Mime

i « un bonnet en signe de joie jeté en l’air » 14 Juillet  écrit à l’anglaise : rappelle « l’odeur des quartiers populaires de Paris ». Si on met le J dans un certain sens, ça rappelle la forme d’un rabot. Mime la course du peuple qui vient prendre la Bastille. Plusieurs phonèmes + la Justice, ça y est = Juillet Le sens regroupé dans le mot juillet. C’est un moment de bonheur, de liberté… petit matin, aspect de fête et cette joie semble être absolue. Launney

- Champ lexical du théâtre : “personnage”, “jouer”, “art”, “je ferai” au sens de “je jouerai le rôle de”, d’où une société devenant spectacle de théâtre, jeu de masques dissimulant la vérité des êtres. NB : hypocrite signifie étymologiquement le mime. NB : Procédé de mise en abîme : le théâtre dans le théâtre. - métaphores de la dissimulation : thème de l’ « habit » -déguisement appuyé par “rhabillé” et prolongé par le “manteau de la religion” + images de l’ “abri” et du “bouclier” (l’hypocrisie

totalement érangére. Ils employérent un terme qui, 4 I'époque, impliquat une nuance de puretés'atachant dla notion de lignage, ma qui recouvrait mal une raltétypiquement et uniquement Indieane. Or ee terme de cast est aujourd hui couramment employé, mime par les epécialistes, qui s'y empétent parfos. Ce qui est d'autant plus regretable que, souvent, le mot caste traduitindfféremment deux tenes sanscrits qui ne soat pas synoaymes uz, J, signifi « naissance » et s'aplique 4 tous les groupes qui ont,

de pauvreté. Nous, lecteur, voyons ce qu'il voit. Nous sommes le regard se regardant dans le miroir. L’image offerte par le miroir reflète toutes ses espérances et son désir de devenir autre, conditionnels, l38-39. Toute la construction du passage mime de façon symbolique ce désir d’ascension à travers les marches de l’escalier qu’il gravit, 39-40. On relève ainsi tout le champ lexical du regard avec les nombreux verbes de perception. Et l'on peut discerner trois temps dans le jeu de miroir. - Il

parties de son corps, afin qu’elle sache mieux les parties qui ne sont pas mouillés. Madame N se lave seule (les cheveux et le corps). Je place toujours mes mains sur son corps ou alors je mime afin qu’elle se lave entièrement. A chaque fois que j’interviens je cite les parties du corps que je touche ou que je mime. « Madame N, vous ne vous êtes pas laver les épaules, regardez ou je pose ma main et passez votre gant et votre savon dessus ». Je lave juste son dos. Pour l’essuyage nous procédons de la

perspectives ne s’excluent évidemment pas mais se complètent : ! On peut d’abord mettre l’accent sur le langage du corps et passer progressivement à l’expression orale. Le théâtre possède cet avantage de faire parler le corps par l’expression gestuelle et le mime, comme le fait naturellement l’individu pour s’exprimer quand il ne possède pas les clés du langage. Mettre petit à petit des mots sur des mouvements et des postures permet de se comprendre et d’apprendre, sans avoir à passer par la langue maternelle

théâtre dépasse ces simples contradictions, par toute la richesse qu’il nous offre. Un théâtre se limitant à la parole 1 Un spectacle avant tout oral Argument 1 : Il n’existe pas de théâtre muet. Un spectacle sans paroles est un mime. La parole est indissociable du théâtre. Argument 2 : Le théâtre est avant tout constitué de monologues, de tirades, de dialogues et d’apartés qui présentent une certaine unité. La double énonciation complète cette unité et crée un lien entre personnages

par un simple moucheron. Le corps est décrit à partir du vers 13 de manière morcelée, membre par membre: « le cou » v.13, « son œil » v. 15, « naseau » v. 21, « museau » v. 20, « flancs », « queue », « dents », « griffe ».On peut penser que cela mime le fait que le lion soit lui-même en morceaux et réduit sa puissance à néant. Par ailleurs, toujours à partir du v. 19, le Lion est davantage en position d’objet grammatical dans la phrase que en situation de sujet : « se déchire lui-même »v. 26

semblables à la souffrance: la souffrance du poète oiseau est visible par les exclamations et les phrases brèves de la 3ème&: le tableau offert est pathétique. L'oiseau est soumis à une torture physique (''agace son bec avec un brule-geule) et morale (''mime en boitant'': l'oiseau est caricaturé, raillé). La réaction des hommes d'équipage qui est symbolique de la réaction générale de la société est d'autant plus choquante que ces attaques sont injustifiées et ingrates ( pour les marins ce sont pourtant

perfides et indifférenciés menés vers une mort qui les guette : ''gouffre'' v.4. Dans un premier temps les marins nous apparaissent comme un groupe d'hommes et aucun n'est décrit avec précision, tous semblent similaires '' L'un agace, […] L'autre mime'' v.11-12. Au vers 11, le terme trivial ''brûle gueule'', périphrase volontairement employé par Baudelaire et désignant la pipe du marin, souligne la grossièreté des marins et leur vocabulaire familier. Baudelaire nous présente leur amusement cruel