissance et dynamisme. Contrairement au classicisme il cherche à rendre la force et l’expression. _ Milon de Crotone (Louvre) : le thème est antique Milon, athlète invincible et vainqueur aux jeux olympiques, veut prouver sa force malgré son âge qui avance ; il ouvre en deux un arbre à la seule force de ses bras mais l’arbre se referme sur ses mains ; prisonnier, il est alors

de vieux et beaux tableaux qu’on estimait, et il s’est dit, Voilà donc comment il faut faire, pour être estimé aussi, et il a fait des tableaux qui ne sont pas beaux à la vérité, mais qui sont vieux. Son Hercule et le bûcher et son Milon de Crotone sont peints d’hier, mais jaunes, noirs, enfumés ; on les prendrait pour des morceaux du siècle passé. Sa Vénus endormie est une masse de chair affaissée, et qui commence à se gâter. Son Esther aux pieds d’Assuérus est un tableau

penseurs n’ont pas de démarche politique. C’est une réflexion sur les éléments premiers. Par exemple pour Thalès c’est l’eau, Anaximandre parle de l’infini, Anaximène parle quant à lui de l’air. La 1ère école de philosophie est celle de Pythagore à Crotone au 5ème siècle avant notre ère. Héraclite parle de la philosophie du devenir « le même homme ne se baigne jamais dans le même fleuve » = le fleuve a changé ainsi que la personnalité de l’homme. Parménide fait référence à la notion de l’être qui est

caractérise par des contacts de plus en plus étroits avec des colonies grecques. Au VIIIème, les premières implantations grecques en Italie se font dans ce qu’on appelle la Grande Grèce, c’est à dire tout le sud de la botte de l’Italie. ( Exemples : Crotone, Héraclée, Tarente ) Rome et le Latium se trouvaient à un endroit stratégique, dans une zone de communication entre L’Etrurie au nord et la Grande Grèce au sud. Rome est une cité qui s’est organisé très vite militairement parce que les Romains

qui n’est qu’une «amazone» au sens de «cavalière», il est rappelé que «les amazones [peuple de femmes chasseresses et guerrières : le mot devrait avoir une majuscule] se brûlent le sein droit.» (page 99). - «L’hercule de Crotone» de la page 96 semble désigner Milon de Crotone, célèbre athlète grec. La Grèce antique : - Bérénice veut voir au fond du verre de Chamomor «une ville mycénienne» (de cette première civilisation hellénique qui construisait des murailles avec de gros blocs), «l’Atlantide»

Paysage avec Diane et Orion, La Manne, Paysage avec les funérailles de Phocion. (une idée de la parfaite peinture) 3)      Pierre Puget, le « Michel-Ange de la France » : dessinateur, architecte peintre, sculpteur (ex : Immaculée conception, Milon de Crotone).        Chapitre 5 : Les genres   Au cours du XVIème siècle, la spécialisation des artistes se portent autour de sujets particuliers qui se cristallisent et se diversifient au XVIIème en genres et sous-genres bien définis, en émulation

pour lui d'avoir étudié les mœurs et les usages des Sabins ; son vaste génie embrasse des objets plus élevés, et veut connaître la nature des choses. Entraîné par cette ardeur de savoir, il s'éloigne de Cures, sa patrie, et visite la ville célèbre où Croton reçut le grand Alcide. Il demande quel fut le Grec qui vint élever ces remparts sur les rivages de l'Ausonie ; et un vieillard, né dans cette contrée, instruit de ses fastes antiques, lui répond en ces mots : « On raconte que le fils de Jupiter et

leçon valut aux Romains une nouvelle et très grande supériorité militaire. Curius, admis au triomphe, parut à Rome sur un char que traînaient quatre éléphants. Des ambassadeurs envoyés par Ptolémée Philadelphe félicitèrent le Sénat. Pyrrhus, laissant Milon à Tarente, revint en Épire, avec 8.000 hommes seulement. Il prendra la couronne de Macédoine, sans en avoir réellement conquis le droit, à Antigone Gomatas, et s’en ira mourir misérablement en Hellénie, à l’attaque d’Argos (272), se compromettant,

mois à cacheter des lettres. Je m’imagine que tout autre emploi lui aurait mieux convenu. La nature, qui a peuplé l’île de Malte pour que l’Orient ne manquât jamais de portefaix, avait donné au pauvre Fondi les épaules, les bras et les mains de Milon de Crotone : il était né pour manier la massue, et non pour brûler des bâtons de cire à cacheter. Il en usait cependant deux ou trois par jour : l’homme n’est pas maître de sa destinée. Cet insulaire déclassé ne rentrait dans son élément qu’à l’heure

la réussite de son drame brouilla Dumas avec la famille Arnault. En outre, le bruit mensonger courut que, le soir de la première représentation, une ronde infernale avait été dansée au foyer autour du buste de notre illustre compatriote de La Ferté-Milon, au cri de : « Enfoncé Racine », qui aurait été même traité de polisson par un romantique furieux. Le Constitutionnel, tout particulièrement indigné, voua dès lors une haine vigoureuse à Alexandre Dumas. Celui-ci avait, pour se consoler, les invitations