Mise En Abyme Du Théâtre Fin De Partie

Séquence 2nde Le devenir d’un mythe tragique : étudier Electre de Jean Giraudoux (1937). (édition Petits Classiques Larousse, séquence réalisée durant l'année scolaire 2005-2006) De l’Antiquité au XXe siècle. Objets d’étude : a- le théâtre (évolution du genre) b- l’éloge et le blâme ; genres et registres. Objectifs : 1) identifier les caractéristiques du registre tragique. 2) comprendre comment se construit le personnage tragique. 3) étudier les stratégies du blâme. Séance

renvoie a l'image d'un cratere volcan. " Homere est nouveau ce matin, et rien n'est peut etre aussi vieux que le journal d'aujourd'hui" Charles Peguy. Oeuvre d'une rare modernité. LA PAROLE : A- muses B- narrateur C- héros D- mise en abyme E- parole persuasive, provocatrices F- hexametre dactylique --> regularité rythmique G- et les mensonges (non-dits, omissions d'Ulysse et les autres) H- mortiferes (sirenes, invocation de Polyphème a Poseidon) => elle permet la

Séquence IIŒuvre intégrale  Ecriture : 1778 Date de la 1ère représentation : 1784 Alors même qu’il avait été écrit en 1778, il n’a été joué au théâtre qu’en 1784, certainement à cause de ce monologue ( le plus long monologue du théâtre Français ) dans lequel Beaumarchais prête à son valet toutes ses idées politiques. Nous sommes au début du dernier acte dans le parc du château d’Aguas Frescas en Espagne. La scène est plongé dans l’obscurité totale. Cet acte réserve une ultime épreuve à

Amorce : Le théâtre, par ses artifices matériels et ses conventions, semble nous écarter du réel et de la vérité. Les termes jeu etjouer indiquent bien ce côté factice et illusoire. Problématique : Mais le théâtre n'est-il qu'artifice et conventions, ou l'illusion théâtrale dévoile-t-elle la vérité ? Annonce du plan : S'il n'est pas « le pays du réel » (Hugo), le théâtre ne dépasse-t-il pas l'artifice pour nous conduire par des détours à ce que Hugo appelle « le vrai » ? I. Le théâtre : artifice

Amorce : Le théâtre, par ses artifices matériels et ses conventions, semble nous écarter du réel et de la vérité. Les termes jeu et jouer indiquent bien ce côté factice et illusoire. Problématique : Mais le théâtre n'est-il qu'artifice et conventions, ou l'illusion théâtrale dévoile-t-elle la vérité ? Annonce du plan : S'il n'est pas « le pays du réel » (Hugo), le théâtre ne dépasse-t-il pas l'artifice pour nous conduire par des détours à ce que Hugo appelle « le vrai » ? I. Le théâtre : artifice

en scènes x Il n’y a pas d’intrigue : Clov répète qu’il va quitter Hamm ; Hamm qu’il veut son calmant x Les conversations semblent absurdes, dépourvues de progression logique. Il est difficile d’en faire un résumé clair. On a l’impression qu’à la fin, la pièce peut recommencer -> Réaction de Clément : La pièce a des aspects comiques, notamment par le langage, les échanges et la situation. 2) Lieux et personnages Ça se passe dans un univers clos, un huis clos (huis = porte), le « refuge » p

I - Réaction des personnages : Iphicrate essaye de maintenir l'ordre ancien et de ne pas accepter les changements. Il a peur de perdre la liberté sur cette île, et c'est pour cela qu'il aimerait vite partir de cette île. Comme il a besoin de son esclave pour retrouver d'éventuels compagnons qui auraient survécu au naufrage, il adopte une fausse amabilité envers Arlequin, il devient poli avec lui (160 à 62). Mais malgré sa peur, il continue d'insulter son esclave (188 : "Esclave insolant"), de rappeler

FRANÇAIS CONCLUSION: LL princesse de cleves Cette confession que Madame de Clèves fait à son mari révèle la grandeur héroïque des protagonistes qui se vouent un respect mutuel hors du commun. Elle met aussi en évidence la souffrance intense à laquelle sont en proie nos deux héros, suscitant la compassion du lecteur. Cette scène atypique permet en outre de faire avancer l’action puisque cet aveu sera à l’origine de la mort du Prince de Clèves.LL1313h55 à 14h55Conseils pour progresser :-Il faut expliquer

livre un récit qui tourne la plaidoirie de son avocat et son procès en dérision. 2. Il semble étranger à son procès... 3. … parce qu'il est aux prises avec ses sensations. L’avantage de ce premier plan est qu’il permet de traiter, dans la dernière partie, l’ensemble des sensations éprouvées par Meursault (les sensations négatives, les sensations de bien-être). Proposition de plan 2, plus simple 1. L’accusé livre un récit qui tourne en la plaidoirie de son avocat et son procès en dérision. 2. Assiégé

d'abord en quoi le théâtre est un art de l'artifice et de l'illusion. Nous verrons ensuite que, cependant, il est aussi l'expression authentique d'une certaine réalité. I. Un art de l'artifice et de l'illusion 1. La scénographie donne à voir un univers factice Le théâtre est essentiellement « représentation ». Or « représenter » signifie « remplacer », « tenir lieu de », « figurer » (comme en peinture). Le verbe implique la notion d'illusion. Et, de fait, rien n'est vrai au théâtre. Tout ce qui fait