Minamata

première fois les questions écologiques au rang de préoccupations internationales. Les participants ont adopté une déclaration de 26 principes et un vaste plan d'action pour lutter contre la pollution1, dont une délégation des victimes de la maladie de Minamata a été témoin. Ce sommet a donné naissance au Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). Au même moment, le Club de Rome a publié un rapport intitulé « Halte à la croissance ? ». À cette époque, les dirigeants mondiaux se sont engagés

Seconde Guerre mondiale. En 2003, la ville comptait une population estimée à 776'365 personnes avec une densité de 2'282.46 personnes par km2. La superficie de la ville se monte à 649.95 km2. Durant les années 60, plusieurs cas de la maladie de Minamata se déclarèrent à Niigata. Un important séisme eut lieu dans la préfécture de Niigata le 23 octobre 2004 (voir l'article principal Tremblement de terre de Chuetsu).

de la société japonaise. Pendant la haute croissance, les rejets industriels ont gravement contaminé les eaux et l'atmosphère de la mégalopole. La mer Intérieure et les grandes baies ont été et sont encore marquées par la pollution au mercure (Minamata de 1953 à 1970: cette catastrophe fit 111 victimes dont 46 morts; c'est la conséquence de la pollution de la mer par le méthylmercure déversé dans la baie par les usines d'engrais de la société Shin Nippon Chisso, qui fut condamnée, après une longue

fait de certaines villes comme Chiba, Yokkaichi, Mizhushima…des lieux les plus pollués de la planète. Le développement des industries lourdes (chimie, sidérurgie) lors de la Haute-Croissance s’est effectué au détriment de l’environnement. Chisso Minamata est le lieu symbolique de la pollution industrielle : dans les années 1950, l’usine chimique renversa suffisamment de mercure pour causer la mort de centaines de personnes et de graves malformations de nouveaux nés. -les conséquences restent encore

caractère impur ou malsain est généralement relatif car dépendant de la dose, de la durée d'exposition, d'éventuelles synergies, etc. Il est relatif : soit à leur nature de « poison » pour l'Homme ou l'environnement (exemple : mercure de la baie de Minamata ; smog londonien généré par la combinaison d'un phénomène climatique naturel et d'émissions causées par le chauffage urbain) ; par extension, le simple caractère désagréable, même sans danger, peut suffire à invoquer le qualificatif de pollution

de mercure par an étaient rejetées dans l’air, les sols et les rivières (Roulet et al, 1999). Sous forme méthylé, le mercure se concentre dans la chaine alimentaire et provoque des atteintes neurologiques graves connues sous le nom de maladie de Minamata. C’est en 1994 que les autorités ont pris la mesure des dégâts. Selon une étude menée par l’InVS, plus de la moitié des indiens vivants le long du fleuve dépassent la valeur seuil de l’OMS de 10 µg/g. Des études menées en 2004 montrent des concentrations

l'Antartique fait débat. Le developpement durable tente de developper l'économie de facon rationelles. Les grandes catastrophes écologiques Ce sont par ces catastrophes là qui ont fait réaliser à l'être humain que son environnement était fragile. Minamata, Fukushima, Erika, Tchernobyle... Il y a esse tiellement des catastrophes pétrolières Torecanyon première grosse catastrophe pétrolières (marées noir). La hierarchie des normes Le conseil constitutionel vérifie que les lois voté par le parlement

Le coût va être très élevé (estimé à 1 milliard d'euros par l'Espagne). D'autant que la situation du navire laisse présager que la pollution va durer longtemps (opération de réparation et pompage très délicats vu la profondeur). -Maladie de Minamata au Japon, en 1954, provoquée par la consommation de fruits de mer contaminés par du mercure déversé (500 à 1000g) et absorbé par le phytoplancton, lui-même mangé par le zooplancton et concentré dans la chair des poissons. Elle a entraîné la mort

caractère impur ou malsain est généralement relatif car dépendant de la dose, de la durée d'exposition, d'éventuelles synergies, etc. Il est relatif : * soit à leur nature de « poison » pour l'Homme ou l'environnement (exemple : mercure de la baie de Minamata ; smog londonien généré par la combinaison d'un phénomène climatique naturel et d'émissions causées par le chauffage urbain) ; par extension, le simple caractère désagréable, même sans danger, peut suffire à invoquer le qualificatif de pollution

caractère impur ou malsain est généralement relatif car dépendant de la dose, de la durée d'exposition, d'éventuelles synergies, etc. Il est relatif : soit à leur nature de « poison » pour l'Homme ou l'environnement (exemple : mercure de la baie de Minamata ; smog londonien généré par la combinaison d'un phénomène climatique naturel et d'émissions causées par le chauffage urbain) ; par extension, le simple caractère désagréable, même sans danger, peut suffire à invoquer le qualificatif de pollution