Mise au tombeau

Lorenzo agit seul et personne n'a le courage de le croire et de se servir de son acte comme d'un tremplin pour instaurer une république. Le personnage éponyme sera assassiné par un homme peu de temps seulement après avoir tué le Duc. Sa tête avait été mise à prix. Le mouvement romantique a vu le jour au XIXe siècle, avec des auteurs comme Nerval, Lamartine ou encore Alfred de Musset. Dans un contexte politique trouble et agité, avec un pouvoir en proie aux protestations de la jeunesse, Musset « l’enfant

annonce en filigrane le triste destin du héros. © Éditions Belin/Éditions Gallimard. 8 Dans les répliques de Frère Laurent (scènes 2 et 5), dites quels termes appartiennent aux champs lexicaux de la mort et de la tristesse. Frère Laurent évoque le « tombeau » comme espace d’achèvement de l’amour et affirme que « lentement, ils trébuchent, ceux qui courent trop vite » (scène 2), annonçant ainsi les conséquences de cet amour fulgurant entre les deux jeunes gens. Plusieurs répliques de la scène 5 sonnent

*L’esthétique du masque (personnage = masque en grec) * L’illusion théâtrale *Les conventions théâtral : Les codes , ex : le confident de la tragédie = la servante , habits. *La scénographie :  Aménagement de la scène , l’art du déplacement. *La mise en abyme : Le théâtre dans le théâtre. ex : Hamlet . *La théâtralité : Elocution, gestuel. *L’exposition= le début, Crise=le nœud, dénouement=la fin *La représentation ; les sons, les costumes, les éclairages , les décors , les projections

apparaît aussi comme un esthète. Dans sa déclaration d’intention (I, 2), c’est le thème de la beauté qui revient le plus souvent. Il semble alors aussi séduit que séducteur. De même (III, 5) il n’hésite pas à faire un détour pour admirer la beauté du tombeau du Commandeur. La séduction telle que la pratique Don Juan est aussi une fuite en avant : en renouvelant sans cesse une expérience identique, il tente d’échapper au temps qui passe. Ainsi il vit dans un présent éternel. Il ne doit donc jamais se laisser

de Pitié,( thème artistique de de la peinture chrétienne représentant la Vierge Marie en Mater dolorosa ,expression latine), la mère pleurant son enfant qu'elle tient sur ses genoux, en l'occurrence Christ descendu mort de la Croix avant sa mise au tombeau Ex : Pieta statue en marbre de

ou de la renaissance. Il reprend aussi le cycle de la crucifixion : panneau 1 : chemin de croix, passion du crist et l’assention de mont Golgotha. panneau 2 le crucifixion, panneau 3 : la décente de la croix après sa mort et la prédelle, la mise au tombeau. F) Conclusion : Dix appartient au courant antimilitariste et pacifiste. Il réalise cette œuvre pour témoigner de l’horreur des guerre, son témoignage est réelle, car lui-même a vécus la guerre de l’interirieure. Son œuvre est donc une représentation

obsession de la Beauté qui est di�cile à définir mais qui est indispensable au poète. Le mouvement 2 est la Beauté fatale. - La Beauté est lié à la mort avec 2 strophes encadrés par le lexique de la mort « morts » et à la fin « tombeau ». Le mot « morts » est en césure donc une mise en valeur. Le dernier mots rimes avec « flambeau » donc une rimes su�sante est présente. La Beauté paraît cruelle / diabolique / dangereuse avec la citation « dont tu te moques » qui est sujet des verbes. Une action/réaction

ne vit plus personne » (p. 11). A ce mutisme grandissant – « on ne pouvait plus lui tirer un mot » (p. 16), « il s'excusa une autre fois auprès d'elles de ce qu'il ne s'entendait guère à parler » (p. 17) – correspond d'une part la composition du Tombeau des regrets mais aussi d'autre part cette volonté de se perfectionner dans l'art de la viole, sans oublier enfin la préservation constante de son intimité avec sa épouse morte, Madame de Sainte Colombe : ainsi, il entend encore sa voix, « une voix

créer des modèles profondément originaux. Ils ont excellé en architecture, art dans lequel ils furent des concepteurs de génie. Dans la réalisation, leur talent s'est manifesté plutôt dans la décoration et la sculpture que dans la maçonnerie et sa mise en œuvre. Les Khmers ont adopté deux dispositions pour construire leurs sanctuaires : le Temple plat qui consiste en une terrasse légèrement surélevée supportant une série de tours généralement dédiées aux souverains défunts ou aux parents du roi

2001. Carole Vantroys. "Une robe pour héroïne". Lire, septembre 2001. Chronique de La Petite Robe de Paul en ligne "Polémique: cette femme qui dit non à l'Islam". Le Point, 24 mai 2002. "La chanson dans le texte". Le Monde, 21 juin 2002. "Mise au tombeau". Le Monde, 28 mai 2004. "Lisez "Un secret" !". Le Nouvel observateur, 1er juillet 2004. "Assaut à la mousquetaire contre l'institution". Le Figaro, 9 novembre 2004. Marie-Dominique Lelièvre. "Le Frère du fils unique", Lire, décembre 2004-janvier