Minamata

caractère impur ou malsain est généralement relatif car dépendant de la dose, de la durée d'exposition, d'éventuelles synergies, etc. Il est relatif : soit à leur nature de « poison » pour l'Homme ou l'environnement (exemple : mercure de la baie de Minamata ; smog londonien généré par la combinaison d'un phénomène climatique naturel et d'émissions causées par le chauffage urbain) ; par extension, le simple caractère désagréable, même sans danger, peut suffire à invoquer le qualificatif de pollution

industriels: 125 mg/l ou 300 mg/l au dessous d’un seuil de flux journalier - arrêté du 1 er mars 1993. La pollution de la mer existe-t-elle? La question, bien qu’abrupte voire provocante, est intéressantes. En effet, chacun na en tète le drame de MINAMATA et l’intoxication par le mercure d’une pollution de pécheur japonais (45 morts). Faisons toutefois un petit calcul par l’absurde: si l’on suppose que l’ensemble des rejets de mercure de la civilisation technologique (évalués à 10000 t/an) s’accumulaient

constructeur (doken kokka) surtout construction (territoire maitrisé->entre Honshu et Hokkaido, tunnel de Seikan, plus long du monde-64-88. 2x-flux que prévu))+pantouflage (amakudari)+scandales. Environnement : paradoxe pollution/vénération (syndromes de Minamata, Itaï-Itaï, asthme de Yokkaichi). Prise csc dès 70s. Pb de dette : 170%PIB (Philippe Pelletier (2008) Questions internationales : « Le Japon est au cœur de la contradiction entre la dynamique de l'État-nation et celle de la globalisation. A la différence

sont les limites à la puissance de la mégalopole japonaise ? I – Les risques de pollutions : La mégalopole est très affectée par les pollutions. Bien que les accidents les plus graves aient touchés des zones situés hors de la mégalopole comme Minamata ( pollution par le mercure ) , il n’en demeure pas moins que la mégalopole est touchée par les pollutions de l’air causées par les usines des grands centres urbains. Les eaux sont également souvent dégradés par la forte activités industrielles.

autre ampleur. La dégradation du milieu naturel (pollutions atmosphériques et des eaux, affaissement des sois, dégradation des paysages ruraux et côtiers) a été une des conséquences négatives des choix économiques effectués. Dès 1953, la « maladie de Minamata », provoquée par des rejets de mercure, attire l'attention sur les risques d'une industrialisation incontrôlée. À la fin des années 1960, le Japon est le pays le plus pollué au monde. La législation se met en place à partir de ce moment: toi contre

physiques (radioactivité, électromagnétisme ...), dont le caractère impur ou malsain est jugé comme polluant. Certains de ces produits peuvent être dangereux  = - soit à leur nature de poison pour l'homme (exemples type : mercure de la baie de Minamata ; smog londonien…) - soit à leur nature tératogène (provoquant des malformations chez les nouveaux-nés), même non associée à un caractère toxique pour l'adulte (exemple type : dioxines, radioactivité). - soit en dépit de leur caractère

de graves problèmes environnementaux . B)D'où les risque sanitaires: L'environnement étant ainsi dégradé la pollution devient synonyme de dégradation de la santé :les maladies respiratoires en sont un exemple ,plus particulièrement l'asthme .Minamata est le symbole de cette situation dégradée: cette ville de Kyushu a été la victime d'une usine chimique ayant rejeté du mercure qui a causé la mort de plus de trois cents personnes et qui a occasionné de graves malformations à des nouveau-nés .

du territoire peu respectueuse du cadre de vie des habitants, comme la création de centrales nucléaires ou la multiplication des barrages A leur apogée en 1975, on en comptait plus de 10 000. Les quatre grandes affaires de pollution, au mercure (Minamata, 1953 ; Niigata, 1965), au cadmium (Toyama, 1968), l’asthme mortel de Yokkaïchi (1967) sont les plus connues. On y retrouve des ingrédients communs à l’ensemble des mouvements de ce type qui se sont développés par la suite. D’abord l’hostilité conjuguée

l'érosion due à l'agriculture intensive dans grandes plaines sur une longue période aux États-Unis [réf. nécessaire] • Nuage brun d'Asie [réf. nécessaire] • Années 1950 au Japon intoxication au cadmium et au mercure (intoxication de la baie de Minamata)4 • Diminution massive de la biodiversité et augmentation du taux d'extinction des espèces [réf. nécessaire] • Trou dans la couche d'ozone, constaté dès les années 1950, quand on a commencé à mesurer l'ozone en région antarctique; il n'a guère

caractère impur ou malsain est généralement relatif car dépendant de la dose, de la durée d'exposition, d'éventuelles synergies, etc. Il est relatif : soit à leur nature de « poison » pour l'Homme ou l'environnement (exemple : mercure de la baie de Minamata ; smog londonien généré par la combinaison d'un phénomène climatique naturel et d'émissions causées par le chauffage urbain) ; par extension, le simple caractère désagréable, même sans danger, peut suffire à invoquer le qualificatif de pollution