Mirage

murit dans ses mines lointaines, Et les vents alizés inclinaient leurs antennes Aux bords mystérieux du monde occidental. Chaque soir, espérant des lendemains épiques, L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques Enchantait leur sommeil d'un mirage doré; Où, penchés à l'avant de blanches caravelles, Ils regardaient monter en un ciel ignoré Du fond de l'Océan des étoiles nouvelles. José-Maria de Hérédia Etude : Ce poème est un texte type du Parnasse car le lyrisme n’est pas utilisé

disparaître. Dans la maladie mentale, il n’a pas que la folie, il y a aussi la schizophrénie, la dépression, le retard mental et les troubles liés à la consommation de drogues. Pour Robinson, son problème était juste de perdre la tête. Il voyait des mirages et commençait à ne plus avoir le contrôle de son corps. II. Jugement personnel et commentaires à propos de l’œuvre Tout d’abord, j’ai trouvé cette histoire excellente ! J’ai bien aimé la façon dont l’auteur raconte l’histoire sans tourner autour

mètres, cet être devant moi, homme, femme, illusion, il semblait ne pas toucher terre, étais-je fatiguée ou entrain de rêver, des papillons aux milles couleurs s’envolèrent , il tendit ses longs bras qui semblaient vouloir toucher le ciel, miracle ou mirage, battements d’ailes multicolores au milieu de ses mains, longues et squelettiques, qui avaient de longs ongles ,cette magnificience manipulait ma raison. 50 mètres, ses vêtements comme des oiseaux migrateurs quittèrent les rives de son corps efflanqué

humaine au lieu de se figer comme un mirage , platon nous dit qu’elle nous emporte , elle nous ravit, elle nous met dans un état second , un delire , un elan presque magique, une transe , vocabulaire de la depossession , je suis en extase , que platon apelle l’enthousiasme ( ethymologiquement : être en D.ieu) cette imagination qu’on va appeler mimetique se differencie de celle ici présente : l’imagination extatique. Cette vision n’est pas seulement un mirage mais elle nous apprend quelque chose

les amis les plus chers, donne lieu, de la part de son auteur, à un commentaire fulgurant : « Le sens, s'il en a un (mais je me consolerais du contraire grâce à la dose de poésie qu'il renferme, ce me semble), est évoqué par un mirage interne des mots mêmes. » Ce « mirage », aussi illusion, est un immense jeu de relations qui s'établissent entre les mots, par analogies sémantiques ou ressemblances phoniques, selon la syntaxe ou en dépit d'elle. Le regard se perd dans cet entrelacs qui, à la différence

sorte d'illusion peut naître de la conscience spontanée: par exemple une perception erronée par suite d'une interprétation des données sensorielles... ou l'illusion des sens, par exemple on croit voir le mouvement d'une chose en réalité immobile, les mirages etc. Demandez-vous si ce sont des erreurs des sens ou des erreurs de perception. L'illusion c'est la satisfaction imaginaire d'un désir. Dans la mesure où toute conscience est temporalisation, elle s'oriente vers un futur par un projet qui est

Dans le ciel, il y a des nuages. Dans le deseert, il y a des mirages. Et dans mon cœur, il y a ton visage ! Un jour tu es arrivée Dans mon cœur tu as été gravée Crinière au vent Naseaux tremblants Tu était la Debout devant moi Je te comtanplais Et toi tu me regardais Une porte s’est ouverte Une nouvelle histoire a commencée … Qu’il soit gris souris ou bai De course ou de trait, Dressé ou sauvage, Du premier au troisieme age Il devrait toujours être bien traité, Car

C’est le jour de son mariage. TROISIÈME PETITE FILLE Le voilà, monsieur, votre palais d’Agamemnon ! L’ÉTRANGER Curieuse façade !... Elle est d’aplomb ? PREMIÈRE PETITE FILLE Non. Le côté droit n’existe pas. On croit le voir, mais c’est un mirage. C’est comme le jardinier qui vient là, qui veut vous parler. Il ne vient pas. Il ne va pas pouvoir dire un mot. DEUXIÈME PETITE FILLE Ou il va braire. Ou miauler. LE JARDINIER La façade est bien d’aplomb, étranger ; n’écoutez pas ces menteuses

éléments fantastiques. Ainsi, le texte fait la description d’un environnement personnifié inquiétant. C’est notamment le cas de la présentation de la rivière : Pour lui, c’est la chose [la rivière] mystérieuse, profonde, inconnue, le pays des mirages et des fantasmagories, où l’on voit, la nuit, des choses qui ne sont pas [...] comme en traversant un cimetière : et c’est en effet le plus sinistre des cimetières, celui où l’on n’a point de tombeau. [...] la rivière est silencieuse et perfide. (p

face houleuse qu'à la forêt vierge et folle que je souhaiterais pouvoir en guise de visage montrer aux yeux indéchiffreurs des hommes Il me suffirait d'une gorgée de ton lait jiculi pour qu'en toi je découvre toujours à même distance de mirage - mille fois plus natale et dorée d'un soleil que n'entame nul prisme - la terre où tout est libre et fraternel, ma terre. Partir. Mon coeur bruissait de générosités emphatiques. Partir... j'arriverais lisse et jeune dans ce pays mien et je dirais