Misère De L Homme Sans Dieu

♦ Qu’est-ce que le moi ? Laf. 688, Sel. 567. Qu’est-ce que le moi ? Un homme qui se met à la fenêtre pour voir les passants ; si je passe par là, puis-je dire qu’il s’est mis là pour me voir ? Non ; car il ne pense pas à moi en particulier ; mais celui qui aime quelqu’un à cause de sa beauté, l’aime-t-il ? Non : car la petite vérole, qui tuera la beauté sans tuer la personne, fera qu’il ne l’aimera plus. Et si on m’aime pour mon jugement, pour ma mémoire, m’aime-t-on, moi ? Non, car je puis

LES PENSEES I - SYNTHESE 1 - La grande misère de l’Homme L’Homme par sa nature est faible et misérable. Physiquement, il est limité et coincé entre l’infiniment grand et l’infiniment petit. Des forces s’acharnent sur son corps (maladies, vieillesse, mort…) Intellectuellement, il est limité par le fait qu’il n’accède jamais à la vérité. Les puissances trompeuses (telles que l’imaginations qui brouille ses perceptions) le dominent. Dans sa vie sociale, il obéit à des coutumes, conventions.

Satan, avec la permission de Dieu. Job supporta avec résignation la perte de ses biens, de ses enfants (sept fils et trois filles qui périrent dans l’effondrement de leur maison), ainsi que les souffrances de la maladie. Puis il supporta de même les réprimandes de trois de ses amis, sans renier une fois son Dieu. Dieu lui rendit alors le double de ses anciennes possessions et ses enfants reprirent vie. Dans Fin de partie : p. 15 « Peut-il y a-(bâillements)- y avoir misère plus… plus haute que la mienne 

BACQUET 1G1 Le texte étudié est le Discours sur la misère, écrit et prononcé par Victor Hugo le 9 juillet 1849 à l’Assemblée nationale législative. Ici, V. Hugo lutte contre la misère et tente de persuader l’Assemblée « d’examiner et préparer les lois relatives à la prévoyance et l’assistance publique ». Nous pourrons alors nous demander en quoi ce texte est un réquisitoire contre la misère et contre l’incapacité des parlementaires. La lecture analyse débutera avec

d’un gentilhomme campagnard partageant son temps entre son service à la cour de France et de longs séjours sur ses terres, dans son village à Montoire. L’auteur, Marie Du Bois qu’on retrouve également orthographié sous la forme de Marie DuBois est un homme (il justifie lui-même la féminité de son prénom des suites d’un vœu paternel à la Vierge) appartenant aux simples gentilshommes, issus d’une noblesse très ancienne mais avec une influence limitée à son village. Il est né le 6 juillet 1601 dans le village

XIX°. Né à Besançon le 26 février 1802 et mort à Paris le 22 mai 1885, il domine tout le siècle. On le présente comme un homme de combat. Dès l’âge de 16 ans il se décide pour une carrière littéraire. A 18 ans, il fonde Le Conservateur Littéraire, un journal ultra-royaliste. A 20 ans, il épouse Adèle Foucher, une amie d’enfance, dont il aura cinq enfants. C’est alors un jeune homme fougueux. A partir de 1824 il mène un double combat littéraire et politique (social). Il fait figure de chef de file du

vingt ans après les guerres, pour rappeler aux siècles oublieux les « Misères » (titre du livre I) qui sont un « tableau piteux du royaume en général » car, le poète déclare :             Je veux peindre la France une mère affligée. Le livre II, « Princes », est une violente satire* contre la cour, Sodome nouvelle, où Catherine de Médicis est présentée comme une sorcière, et Henri III comme « un Roi femme ou bien un homme Reine ». En la « Chambre Dorée », du livre III, la chambre de justice du

Texte 3 des Misérables Introduction : Victor Hugo commence la rédaction des Misérables dans les années 1840 en France, sous le titre « les Misères ». Entre 1860 et 1862 en exil il reprend et amplifie son livre et donne à J.V une vrai dimension symbolique et spirituel. Dans cet extrait J.V qui a promit à Fantine de récupérer sa fille se rend chez les Thénardiers le soir de Noël. Il rencontre Cosette dans la forêt alors que celle ci est partie effrayée chercher de l'eau. Cette rencontre est déterminante

significatif est ici le moment de sa conversion. Il s'est rendu compte de son imperfection et du péché qui l'entravait. Ce péché se réalisait surtout dans son activité poétique. Car il créait des œuvres mondaines , qui {text:soft-page-break} ne louaient pas Dieu[^3]. Au moment de sa conversion il décide donc d'arrêter de les écrire: _Il me faut laisser la rime: combien j'ai lieu de m'inquiéter de l'avoir si longtemps cultivée[^4]. Toutefois le péché ne se réalise pas seulement a cause de cette poésie. Car

.................................................................. 3 II VANITÉ .............................................................................................................................................................. 4 III. MISÈRE.......................................................................................................................................................... 10 IV. ENNUI...............................................................................