Milton Friedman Responsabilité Sociale De L Entreprise

Les retraites Christian BIALÈS Introduction En juin 2003 la France est confrontée à une crise sociale d'une ampleur comparable à celle de 1995. Dans les deux cas, le projet gouvernemental de réforme des retraites est la cause centrale des protestations. Depuis déjà de longues années s'accumulent les rapports sur notre système de retraite et à plusieurs reprises des mesures ont été prises pour le faire évoluer (notamment en 1987 et en 1993 pour le régime général, entre 1993 et 2001 pour les régimes

Kroll, Narendra Kudva, Silke Lehnhardt, Y.B. Lim, Steve Martineau, Jane McCroary, Brian Megraw, Edmée Métivier, Kazu Mutoh, Hiro Nishikawa, David Noble, Harald Plökinger, Morten Ramberg, Nagu Rao, Roy Sugimura, Alan Whelan et Torstein Wold. • Les entreprises qui ont accepté de se lancer dans l’aventure alors que nous n’avions guère que des idées à leur offrir : Alcan, BT (en partenariat avec Telenor), EDF et Gaz de France, Fujitsu, la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge

Kroll, Narendra Kudva, Silke Lehnhardt, Y.B. Lim, Steve Martineau, Jane McCroary, Brian Megraw, Edmée Métivier, Kazu Mutoh, Hiro Nishikawa, David Noble, Harald Plökinger, Morten Ramberg, Nagu Rao, Roy Sugimura, Alan Whelan et Torstein Wold. • Les entreprises qui ont accepté de se lancer dans l’aventure alors que nous n’avions guère que des idées à leur offrir : Alcan, BT (en partenariat avec Telenor), EDF et Gaz de France, Fujitsu, la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge

alors de chasser les passions, ces affections subies, pour faire place aux impulsions rationnelles, qui rendent possible une vie menée selon la vertu et par conséquent une vie heureuse. Enfin, les stoïciens n’ont pas ignoré la nécessité de la vie sociale pour le bonheur. 2.4. L’utilitarisme   « On peut dire d’une action qu’elle est conforme au principe d’utilité ou plus simplement qu’elle est utile (relativement à la société en général) lorsque sa tendance à accroître le bonheur de la société

Pour Comprendre Collection dirigée par lean-Paul Chagnollaud L'objectif de cette collection Pour Comprendre est de présenter en un nombre restreint de pages (176 à 192 pages) une question contemporaine qui relève des différents domaines de la vie sociale. L'idée étant de donner une synthèse du sujet tout en offrant au lecteur les moyens d'aller plus loin, notamment par une bibliographie sélectionnée. Cette collection est dirigée par un comité éditorial composé de professeurs d'université de différentes

construction scientifique, un regard particulier sur le fait social qui est un tout. Ex : une personne qui va à la boulangerie acheter du pain est un fait social, puisqu’il y a au moins 2 personnes qui vont établir des relations particulières. Ce fait est analysable sous différentes perspectives qui forment les sciences sociales : économique , sociologique, économique, historique. géographique et historique . 1. Un exemple de fait social vu par : A. L’économiste Commençons par présenter une

apparu fin des années 1950, représenté par Milton FRIEDMAN. La demande de monnaie est stable. Il existe un taux de chômage et d’inflation à CT, à LT on a forcément un chômage. > Le courant des anticipations rationnelles : début 1970 : Lucas, Sargent, Wallace On a tous les moyens d’anticiper le futur. L’action de l’Etat est relativement inutile si elle est très prévisible par les agents économiques comme les entreprises qui anticiperaient = anticipations rationnelles

d'incompatibilité 27 Les avantages du change flottant •En cas de déficit, la dépréciation permet de rétablir la compétitivité et la balance commerciale. •La spéculation sur les taux de change est stabilisatrice : elle acl e’js met cé r l ut n. è a e Milton Friedman 28 14 L si is e’ ut et a l e l t d l j e n pra me a sm dépréciation •L s f td l u mett nd pids e e e e’ g nai u r e fs a o x i ott n pu et’ ot sre mp r i s evn l mp r r u l ao e e s évolutions en volume (élasticitéscritiques). •Rsus ’

éternelle. L’économie réalité en soi est l’hypothèse des experts qui savent et qui ont le pouvoir. Il n’est pas imaginable dans cette vision que la réalité économique soit une construction politique. Cela voudrait dire que l’expertise est une responsabilité et que des erreurs d’appréciation sont possibles. Cela voudrait dire que le système serait instable puisque ceux qui savent pourraient perdre le pouvoir de stabiliser le système. Par construction de la nature indépendante de toute politique, le

des activités économiques pour matérialiser les transferts de produits ou de services de certains producteurs vers d’autres producteurs (consommation intermédiaire), des producteurs vers les ménages (consommation finale) puis des ménages vers les entreprises (offre de travail). Ces échanges s’inscrivent dans le cadre du circuit économique ou les ressources des uns sont des emplois pour d’autres, les achats de certains sont des ventes pour d’autres, les pertes de certains sont des gains pour d’autres