Miroir

en tant qu’impressionniste, est surtout subjugué par les jeux de la lumière. Rien pour lui n’a une couleur stable, objective, ce sont les reflets qui l’emportent. Il veut capter les reflets et il va même doubler leurs effets en introduisant des miroirs dans ses compositions. Le monde lui est une féerie inépuisable, tout est prétexte à organiser de subtiles fêtes de couleurs. Il ne fait pas que traduire les jeux de la lumière sur les êtres et les choses, il les intensifie et ainsi le reflet devient

le coin à gauche derrière, se trouve un gros vase vieux rose contenant des fleurs aux formes imprécises au bout de longues tiges : des taches vertes figurent les feuilles et tiennent lieu de couleurs pour les pétales. Placé devant, trône un grand miroir ancien sur pieds ,aux contours dorés, dans lequel on aperçoit en partie le reflet du visage du personnage qui se regarde . Au premier plan, à droite,le regard se porte sur l’étrange personnage vu de profil qui semble s’observer avec effarement*

suggéré, c'est que le roman ne serait qu'un miroir. C'est-à-dire que le roman le plus abouti serait une image, un reflet de la réalité qu'il capte. C'est bien l'ambition du réalisme qui voudrait rendre compte de ce qu'il observe sans ajouter une once de subjectivité. Examinons les autres termes : cette image n'est pas statique puisque le miroir est promené. Mais par qui est promené ce miroir ? Est-il orienté ? À quelle hauteur est-il présenté ? Ce miroir serait promené le long d'un chemin : ce n'est

la profondeur, - elle n'emprunte ses moyens qu'à la géométrie descriptive, qui est toute en surface. Ce paradoxe est spéculaire car il suppose une équivalence entre le réel et sa représentation iconique (assimilée par Damisch à un reflet dans le miroir). Il est narcissique, car il laisse croire que la surface reproduit sans reste ce réel auquel elle renvoie. Les figures sont réduites à leur contour - comme dans l'histoire de Dibutade, où l'ombre de l'amant serait restée tracée sur le mur - laissant

d’actions et de temps perdu ! Elle s’assoit, sort son miroir et sa trousse de maquillage pour s’admirer encore et encore à chaque heure de la journée et se retrouver face à son reflet qu’elle idolâtre tant. Un petit sourire satisfait accompagne son regard qui ne peut se détacher de cette glace. La perte de ce miroir lui serait surement fatale. Tout ce qui lui renvoie une image d’elle ou qui pourrait l’embellir trouve sa place dans son sac : miroir, vernis, maquillage, brosse à cheveux, bijoux et même

personnage, symbolisent la psychanalyse aussi. Canapés orientés les uns vers les autres pour montrer interchangeabilité des personnages. La cheminée fait référence à l'enfer. Paradoxe : cheminée éteinte. Les objets conduisent à la déshumanisation. Le miroir reflète l'image de nous que l'on veut voir → absents. Pareil pour lits, livres, brosses à dents... Le canapé empêche de dormir. Le coupe papier sans utilité, symbolise le fait qu'ils sont déjà morts → pourraient s'en servir pour s'entre tuer mais

biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. Il devait recommencer souvent, car elles repoussaient vite. Il alluma la petite lampe du miroir grossissant et s'en rapprocha pour vérifier l'état de son épiderme. Quelques comédons saillaient aux alentours des ailes du nez. En se voyant si laids dans le miroir grossissant, ils rentrèrent prestement sous la peau et, satisfait, Colin éteignit la lampe. Il détacha la serviette qui lui ceignait les reins et passa l'un des coins

minutes devant Lady Lilith, célèbre tableau de Dante Gabriel Rossetti, et observez. Une jeune femme se tient devant vous, peignant sa longue chevelure rousse d’un air langoureux, mélancolique. Les yeux mi-clos, elle regarde son visage, pale, dans un miroir. Ses épaules sont dénudées et son teint très clair, se mélangeant presque avec la longue robe blanche et ondulante qu’elle porte. Au second plan, une fresque de fleurs ainsi qu’une commode en bois foncé apportent fraicheur et harmonie au portrait

Stade du Miroir au cours duquel l’enfant va être partagé entre une certaine jubilation à trouver dans le reflet du miroir une image qui vient lui donner la notion de son unité et à laquelle il s'identifie et d’un autre côté la découverte que cet autre, qui le porte, à savoir sa mère, est une image de laquelle il est séparé. Et il se découvre donc séparé de l'autre. Le « Manque » est aussi vécu par l’enfant en ce sens qu’il découvre ce qui le représente comme image dans le miroir (son reflet)

se représente en train de réaliser son autoportrait à l'aide d'un miroir. Les couleurs resortant le plus sont le bleu (chemise de l'artiste) et le doré (cadre du miroir et casque au dessus de la toile), l'arrière plan est blanc, comme sur la toile, cela donne l'impression que l'oeuvre n'est pas finie, incomplète. Le cadre du miroir est orné de l'aigle, symbole des États-Unis, ainsi/que du drapeau américain. Dans le reflet du miroir on voit N.Rockwell, de face, mais le visage caché par des lunettes