Missak Manouchian

de la collaboration), après le démantèlement du « groupe Manouchian » en novembre 1943. Contexte historique : Groupe Manouchian À partir de l'été 1943, le groupe FTP-MOI (Francs-Tireurs et Partisans – Main d'Œuvre Immigrée),composé de travailleurs immigrés et lié au Parti communiste, se lance dans la lutte armée contre l'occupant. Des dizaines de sabotages et d'attentats sont organisés avant que le groupe, dirigé par Missak Manouchian, ne soit arrêté en novembre. Jugés par un tribunal allemand

 LA DERNIERE LETTRE DE MISSAK MANOUCHIAN A SA FEMME Étude de la lettre : Titre → la lettre de Michel Manouchian a sa femme Quand ? → 21 février 1944 Destinataire → Mélinée ( sa femme) Lettre privée : Formule d'appel → présence destinataire et expéditeur : «  Ma chère Mélinée , ma petite orpheline bien aimée » « Je ne te verrais plus jamais » « Je t'embrasse

L'affiche rouge est une affiche de propagande et un montage fait par les nazis. Les murs de grandes villes françaises sont couverts d'affiches rouges, le 21 février 1944. Elles annoncent l'exécution de 23 « terroristes » du groupe dirigé par Missak Manouchian (membres des FTP Francs Tireurs Partisans qui avaient organisé des actions de guérilla contre l'occupant allemand ) L'affiche aborde la collaboration et la lutte contre la résistance. Contexte historique : L'affiche rouge intervient dans

appartenant aux Francs Tireurs Partisans de la Main-d’Oeuvre Immigrée (FTP-MOI), étaient dirigés par Missak Manouchian.  Pour en savoir plus : Qui a créé cette affiche ? Quel message voulait-elle véhiculer ? A-t-elle vraiment atteint son but ? * un « reportage » des services de propagande concernant l’arrestation des résistants du groupe Manouchian : La lettre de Manouchian Missak Manouchian, poète et résistant arménien incarcéré à Fresnes, écrit une dernière lettre à sa femme, Mélinée. Il

L'affiche rouge Cette œuvre date du 20ème siècle (février 1944), en France. L'auteur de cette œuvre est Louis Aragon. Cette affiche, vite appelée l'Affiche rouge, présente les portraits de dix résistants parmi les 23 membres du groupe « Manouchian ». Le domaine artistique de cette œuvre est l'art du visuel, le rôle d'une affiche étant d'être vue, d'appeler le regard et d’interpeller. C'est une affiche de propagande placardée dans toute la France lors de l'occupation nazi, dans le contexte

sont des résistants communistes, et pour beaucoup étrangers. En Février 1943, l’Arménien Missak Manouchian prend la tête de la brigade des FTP- MOI de la région parisienne. Il est arrêté le 16 Novembre 1943 avec les membres de son groupe (appelé le groupe Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de torture, les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort pour leurs actes « terroristes » par un tribunal militaire

communistes, et pour beaucoup étrangers. Ils multiplient les attentats dans Paris. En Février 1943, l’Arménien Missak Manouchian est à la tête des FTP-MOI, il est arrêté le 16 Novembre 1943 avec les membres de son groupe (appelé le groupe Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de tortures ,les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort. Les 22 hommes sont fusillés le 21 Février 1944 et Olga Bancic, la seule femme

d'origine arménienne, Missak Manouchian (36 ans), communiste. c) OEUVRE Le titre de cette œuvre, qui est une affiche, est «l'affiche de propagande» ou «l'affiche rouge». Cette affiche est un montage de photos et de textes évocateurs. Le rouge évoque le sang, mais aussi le communisme, cible de la propagande des Allemands et de Vichy, et le noir évoque la mort. Ces derniers donnent une connotation morbide à cette affiche. Les photos de 10 membres du groupe Manouchian sont disposées en triangle

inquiétants de 10 hommes. Sous chaque portrait figure son nom à consonance étrangère, sa religion s'il est juif et/ou son appartenance politique s'il s'agit d’un communiste. Le nombre d'«attentats» imputable à chacun est mentionné. Sous le médaillon de Manouchian, le chef du groupe, apparaît le nombre de morts causés par ses actions. Le choix des couleurs est révélateur du message transmis : le rouge, couleur du sang et du communisme pour le fond de l'affiche, le blanc pour la question en caractères gras

régime de Vichy en multipliant les attentats dans Paris. En Février 1943, l’Arménien Missak Manouchian prend la tête de la brigade des FTP- MOI de la région parisienne. Il est arrêté le 16 Novembre 1943 avec les membres de son groupe (appelé le groupe Manouchian) par la police française et remis aux autorités allemandes. Du 15 au 18 Février 1944, après des mois de torture, les 23 membres du groupe Manouchian sont jugés et condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les 22 hommes sont