Minute de silence

terminée il enfila un des vêtements de sport, ramassa un sac posé dans un coin. Lucas descendis les escaliers de son immeuble et arriva dehors, dans les rues vides de monde, à peine éclairées par quelques lampadaires. Il marcha pendant quelques minutes pour se retrouver devant une station de métro fermée, où l’attendait un homme dont-il serra la main. Tout les deux descendirent les marches de la station, forcèrent la grille, sautèrent les tourniquets, s’enfoncèrent encore plus dans la station, vide

froid, se courbait en deux et trottait pour se réchauffer. Elle arrivait bientôt au puis. La luminosité de la lune l’avait guide jusqu’à destination mais ayant fait se voyage plus d’une fois, elle connaissait la route. Elle arrivait. Elle prit une minute avant de prononcer le nom du chien, par peur de ne pas avoir de réponse. Son premier appel était de ce qu’il n’y a de plus discret. Elle murmura son nom une première, puis une deuxième fois avant de l’appeler vivement avec toutes les forces qu’il

d’essayer de me réveiller, mais sans succès. Je m’habille et monte les marches pour me rendre dans la cuisine. À mon arrivée c’est le silence, la maison est déserte. Tout le monde dort, excepté moi qui dois vivre ce dur enfer. J’ouvre la télévision, mets deux tranches de pain dans le grille-pain et attend impatiemment qu’elles soient grillées. Après trois longues minutes interminables d’attente, elles sortent enfin. Je prends un couteau, pique chaque tranche et les sort une par une du grille-pain. Je

de cette musique 1). description de la musique type de musique : succession, superposition d'accords de basses et de guitares parfois des passages vocaux parfois des samples description : tempo très lent (environ une dizaine de note par minute) d'où tension permanente car difficile d'imaginer la suite du morceau esthétique de la musique païenne métal l'expérience du concert : les conditions d'écoute : brouillard très épais >> effet : ne pas voir ou presque la scène avec les musiciens

son procès. Emploi de pronom personnel « Je » + Gradation parce qu'il disait : « Il est vrai que j'ai tué. » Puis il a continué sur ce ton, disant « je » chaque fois qu'il parlait de moi. L'avocat se substitue à Meursault le réduisant au silence. Cela étonne Meursault qui n'est pas familier à l'univers judiciaire. Il interprète cela comme une volonté de « l'écarter encore de l'affaire », de « le réduire à zéro », de « se substituer à [lui] » L'accusé se sent déposséder de son identité

médiatisation des abus sexuels La médiatisation des abus sexuels dont sont victimes les enfants − c’est-à-dire leur recensement, leur analyse et leur dénonciation dans l’espace public − a longtemps été vouée à une grande discrétion, pour ne pas dire au silence presque total : tout au long du 19e siècle, ils ne sont que très rarement évoqués. Personne n’ignore en effet chez les magistrats et les juges que les abus sexuels sur enfants représentent une assez forte proportion des arrêts rendus par les cours

vos possibilités pour arriver au succès. Il est possible que vous fassiez partie des personnes souffrant d'une habitude à la procrastination. La procrastination est la tendance à repousser des obligations ou des devoirs jusqu'à la dernière minute. La procrastination fera souffrir votre vie et votre carrière car elle vous empêchera d'avoir des emplois intéressants et vous fera rater des opportunités. En s'intéressant à l'attitude des hommes ayant connu de grandes réussites, on

dixième fois, Crastaing était là. - Vous dormiez, mon garçon ? A peine avait- il refermé la porte qu'il était déjà derrière son bureau, rapide et silencieux comme une ombre d'oiseau. - Je saurai vous réveiller, moi ! Cette voix, dans tout ce silence ! Haut perchée, métallique, coupante, une lame qui nous fouillait le cœur. - D’ailleurs… Sa serviette s'ouvrait (pas le moindre cliquetis de métal, à croire que les serrures étaient de velours) et il en sortait nos copies sans un froissement de

moment, sachant que, s'il ne faisait rien, il perdrait la face. Il lut une telle résolution dans le regard de l'autre qu'il battit finalement en retraitre: -Bon. ça va pour cette fois, maugréa-t-il. Mais ne recommence jamais ça. Un lourd silence s'installa. -Je recommencerai chaque fois que tu nous prendras, mes frères et moi, pour du vulgaire bétail, articula calmement Alexandre Maximovitch. Le sergent demeura encore quelques secondes immobiles, toisant son adversaire. Puis, sans

peux durcir ton vert de prunelle, ton vert-de-gris de poison de regard. Moi, je ne baisserai pas les yeux. D'abord, parce que ça t'emmerde. Ensuite, parce que Chiffe me regarde avec admiration, lui qui sait que je tente de battre le record des sept minutes vingt-trois secondes que j'ai établi l'autre jour et qu'il est en train de contrôler sans en avoir l'air sur la montre bracelet de ton propre poignet. Je te pistolète à mort, aujourd'hui." p.53. Passage complet relevé dans le livre : « Et la