Miroir plan

son fils « My Adventures as an Illustrator ». Le contexte historique L’autoportrait se développe dans la peinture occidentale à partir du XIVème siècle. Connu depuis l’antiquité, il peut bénéficier de nouvelles découvertes techniques : miroir de verre, peinture à l’huile qui permet un plus grand réalisme grâce à un rendu plus précis des détails. Le peintre est perdu parmi les autres portraits et seuls certains indices dévoilent sa présence. A partir du XVème siècle, la Renaissance

1960. Dimension : 113x87 Lieu d’exposition : stock bridge Contexte historique : L’autoportrait se développe dans la peinture occidentale à partir du XIVème siècle. Connu depuis l’antiquité, il peut bénéficier de nouvelles découvertes techniques : miroir de verre, peinture à l’huile qui permet un plus grand réalisme grâce à un rendu plus précis des détails. Norman Rockwell (1895-1978) est un peintre et un dessinateur américain issu de New York. Il connut le succès pour les nombreuses couvertures

lumineux en deux faisceaux perpendiculaires de même amplitude. Chacun des faisceaux est ensuite réfléchi par un miroir puis retombe sur la séparatrice qui va redonner deux faisceaux se propageant dans la même direction. Ces deux faisceaux présentent une différence de marche qui dépend de la distance et de l’angle entre les miroirs : ils peuvent donc interférer. En remplaçant une des miroirs par son image par la séparatrice, on voit que le système est équivalent à une lame d’air dont on peut faire

un examen intérieur, une introspection (objet de la première partie du texte) ; d'autre part, « pratiquement », c'est-à-dire dans le rapport au monde extérieur : en le transformant, en y laissant son empreinte, l'homme s'y reconnaît comme dans un miroir (objet de la deuxième partie du texte). Nous nous proposons d'examiner cette thèse en cherchant à déterminer l'importance du rapport pratique dans la prise de conscience de soi. Est-il aussi important, voire plus fondamental que le rapport théorique

Aberration sphérique : Lorsque les rayons lumineux qui passent par les bords de la lentille ne convergent pas sur le même plan que les rayons passant par le centre, il y a aberration sphérique. Dans ce cas il est impossible d'obtenir une image nette sur les bords et au centre. Les aberrations Il convient à présent de se familiariser avec la notion d'aberration. On parle d'aberration quand une partie des rayons lumineux qui forment l'image d'un point (ou une étoile) sont dirigés à l'extérieur

ETUDE ANALYTIQUE DU MIROIR SOMMAIRE I- Evolution de sa fabrication et de sa fonction sociale A) Evolution des procédés de fabrication B) Transformation progressive de son utilité sociale C) Principes physiques D) Utilisations diverses II- Symbolique A) Le miroir métaphorique B) Piège du regard C) Connaissance de soi D) Quête d'adéquation BIBLIOGRAPHIE • « Le miroir, essai sur une légende scientifique, révélations, science fiction » de Jurgis Baltrusaitis • « On reflection

vase de fleur, à coté de celui-ci une cloche en verre qui, selon Elslander, renferme une vierge, à coté encore un vase de fleurs. Juste à coté de Nel, pend une lampe en cuivre, à l’arrière plan, de simples meubles et peut-être est-ce la cuisine tout au fond ? Il y a également un chapeau de paille, à l’avant-plan. L’aspect misérable de la pièce décrit par Elslander disparaît sous le pinceau de Rik Wouters. En effet, avec Wouters, la vie quotidienne apparaît toujours belle et joyeuse. C’est un amoureux

vanité » Artiste : Allan C.Gilbert Date : 1892 Analyse : L'image est composée de deux plans : - le premier plan représente une femme qui est entrain de se regarder dans un miroir - le deuxième plan est le miroir et la coiffeuse qui ressemble à un crâne. L'image représente une femme devant sa coiffeuse, son miroir rond et si on prend un peu de recul on peut voir un crâne composé du miroir, de la coiffeuse et du maquillage pour représenter les dents. Cette image est une vanité car il y a un

qualité, à l'apparence digne de bourgeois. L'homme a un chapeau et la femme un voile. Il y a un animal, un chien, qui est placé au premier plan, entre l'homme et la femme. On voit aussi des objets des décorations sur les murs ; un chandelier au plafond ; avec une seule bougie allumée ; deux paires de chaussures, une au premier plan, une à l'arrière-plan et des fruits sur un meuble et sur le rebord de la fenêtre. D'après ce que l'on voit, on peut penser que la femme est enceinte ; qu'ils sont

de traiter les deux œuvres l’une après l’autre puisque ce que l’on vous demande implicitement est de vous livrer à une comparaison. Aussi convient-il de se focaliser sur les deux mots clefs à savoir la place et le rôle. De la même façon, même si un plan original ne pourrait qu’être valorisé, il n’est pas une condition étant donné le peu de temps imparti pour l’épreuve. Vous pouvez donc très bien choisir de traiter la place puis les fonctions. I- Une place de choix dans les deux œuvres 1- les espaces