Miséricorde

fête nationale égyptienne, fête de la Révolution. Ce qui permet de situer les faits est l’évocation (l. 27) du président égyptien Jamal Abdel Nasser, présent à ces soirées. Ce qui permet de dater ce texte est l’expression “que Dieu lui accorde sa Miséricorde” (l. 25). A.Hafez a donc écrit ce texte après la mort de Oum Kalthoum, survenue en 1975. Lui-même étant décédé en 1977, le texte a été écrit dans cet intervalle. 6. a - Il s’agit d’un récital, une séance musicale, c’est à dire une suite de plusieurs

prière effectuée par l’assistance. On annoncera le décès aux proches parents, aux amis et aux croyants désirants assister aux obsèques organisées avec discrétion et sobriété. L’islam considère cette attitude comme preuve de méfiance à l’égard de la miséricorde divine. Il est déconseillé aux femmes porteuses de vie d’accompagner un convoi funèbre. Elles pourront venir se recueillir sur la tombe dès le quarantième jour après l’enterrement ( l’âme est auprès de son Créateur). Dans l’islam le deuil est

2CAP AS Lycée Providence Miséricorde 42 rue de le Nostre 76000 Rouen

proche, il ne lui reste plus qu’à ôter sa robe, son précieux bijou et se glisser sous les draps. Juste un dernier coup d’œil à sa rivière de diamants qu’elle semble regretter déjà. Oh, stupéfaction, voila que le collier a disparu de son coup : « Miséricorde…». Aussitôt s’engage une recherche effrénée dans l’espoir de retrouver le collier dans les plus brefs délais. Cela ne donne rien. Vint l’idée d’écrire à Mme Forestier pour lui signifier que son collier à subit une légère entorse au niveau de

une certaine médiocrité de notre société actuelle . La haine de ce monde est seulement retranscrite dans nos spectacles . Nos comédiens en sont conscient et c’est cela qui fait l’art du théâtre .En avoir plein les yeux , se reconnaitre dans la miséricorde des personnages fait parti des scene theatrales sans pour autant chercher à vous choquez . Cela n’est point notre but . Cependant si vous en avais eu l’impression je ne peux qu’en m’excuser . Vous faites partie de notre spectacle et de la vie

l'intempérie de vos entrailles, à la corruption de votre sang, à l'âcreté de votre bile, et à la féculence de vos humeurs. Toinette C'est fort bien fait. Argan Mon Dieu ! Monsieur Purgon Vous deveniez dans un état incurable. Argan Ah ! Miséricorde ! Monsieur Purgon Que vous tombiez dans la bradypepsie. Argan Monsieur Purgon ! Monsieur Purgon De la bradypepsie dans la dyspepsie. Argan Monsieur Purgon ! Monsieur Purgon De la dyspepsie dans l'apepsie. Argan Monsieur Purgon ! Monsieur

bouche qui me parle de Roméo, me parle une langue céleste... Eh bien, nourrice, quoi de nouveau ? LA NOURRICE. – Oh pauvre Juliette ! JULIETTE. - Mon Dieu ! que se passe-t-il ? Pourquoi te tordre ainsi les mains ?
 LA NOURRICE. - Ah ! miséricorde ! il est mort, il est mort, il est mort ! Nous sommes perdues, madame, nous sommes perdues ! Hélas ! quel jour ! C'est fait de lui, il est tué, il est mort !
 JULIETTE. - Le Ciel a-t-il pu être aussi cruel ?
 LA NOURRICE. - Roméo l'a pu, sinon

exagèrent trop l'injustice que l'on fait aux Africains. Car, si elle était telle qu'ils le disent, ne serait -il pas venu dans la tête des princes d'Europe, qui font entre eux tant de conventions inutiles, d'en faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié ? EXTRAIT DU DISCOURT DU 05 MARS 1848 de VICTOR SCHOELCHER: "Mes chers amis trop longtemps nous nous sommes, désunis sur les questions essentielles Nous devons nous unir pour combattre cette bête immonde qu'est l'esclavage

fait une guerre purement de religion » Chaque nation a fait une guerre et à tué au nom de la religion. Et les musulmans alors ? Et bien Voltaire semble être dans le même cas mais il insiste que les musulmans n'ont jamais accordé la pitié et la miséricorde et ont toujours tué ce qui demandait pardon  Très virulent et dénonce énormément cette religion symbole de l'obscurantisme pour une lumière comme Voltaire.  De plus il y a des piles d'argents accompagnants les piles de cadavre : dénonce l'aspect

nouveau les condamnés comme leurs semblables, et, idée récurrente, de ne pas rire de leur sort. Pour convaincre ses semblables, le poète a recours à divers arguments : Au vers 2 : « Car si vous avez pitié de nous, pauvres, Dieu aura plus tôt miséricorde de vous. », le poète montre que leur pitié leur apportera en retour celle de Dieu. Au vers 12 : « Toutefois vous savez Que tous les hommes n'ont pas sens bien rassis. ». C’est un argument concessif soulignant justement qu’ils ont été condamnés