Missile balistique intercontinental

CBPRD CIA CINC CRM DARPA DC DEIS DoC DoD DoE EISCAT ELF EMP EPA ERP eV FAS FEIS GRIP GW HAARP HF HIPAS hPa HPMW Hz IASB Artificial Ionospheric Mirror Air Operations Center Advanced Power Technologies, Inc. Atlantic Richfield Company Ballistic Missile Defense Initiative Benign Weather Modification Command, Control and Communication Crédits Budgétaires Publics pour la Recherche et Développement Couter Intelligence Agency Commander in Chief Chemical Release Module Defense Advanced Research Projects

1944 à 11h, la première fusée stratégique décolle des Ardennes belges et s’écrase après 20 minutes de vol à Maison-Alfort, près de Paris, un deuxième engin touche l’agglomération londonienne dans la soirée. L’ère des missiles vient de commencer, le V-2 est le père de tous les missiles qui verront le jour durant le XXe siècle. Le 12 octobre, Hitler ordonne de cesser les tirs contre la France après une centaine de lancements et de concentrer les tirs contre Londres et Anvers à partir de la Hollande

directement dans le développement de l’arme suivante : le missile. Aviation soviétique en 1941, elle est morte. Les conditions techno de ce choix sont réunies puisque l’armée rouge a mis la main sur des stocks importants de V2 (fusées à réaction) allemand qui n’avaient pas été envoyés. Dans les années 50, soviets et USA mettent en place des projets de missiles intercontinentaux capables de transporter l’arme thermonucléaire (InterContinental Ballistic Missile). Côté américain, on bénéficie de l’essentiel des

États-Unis le « missile gap », la crainte d’être dépassés par l’URSS. Des crédits considérables sont alors votés par le Congrès et mis à la disposition de la NASA, créée en 1958. Dans la réalité, les programmes américains sont loin d’être en retard et le « missile gap » permet leur accélération, comme on peut le vérifier ci-dessous : Programme Date de lancement Utilisation ICBM (1) 1954 1960 IRBM (2) 1955 1958 SLBM (3) 1956 1959 (1) missiles balistiques intercontinentaux d’une portée supérieure

aux États-Unis le « missile gap », la crainte d’être dépassés par l’URSS. Des crédits considérables sont alors votés par le Congrès et mis à la disposition de la NASA, créée en 1958. Dans la réalité, les programmes américains sont loin d’être en retard et le « missile gap » permet leur accélération, comme on peut le vérifier ci-dessous : Programme ICBM (1) IRBM (2) SLBM (3) Date de lancement 1954 1955 1956 Utilisation 1960 1958 1959 (1) missiles balistiques intercontinentaux d’une portée supérieure

anti-cités à une stratégie anti-forces (c’est à dire tournée contre les objectifs militaires ) ; cette politique proposée à l’OTAN dès 1962 est adoptée en 1967. Cependant, les USA étant convaincus d’être en retard sur l’URSS en matière d’engins balistiques, Kennedy augmente le budget de la Défense pour accroître l’équipement nucléaire et conventionnel des USA lance le programme « Apollo » pour dépasser les Russes dans la course à l’espace et envoyer deux américains sur la lune avant la fin de

stratégie anti-forces ( c’est à dire tournée contre les objectifs militaires ) ; cette politique proposée à l’OTAN dès 1962 est adoptée en 1967. ⇨ Cependant, les USA étant convaincus d’être en retard sur l’URSS en matière d’engins balistiques, Kennedy ▪ augmente le budget de la Défense pour accroître l’équipement nucléaire et conventionnel des USA ▪ lance le programme « Apollo » pour dépasser les Russes dans la course à l’espace et envoyer deux américains

forme majoritaire elle a disparu aujourd’hui. 2) La guerre stratégique Forme qui commence a la renaissance et qui se terminer à la fin du 20ème siècle c’est une guerre de mouvements avec des armes de destruction (canons …) mais a la fin les missiles (terre mer, mer terre). Plus les années avancent plus les écarts sont importants entre les combattants. 3) La guerre logistique ou trans-politique Cette guerre démarre véritablement au moment de la guerre du golf c'est-à-dire à la fin du

appareil dans sa cuisine. En 1938, Konrad Zuse commença la construction des premières séries-Z, des calculateurs électromécaniques comportant une mémoire et une programmation limitée. Zuse fut soutenu par la Wehrmacht qui utilisa ces systèmes pour des missiles guidés. Les séries-Z furent les précurseurs de nombreuses avancées technologiques telles que l’arithmétique binaire et les nombres en virgule flottante. Konrad Zuse mit au point cette année-là le Z1 (ou Versuchsmodell), qui ne fonctionna jamais

signature d’un accord entre les USA et l’URSS en mai 1972 à Moscou (accord valable pour Moscou) : plafonnement des armes stratégiques (missiles balistiques intercontinentaux) à un certain niveau, ainsi que des sous-marins atomiques lanceurs, limitation des missiles anti-balistiques MAIS on ne s’interdit pas d’améliorer les armes existantes (miniaturisation et missiles avec ogives à tête multiples) ni d’en chercher de nouvelles ( bombe N = bombe à neutrons, qui détruit toute forme de vie mais laisse