Mitrailleuse

de maçonnerie qui laissent supposer qu’il y a eu là une construction, qu’il y a eu des «hommes»... Je croyais avoir tout vu à Neuville. Eh bien non, c’était une illusion. Là-bas, c’était encore de la guerre: on entendait des coups de fusil, des mitrailleuses, mais ici rien que des obus, rien que cela; puis des tranchées que l’on se bouleverse mutuellement, des lambeaux de chair qui volent en l’air, du sang qui éclabousse... Tu vas croire que j’exagère, non. C’est encore en dessous de la vérité. On

largement eur col et étendirent leurs jambes devant eux. Dans l’obscurité humide du wagon, je respirais avidement l’odeur de cuir et de sueur qui émanait d’eux. » Réservé à ceux qui savent lire entre les lignes… de même que : « Je me sentais seul, la mitrailleuse luisait entre mes jambes, et un sentiment de contentement m’envahit » (p. 80), puis « les jeunes et splendides volontaires des Unités « Têtes de mort » » (p. 240), et « Il était grand, blond, bien découplé, avec une taille très mince » : un soldat

avril 1937; on le voit d'ailleurs dans le tableau : sur le corps du cheval, Pablo PICASSO a effectué du collage avec les journaux de l'époque; et les couleurs du tableau sont celles de l'ancienne imprimerie. Il y aura des bombes explosives, des mitrailleuses et des bombes incendiaires. Au total, la Légion Condor aura lâché 50 tonnes de bombes incendiaires. Après cela, 20% de la ville était en flammes. Le feu s'étant propagé, il a détruit 70% des habitations. Il y eu environ 1 600 morts durant cette

On les appelle les « munitionnettes ». Elles travaillent dans les hôpitaux et les champs… C) L’horreur de la guerre et la brutalisassions des corps et des esprits provoquées par les nouveaux armements issus de l’industrie de guerre (gaz, mitrailleuses…) D) Cette couverture pousse à la haine : détester l’ennemi. Il s’agit de la propagande. E) Des violences sur les populations : violences matérielles, violences physique, les première tentatives pour détruire une pop ( génocide arménien)

une froide vérité sommée d’une lame tranchante. J’ai raison. Mon jeune passé sportif saura suffire. Me voici les nerfs tendus, les muscles bandés, prêt à bondir dans la réalité. J’ai bravé la torpille, le canon, les mines, le feu, les gaz, les mitrailleuses, toute une machinerie anonyme, démoniaque, systématique, aveugle. Je vais braver l’homme. Mon semblable. Un singe. Œil pour œil, dent pour dent. A nous deux maintenant. A coups de poing, à coups de couteau. Sans merci. Je saute sur mon antagoniste

avec l'imagerie traditionnelle de la guerre. Le conflit prend une ampleur extraordinaire, impliquant, par le jeu des alliances, plus de la moitié de la planète : il provoqua la mort de huit millions d'hommes en Europe. Les armes utilisées (mitrailleuses, avions, gaz asphyxiants, mines, chars d'assaut) sont de plus en plus meurtrières. L'usage prédominant de l'artillerie lourde (canons, obus) contraint les soldats à se terrer dans des tranchées, créant les conditions propices à une guerre d'usure

particulièrement peuplé. Quatre groupes de la légion Condor protégées par des avions de chasse italiens procèdent au bombardement de la ville de Guernica afin de tester leurs nouvelles armes. L’attaque commence à 16h30 aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et enfin aux bombes incendiaires. Après avoir lâché 50 tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h45. Après le massacre, 20% de la ville était en flammes et l’aide des pompiers s’avérant inefficace,

événement majeur de la guerre d'Espagne, qui contribua à internationaliser la médiatisation du conflit, par l'intermédiaire notamment du tableau de Pablo Picasso représentant la scène. L'attaque commence à 16h30, aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et enfin aux bombes incendiaires. Après avoir lâché quelques 50 tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h45. Après le massacre, 20% de la ville était en flammes, et l'aide des pompiers s'avérant inefficace

froide je l’aperçu. Il avait un visage décomposé, cadavérique. Il avait reçu une balle dans l’œil, le dévisageant. Il était bien mort et son corps était en état de putréfaction dans l’eau. Malheureusement pour moi j’avais crié un peu trop fort, les mitrailleuses était cachée pas loin dans les ruines. Ils m’ont fauchés, je reçu huit projectiles perforants mes intestins et mon poumon gauche. Je pensais que tout était fini pour moi mais, chanceux, un de mes amis à entendu la fusillade, il est venu me sauver

| |Daniel n’était pas non plus intéressé par les ……………………………, et moins encore par les mots du rayon voisin. […] C’était le rayon des mots agressifs, et | | |sur les étagères on trouvait des mots comme claque, coup de poing, bombe, mitrailleuse. | |15 |Marcello ARGILLI, Nouvelles d’aujourd’hui | I Le premier