Mitsubishi

japonaise, un Kereitsus associe trois chose : Entreprises d’activités diverses concentrés en conglomérat (activités dans des domaines très variés, industries, services,…) Banque Une soyoshosha (association prospectant les meilleurs marchés) Ex : Mitsubishi, Mitsui il ya une forte cohésion sociale, qui se manifeste par un fort attachement des ouvriers à leurs entreprises. On recherche la paix sociale dans l’intérêt de l’entreprise mais cela change à l’heure actuelle. c) Le Japon a différé

Telecity Group utilise la reconnaissance de l'iris depuis plus de deux ans dans ses data center à Courbevoie et à Aubervilliers Expérimentation technique sur 5 aéroports (Bordeaux, Lille, Lyon, Nice, Toulouse) lancée en 2004 Distributeurs bancaires : Mitsubishi (veines), Iris Bancaire (FT R&D) Cartes bancaires d’identification biométriques (Sagem en Malawi, Oberthur en Côte d’Ivoire, les banques en AsiePacifique qui donnent l’accès aux services de microcrédit aux personnes illettrées) Exemple Qu’est-ce

se retrouve aussi à Taïwan et en Chine. - De très grandes entreprises qui forment des FTN puissantes. Au Japon, ce sont les Keiretsu c'est-à-dire des congloméras d’entreprises combinant des activités bancaires, industrielles, commerciales comme Mitsubishi qui est composé de 300 activités différentes. - En Corée du Sud, ce sont les Chaebols comme Samsung. L’Asie Orientale, une aire de puissance littorale Une littoralisation de l’économie L’Asie orientale est la première façade maritime du monde

Certaines firmes sont désormais considérées comme étant comparables à des États. Selon le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), en 1999, financièrement, la société américaine Ford équivalait à la Norvège, et les japonaises Mitsui et Mitsubishi respectivement à l'Arabie saoudite et à la Pologne. À cette époque, sur les 100 premiers acteurs économiques mondiaux, 55 étaient des multinationales7. Ces analogies ne sont pas forcément très pertinentes. Johan Norberg, économiste suédois, les

sur un moteur diesel, puis s'en suit une popularisation par le groupe Volkswagen et son moteur TDI.A la fin des années 90, quelques expériences sur le moteur à essence refont surface. Deux constructeurs vont explorer dans cette voie.Tout d'abord Mitsubishi qui introduit le GDI dès 1996 sur ses modèles Galant/Legnum, les Japonais ont défini trois modes de fonctionnement pour l'injection directe essence : la combustion ultra pauvre pour la ville et les trajets où l'on roule à moins de 120 km/h, le mode

que peu de place à l’implantation de JCDecaux sur son territoire. Cependant c’est grâce à l’imagination débordante des publicitaires que le groupe a réussi à imposer sa propagande commerciale. Pour y parvenir, JCDecaux a misé sur une alliance avec Mitsubishi Corporation. De cet accord entre les deux géants est né MC Decaux : filiale dont JCDecaux est propriétaire majoritaire à hauteur de 60% contre seulement 40 % pour Mitsubischi. Afin de continuer son expansion, JCDecaux a choisi de se concentrer

(Massachussetts) pour produire des batteries Li-ion pour ses futurs modèles hybrides rechargeables (Chevrolet Volt et Opel Ampera), mais aussi pour d’autres types de transports : bus, camions et même avions. En passe d’être racheté par PSA, le japonais Mitsubishi Motors produit déjà ses propres batteries Li-ion pour sa citadine i-MiEV et ses futurs dérivés Peugeot et Citroën. Le géant allemand Volkswagen mise également sur le savoir-faire nippon à travers son partenariat avec Sanyo.  Tandis que Mercedes

des licenciements. La surproduction du groupe par rapport à ses ventes. Opportunities Threats Le groupe a la possibilité de jouer la synergie avec les groupes avec lesquels il entretient des rapports de travail, comme General Motors ou Mitsubishi  Ouverture des marchés émergents, tel que la Chine et le Brésil Emergence des véhicules hybrides et électriques. Concurrence de plus en plus forte sur un marché de plus en plus petit Prix des matières premières en Hausse, entrainant une

(mais qui reste inférieure à ses voisins) * Ce modèle japonais est basé sur la force de ses grandes firmes (« keiretsu » qui est un conglomérat basé sur des réseaux financiers entre une banque et des sociétés commerciales et industrielles comme Mitsubishi) mais le modèle japonais est aussi basé sur une intervention de l’Etat avec le MITI (METI) qui est le Ministère de l’Economie d’aide au commerce internationale et les sociétés où la hiérarchie et l’appartenance sont des valeurs partagés (Sony a

nouvelle technologie : ≠pays pionniers où il y a le progrès technique. Les structures économiques sont différentes, les entreprises sont plus grandes pour les pays suiveurs (Konzern : Krupp ou Bayer ; Trust : S.O. Du pont de Nemours ; Zaibatsu : Mitsubishi, Sumitomo.) L’Etat, les banques et l’agriculture vont avoir un rôle essentiel. « La croissance est un système de déviations graduelles par rapport à la 1ère industrialisation » La France est le plus mauvais élève de l’Angleterre mais s’est