Milton Friedman

montre qu’elle serait même bénéfique pour la croissance. A. A priori, l’inflation s’avère être un phénomène négatif. Contrairement à ce que l’on pourrai penser, l’inflation augmente les salaire mais pas le pouvoir d’achat. En effet d’après Milton Friedman les individus seraient victime de « l’illusion monétaire ». A court terme elle augmente les capacités de consommation mais à long terme, les prix finissent eux aussi par augmenter et annule le pouvoir d’achat et décourage les individus de consommer

la politique monétaire selon les monétaristes Pour les monétaristes, l’évolution de la masse monétaire doit suivre l’évolution du PIB et surtout ne pas la précéder sous peine d’inflation. En ce qui concerne l’évolution de la masse monétaire, Milton Friedman (né en 1912, professeur à l’université de Chicago, prix Nobel en 1976) fait confiance au marché pour atteindre l’optimum économique mais il reconnaît la nécessité du rôle de l’État : la politique économique est nécessaire car le marché est impuissant

sont impossibles en cas de concurrence pure et parfaite. o L'économie de marché a une tendance à l'équilibre stable assuré par l'ajustement des prix (non-intervention de l'Etat). o Ici le facteur déterminant est l’offre · Les monétaristes (Milton Friedman) fondent leur théorie sur la théorie quantitative de la monnaie. Il existe une liaison stable entre la quantité de monnaie en circulation, la masse monétaire, et le niveau général des prix. Dès que la quantité de monnaie dépasse le rythme de

autres marchés peut entrainer un équilibre économique sur le marchés des biens et des services. Mais des économistes post-keynesien ont mis en avant des théoris qui contredise cette idée de déséquilibre équilibrant de Keynes. C'est le cas de Milton Friedman qui développe l'idée que le revenu n'est pas un phénomène momentanée mais un élément à long terme calculé par les ménages qui vont faire des choix de consommation et qu'une baisse de revenu n'entrainera pas forcément de baisse de consommation

1975 s’inspire de cette logique keynésienne. Section 3 : Les grands courants de pensée contemporains Les écoles libérales Ecole monétariste ou école de Chicago Née dans les années 60 à l’Université de Chicago autour de Milton Friedman. Prix Nobel d’économie en 1976 pour la critique de Keynes. Cette école appuie ses thèses sur la monnaie. Les thèses sur la monnaie s’expliquent de trois façons : – L’inflation est un phénomène exclusivement monétaire, et donc toute augmentation

démontre que lorsque le revenu augmente, la part des dépenses diminuent, celle des dépenses d’habillement et de logement reste stable et celle des dépenses de loisirs, de santé et d’éducation s’accroît. L’analyse Néoclassique par Milton Friedman(né en 1912) avec sa théorie du «revenu permanent », à savoir que le revenu moyen se compose d’un revenu permanent et d’un revenu transitoire (primes, gains ponctuels,…), révèle que l’augmentation du revenu n’accroît pas systématiquement la consommation

des monnaie x Vitesse de circulation = Prix des marchandises x Volume des transactions M x V = P x T Fisher dit que V est constante, la demande de monnaie ne répond qu’à des fins de transactions et ne dépend que des revenus disponibles. Milton Friedman considère que l’essentiel de la politique économique doit être concentreé sur la régulation de création de la monnaie. 3 – Fonctions de la monnaie chez Keynes Keynes  Théorie général de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie. Le taux

monnaie ne permet pas de percevoir un revenu. C) La nouvelle théorie quantitative En 1956, Milton Friedman (1912 - 2006) propose une nouvelle théorie de la demande de monnaie qui constitue selon lui une nouvelle formulation de la théorie quantitative de la monnaie. La demande de monnaie dépend de la richesse des individus et des rendements anticipés des autres actifs comparés à celui de la monnaie. Friedman cherche une relation déterminant la valeur désirée des encaisses réelles (le pouvoir d’achat

l’essence * Du prix de l’immobilier * Suppression des niches fiscales et sociales des entreprises * Augmentation des impôts : 75 % pour les revenus annuels supérieurs à 1 million d’€. III. LA RELANCE PAR LE LIBERALISME Milton FRIEDMAN (1912 – 2006), Prix Nobel de l’Economie 1976 est l’auteur de Capitalisme et liberté, dans lequel il explique sa théorie selon laquelle la réduction du rôle de l'État dans une économie de marché est le seul moyen d'atteindre la liberté politique

monnaie est un voile et n’a aucun effet sur l’économie (dichotomie) Les keynésiens les blocs monétaires et réels sont interdépendants. L’Etat doit intervenir sur le phénomène monétaire pour corriger les déséquilibres réels. Les monétaristes : Milton Friedman (école de Chicago) ; le bloc monétaire doit refléter le bloc réel. Tout désajustement est source de déséquilibre (trop de monnaie par rapport à la production crée un déséquilibre). Théorie quantitative de la monnaie M.V = P.Y (masse monétaire