Missak Manouchian

et trois qui donnaient leur coeur avant le temps Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant. Louis Aragon, Le Roman Inachevé La lettre de Manouchian à sa femme Mélinée (1944) : Ma Chère Mélinée, ma petite orpheline bien-aimée, Dans quelques heures, je ne serai plus de ce monde. Nous allons être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m'arrive comme un accident dans ma vie, je n'y crois

et le régime de Vichy en multipliant les attentats dans Paris. Février 1943, l’Arménien Missak Manouchian prend la tête de la brigade des FTP- MOI de la région parisienne. Il est arrêté le 16 Novembre 1943 avec les membres de son groupe (appelé le groupe Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de torture, les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les 22 hommes sont fusillés

de Paris, par la propagande Allemande. Elle fut vite appelée « L’affiche rouge ». Elle présente les portraits de 10 résistants, parmi les 23 terroristes, membres du groupe Manouchian, dirigé par Missak Manouchian, un Arménien. Le réseau Manouchian a été constitué et organisé en février 1943. Il faisait partie d’un groupe de résistance appelé les « Francs-tireurs et partisans – main-d'œuvre immigrée » (FTP-MOI). Ce groupe

le régime de Vichy en multipliant les attentats dans Paris. En Février 1943, l’Arménien Missak Manouchian prend la tête de la brigade des FTP- MOI de la région parisienne. Il est arrêté le 16 Novembre 1943 avec les membres de son groupe (appelé le groupe Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de torture, les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les 22 hommes sont fusillés

le régime de Vichy en multipliant les attentats dans Paris. En Février 1943, l’Arménien Missak Manouchian prend la tête de la brigade des FTP- MOI de la région parisienne. Il est arrêté le 16 Novembre 1943 avec les membres de son groupe (appelé le groupe Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de torture, les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les 22 hommes sont fusillés

placardée sur les murs des grandes villes de France ; elle est aussi reproduite sur des tracts distribués dans les rues.. Cette affiche, vite appelée « l’Affiche rouge », présente les portraits de dix résistants parmi les 23 membres du « groupe Manouchian » qui vont être fusillés au Mont-Valérien le 21 février 1944. Cette affiche, commanditée par les nazis, vise à démontrer à la population française, que ces hommes ne sont pas des libérateurs mais des terroristes, que la résistance n’est pas une

Allemagne qui occupé la France a a faire en 1944 à des réseaux de résistance qui tentent de lutter contre l’occupation allemande. Elle montre ici les membres du réseau Manouchian, qui sont des résistant qui refusent l’occupation allemande et qui suivent le générale De Gaule et qui est dirigé par le poète Arménien Missak Manouchian. Description de l’affiche. Cette affiche est constituée de 3 parties. Les couleurs dominantes sont le

Roman inachevé, « Strophes pour se souvenir » (1956) [Au nom de la liberté p. 72-74] A étudier en parallèle avec les documents complémentaires suivants (voir documentation complémentaire et liens sur l’ENT, fichier « programme séquence 3 ») :  MANOUCHIAN Missak, Lettre à Mélinée (1944). [Au nom de la liberté, p. 70-72]  MORGAN Claude, « L’affiche », Les Lettres françaises, texte publié dans Pierre SEGHERS, La résistance et ses poètes, 1974, rééd. 2004, p. 290. 1 5 10 « Très haute et dramatique

CEA (comité d’étude anti-bolchévique), un organisme de propagande franco-allemand à la demande des Allemands qui souhaitaient frapper un grand coup après le retentissement de l’assassinat du général Ritter (chef du STO en France) par le réseau Manouchian. Contexte historique : En 1944, la résistance est organisée et active. En effet, depuis 1942 et la création du CNR(conseil national de la résistance) par Jean Moulin, la résistance est structurée, disciplinée, sous les ordres de Londres

retentissement de l’assassinat du général Ritter (chef du STO en France) par le réseau Manouchian. Contexte : Les FTP- MOI (Francs-Tireurs et Partisans-Main d’OeuvreImmigrée) ont été créés au printemps 1942 à Paris. Ce sont des résistants communistes, et pour beaucoup étrangers. Ils harcèlent l’occupant nazi et le régime de Vichy en multipliant les attentats dansParis. En Février 1943, l’Arménien Missak Manouchian prend la tête de la brigade des FTP- MOI de la région parisienne. Il est arrêté le