Milton Friedman

rapport entre ce que je gagne et ce que j’ai misé. 5) écart des marchandises produites et la baisse des salaires 6) collectiviser des moyens de production, plus d’exploitation. - le courant monétariste : Ils sont deux : Milton Friedman et A. Laffer Inflation : hausse générale et durable des prix Le monétarisme est né vers la fin des années 40, il reprend la théorie quantitative de la monnaie selon laquelle l’inflation a pour origine un hausse trop forte de la

l’économie réelle. Nombreux sont ceux qui pensent que toute tentative de représenter un système aussi complexe que l’économie moderne par un modèle mathématique est irréaliste et vouée à l’échec. Une réponse à cette critique a été proposée par Milton Friedman, pour qui « les théories doivent être jugées d’après leur capacité à prédire les évènements plutôt que par le réalisme de leurs hypothèses ». Bien entendu, les critiques disent que l’économie néoclassique (comme d’autres branches de l’économie)

est positif pour la croissance économique. La compréhension erronée de Friedman de l'inflation Certains économistes, tel Milton Friedman, maintiennent que si l'inflation est prévue par les producteurs et consommateurs, cela ne cause que peu de dommages. Le problème, selon Friedman, est avec l'inflation qui n'est pas prévue, car elle cause une mauvaise allocation des ressources et affaiblit l'économie. Selon Friedman, une augmentation des prix peut être stabilisée par des injections monétaires

travail, et non les conditions économiques dans leur ensemble. 3 La réponse de Keynes : le chômage involontaire Il faut rappeler que John Maynard Keynes (1883-1946) est considéré comme l’un des économistes les plus importants de l’histoire. Milton Friedman, pourtant un de ses plus farouches adversaires, disait : « nous avons tous été, un jour ou l’autre, des keynésiens ». Keynes écrit son ouvrage essentiel « La théorie générale de l’intérêt de l’emploi et de la monnaie » (1936) dans le contexte

Philipps à la fin des années soixante, la thèse des keynésiens. Nous étudierons cette courbe dans différents pays. Dans une deuxième partie, nous verrons l’évolution de la courbe de Phillips du début des années soixante-dix à nos jours. La thèse de Milton Friedman et des monétaristes servira de support à notre étude. I – La courbe de Phillips - la thèse des keynésiens 1- La démarche empirique de Phillips. Un chômage faible entraîne une demande de travail forte, la concurrence entre les employeurs

keynésien est optimiste, il suppose qu’un déplacement sur la courbe reste stable tant que la politique reste la même. Pour eux, la politique économique est une affaire de choix de priorités. II/Friedman et la critique monétariste A_ Remise en cause de la courbe de Phillips (stagflation et la réponse de Friedman) A partir des années soixante-dix, les économies développées entrent dans une longue période de stagflation, faisant douter de la pertinence de cette courbe. L’efficacité des politiques de relance

intéressant de le comparer. À partir des années 1970, avec la montée en puissance des pensées de Milton Friedman et de Friedrich Hayek le mot néo-libéralisme prend un autre sens. À partir de Michel Foucault, le néolibéralisme est alors présenté comme une technique de gouvernement, une politique économique et sociale étendant l'emprise des mécanismes du marché à l'ensemble de la vie. Friedman et Hayek sont désignés en France comme en étant en grande partie les inspirateurs bien qu'ils ne se soient

l'emploi. • Les critiques du modèle keynésien Milton Friedman, l'économiste qui a le plus fortement contribué dans les années soixante-dix au reflux du keynésianisme. Friedman était beaucoup plus fortement opposé au keynésianisme au sens politique et aux politiques économiques d'inspiration keynésienne. Selon lui les politiques keynésiennes sont inefficaces (car parfaitement anticipées par les agents) et inflationnistes. Selon Friedman, l’origine de l’inflation est toujours monétaire. Il

qui est mené par l’économiste Américain Milton Friedman [1912-2006] qui considère que l’inflation est le phénomène le plus néfaste de l’économie car elle diminue le pouvoir d’achat du revenu et de l’épargne et perturbe les anticipations des agents éco. Friedman s’oppose aux pol de relance Keynésiennes. Les effets positifs d’une pol de relance sont réels mais disparaissent au bout d’un certains d’un certain temps, ne reste alors que l’inflation. Friedman est en faveur de l’équilibre budgétaire et

monnaie selon laquelle un accroissement de la masse monétaire entraîne automatiquement une hausse des prix dès lorsqu’il est supérieur à celui de la production. Cette théorie sera ensuite reprise dès les années 1970 par les monétaristes et Milton Friedman en particulier. 2. Une bulle spéculative en bourse s’était formée en 1929, permise à la fois par la faiblesse des taux d’intérêt aux États-Unis et par le fait que les courtiers ne demandaient à ceux qui voulaient acheter des titres en bourse