Mirabeau Sur L Emprunt

manège. La constitution de cette encyclopédie46 lui servira pour ses futurs tableaux. Théodore Géricault, dont Delacroix fait la connaissance dans l'atelier de Guérin a eu une influence importante, particulièrement au début de sa carrière47. Il lui emprunte sa manière de peindre : de forts contrastes d’ombres et de lumières donnant du relief et du volume aux modèles. Il utilise également certaines de ses couleurs : des vermillons, des bleus de Prusse, des bruns, des blancs colorés48. L’un des sommets

(le gouvernement) et utilise les plébiscites. -Tradition parlementaire (1814 à 1870). On va rechercher un équilibre entre le législatif et l’exécutif. Ancien régime : Ce terme n’apparaît qu’après 1789. Il fut utilisé pour la première fois par Mirabeau en 1789 qui cherche à affirmer que l’absolutisme de droit divin est passé mais il condamne aussi la forme ancienne des institutions et des mœurs. C’est une notion politique qui correspond à l’absolutisme. Cela caractérise une forme de régime. C’est

“Vers et prose” qu’avait fondé Paul Fort. En 1907, il quitta le domicile de sa mère au Vésinet. S'occupant de recherches dans l'érotisme littéraire, il signa pour la collection "Les maîtres de l'amour" l'édition d'ouvrages libertins français (Sade, Mirabeau, Nerciat, abbé de Grécourt, etc.) et traduits (l’Arétin, Giorgio Baffo, F. Delicado, etc.), et reçut une commande pour des romans pornographiques : ____________________________________________________________ _____________________ “Les exploits

Le déisme de Voltaire par ex : pr lui, Dieu est la créateur du monde et en est le gd architecte. Pr lui , Dieu s'est retiré de la création du monde et a laissé l'homme libre de ses actions et de ses pensées. Le déisme de Rousseau est différent et emprunte bcp au christianisme : il met en avant la bonté du créateur. Pr lui, Dieu, est un roi bon et tolérant, guidé par la raison. Cette conception permet à Rousseau de critiquer les textes évangéliques. Qq fois la foi des Lumières, ils contestent la religion

entré comme simple soldat, il est élevé au rang de capitaine de dragons. Il choisit alors de suivre, à l'exemple de son père, une carrière militaire et entre dans la Maison militaire du roi. Il parut à la cour de Louis XVI ; mais, soit, au dire de Mirabeau[5], « qu'il y gâta par la gaucherie de ses manières, un langage obséquieux jusqu'à l'humilité, soit, comme il le dit lui-même, qu'il y déplût au contraire par l'indépendance de son langage et l'indocilité de ses idées, il n'y obtint aucun succès

verifier et de viser toute les pieces comptable de depense et de recette et il était charge de tenir le register de ces rcette la il netait ni ordonateur ni des comptabe mais des contrleur ils soccupent des impots exceptionlle, des offices,des emprunts ses 2 instit nouvelle sont remplacé les anciens tresoriers et les anciens genarux des finance 2 fonctions: * le sur intendant des finances,parmi les intendants la pre eminence don’t jouissait l’un 2 ,le fils distinguait et il pri le nom

pour partage » - Nicolas Boileau « L'art poétique » - Alfred de Musset « Tristesse » - Paul Verlaine « Mon rêve familier » et « Soleils couchants ». - Charles Baudelaire « Correspondances » + cours sur cet auteur. - Guillaume Apollinaire « Le Pont Mirabeau » - Tristan Tzara « Pour faire un poème dadaïste » - Louis Aragon « Les yeux d'Elsa » - Jacques Brel « Le plat pays » et « Jeff » - Rimbaud. - « Une ardente patience » de A. Skarmetta -  « L'écume des jours » de B. Vian Figures de style. Listes

tensions et des crises, les lois vont dire que le temps c’est de l’argent. La France va vider ses caisses avec la guerre d’indépendance. L’état était très endetté (pas causés par les bals de la reine) et les ministres de l’époque vont préférer faire un emprunt plutôt qu’un impôt, l’emprunt doit se rembourser, la crise est aussi liée au fait que l’on a le refus des privilégiés etc. La société est bloquée, on arrive pas à maintenir le pouvoir. Comment dénouer la crise, comment défaire le blocage. Le roi va

dramatiques dans les dernières années du XVIII° siècle. Les dépenses de la monarchie augmentent sans cesse sans que les recettes augmentent. La royauté mène depuis très longtemps une politique d’emprunt ; elle emprunte de l’argent auprès des classes les plus riches, nobles et bourgeoises. Ces emprunts finissent par représenter une charge extrêmement lourde. En 1788, elle représente environ 40 % des dépenses. Il a fallu trouver les finances pour conduire la guerre d’indépendance américaine, qui a coûté

assurés étaient souvent les premiers actionnaires de celles-ci. En cette fin de XVIIIe siècle, la bourse était florissante et les fortunes se faisaient et se défaisaient en quelques semaines. Ce capitalisme financier naissant fut très tôt dénoncé par Mirabeau et par Brissot de Warville qui s’élevaient contre l’agiotage, mais aussi contre l’idée même de l’assurance. Elle était considérée au mieux comme inutile, au pire comme dangereuse car immorale. Elle pouvait, selon eux, pousser les propriétaires à