Milton Friedman

peut persister si longtemps. Ce livre est l'un des plus controversés jamais écrits. De nos jours encore, les économistes ne s'entendent pas sur les causes de la crise des années 30. Par exemple, les économistes monétaristes qui s'inspirent de Milton Friedman, de l'Université de Chicago, affirment qu'elle a été causée par de mauvaises politiques monétaires et non par des politiques budgétaires. Cependant, la Crise des années 30 et l'ouvrage de Keynes, ajoutés au fait que les gouvernements ont montré

il est lié à l’information imparfaite ou à une mobilité imparfaite. Le chômage conjoncturel ou Keynésien, il est lié à une demande globale insuffisante face à une offre excédentaire Le chômage structurel (naturel ou équilibre), pour Milton Friedman le chômage naturel ne signifie pas que ce chômage est immuable (c-a-d naturel, non transformable), c’est un chômage qu’une politique monétaire ou budgétaire ne peut réduire, on définit le taux de chômage naturel comme un taux de chômage d’équilibre

incapable de produire tel ou tel bien, mais il doit également agir sur la répartition des richesses et sur le niveau de l’activité économique. L’Etat a pour charge d’assurer la prospérité de chacun. A la fin des années 1960, des auteurs comme Milton FRIEDMAN ou Friedrich August VON HAYEK se firent entendre. Ceux-ci voient dans l’interventionnisme de l’Etat la cause des difficultés contemporaines et proposent un retour aux sources du libéralisme. Selon eux, le chômage ne disparaîtra qu’à la condition

demande globale, soit poussée par les coûts qui déterminent les prix de l’offre. Inspiration monétariste, l’inflation par la monnaie suggère que la hausse du niveau général des prix résulterait d’une émission de monnaie trop importante. Pour Milton Friedman, chef de file de l’Ecole monétariste et Prix Nobel d’Economie en 1972, « la cause de l’inflation est partout est toujours la même : un accroissement anormalement rapide de la quantité de monnaie par rapport au volume de production ». La justification

confiance aux mécanismes du marché. La quantité de monnaie mise une circulation a une incidence directe sur les prix donc la création monétaire doit suivre mécaniquement la production. M= PQ/V. La politique monétaire restrictive a été soutenue par Milton FRIEDMAN, que l’on considère comme le défenseur par excellence de cette approche monétariste. Pour les libéraux, la monnaie est une voile. Cette vision monétariste est celle de la BCE. ➢ Qu’est-ce qu’on entend par masse monétaire cad la masse

parfaite avec la réalité, mais que malgré tout les conclusions de la théorie semble être corroborée par la réalité, alors on pourra juger la théorie pertinente… même si elle repose sur des hypothèses irréalistes. C’est la position défendue par Milton Friedman, prix Nobel d’économie, dans Essai sur la méthodologie de l’économie positive (1953). - Ces modèles servent de bases à l’élaboration d’autres modèles plus complexes, qui reposent sur des hypothèses plus réalistes. Ainsi, Herbert Simon a développé

agrégats de la comptabilité nationale, le concepts de demande effective et de multiplicateur d’investissement, …) et d’une théorie générale qui semblent pouvoir revivre une seconde jeunesse après avoir été éclipsés par les idées monétaristes (Milton Friedman) dans les années 1970 qui ont permis de lutter contre l’inflation mais n’ont réussi à empêcher ni le chômage de masse, ni le sous emploi, ni la répétition de Krach et de crises, dont la plus récente et la plus grave depuis 1929 est partie des

assiste à une revendication de la théorie quantitative. Le monétarisme, à travers Milton Friedman, met en évidence la prépondérance de la masse monétaire dans la conduction de l’économie, et son influence sur l’inflation : « L’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire, dans le sens que ceci est et sera produit d’une augmentation plus rapide de la quantité d’argent que de la production » (Friedman M., conférence à l’Université de Londres, 1970). Donc le contrôle de cette masse

question de la monnaie unique. Elle peut donc s'apparenter, pour certains aspects, à l'opposition idéologique. Dès la signature du traité de Maastricht, une opposition américaine s'est manifestée, essentiellement dans les cercles ultra-libéraux (Milton Friedman, Martin Feldstein), en invoquant deux raisons : la construction de l'euro est politique et centralisatrice (donc pas via le marché) et n'aura donc pas de viabilité économique et, exposée de manière plus discrète, la construction de l'euro peut

critique radicale du concept de justice sociale. Il le dénonce comme un mirage qui amènerait au totalitarisme dû à ;l'accroissement perpétuel de l'intervention et donc du pouvoir de l'État. Ensuite la critique de l'État-Providence est porté par Milton Friedman et l'École de Chicago. Celui ci va défendre l'idée que d'une part, l'action de l'État est inefficace car arrivant toujours a posteriori et d'autre part, que cette action, restreint les libertés individuelles. C'est la raison pour laquelle il