Mme De Beauséant

famille de la misère mais par la suite lorsqu’il découvre Paris il se laisse charmer par le luxe de cette ville et va tout faire pour accédé aux plus hautes sphères de la société. Pour y parvenir il va se rapprocher de sa cousine éloigné, madame de Beauseant qui va lui apprendre comment fonctionne la vie dans la haute société.. b)ses rencontres marquantes , le luxe qui façonne sa personalite : vautrin : le choix entre le bien et le mal Dans ce discours Vautrin se présente à Rastignac comme

Tony, en grève). Mais la boxe ne plaît pas à Billy, qui préfère faire de la danse, comme les filles qui pratiquent à l'autre extrémité du gymnase. C’est donc à la danse qu’il se consacre, en secret de son père, plutôt qu'à la boxe. Son professeur, Mme Wilkinson, croit en lui et en son talent. Il devra pousser jusqu'à la rupture avec sa famille pour mener à bien ses projets. Grâce à la conviction et à l'appui de son professeur, il réussira à persuader son père de son talent, et ce dernier le poussera

lui dans le jardin de la pension et lui prodigue des conseils de réussite, selon la vision de la société qui est la sienne... « Voilà le carrefour de la vie, jeune homme, choisissez. Vous avez déjà choisi : vous avez été chez notre cousin de Beauséant, et vous y avez flairé le luxe. Vous avez été chez madame de Restaud, la fille du père Goriot, et vous y avez flairé la Parisienne. Ce jour-là vous êtes revenu avec un mot écrit sur votre front, et que j'ai bien su lire : Parvenir ! parvenir à

certains types de la société. Le romancier fait une description subjective : il prend parfois un parti pris ou attaque une classe de la société. L’auteur peut procéder de deux manières différentes : l’emploi du personnage porte-parole : Vautrin ou Mme de Beauséant dans le Père Goriot, le romancier exprime son jugement à travers ses personnages ; ou bien l’itinéraire du personnage qui permet à l’auteur de donner son avis sur ce qu’est la société ou ce qu’elle devrait être : évolution de Rastignac dans le

une jolie bourgeoise bohème. Ce sera la première maîtresse de Duroy. • Mme Walter, la femme et la fille d'un banquier , c'est la troisième conquête de Duroy, elle est maladroite mais sincère. • M. Walter, directeur de La Vie française, financier puissant. • Laroche-Mathieu, député , puis Ministre des Affaires Étrangères. Amant de Madeleine Forestier , sa carrière sera brisée par Bel -Ami. • Suzanne Walter, la fille de M. et Mme Walter. Elle s'ennuie dans sa famille bourgeoise. Elle se laissera séduire

Bref résumé Rastignac est un jeune homme de petite noblesse. Il vient à Paris espérant y rencontrer la fortune. Mais il n'a ni l'argent, ni la connaissance de la société parisienne nécessaire. Une de ses cousines lointaines, Madame de Beauséant, une des dernières grandes dames, le prend sous son aile pour l’aider à appréhender ce monde qu'il ne connait pas. Grâce aux femmes, il va apprendre les mœurs de cette société pervertie et en s'adaptant parviendra à en gravir les échelons. Cependant

choix de son idole sur sa propre vie : il superpose au « mérite militaire […] nécessaire et à la mode » (RN, 370) pendant les campagnes napoléoniennes, la carrière au sein du clergé, plus prometteuse sous la Restauration ; il traite la conquête de Mme de Rênal comme une suite des batailles à gagner ; finalement, après avoir tiré sur son ancienne maîtresse, il renonce à se suicider car « Napoléon a vécu » (RN, 760). Son originalité au sein de sa famille et l’ambition impé- riale le poussent à agir

Analyser les premières désillusions du héros Durée de la séance : 1 h. Dans cette séance, tu vas suivre les premiers pas de Lucien de Rubempré sur la scène parisienne. Ce jeune poète, figure importante dans sa ville d’Angoulême, a suivi sa maîtresse, Mme de Bargeton, à Paris, afin d’y réussir par la littérature. Ses premiers jours dans la capitale lui vaudront de cruelles désillusions. Le jeune homme mesure l’abîme qui sépare la vie provinciale de la vie parisienne. Lis maintenant très attentivement

différentes d’une même conception humaniste du monde. Cela reflète l'idéal de Camus. C’est parfois par leurs paroles que les personnages romanesques se ressemblent et véhiculent une même conception du monde. Dans Le Père Goriot de Balzac, Vautrin et Mme de Beauséant sont certes bien différents (l’aristocrate et le forçat), mais leur discours sur la société parisienne se ressemble fort : ils partagent et exposent à Rastignac la même vision de ce monde où, pour « parvenir », il faut abdiquer toute morale,

premier acte comme au théâtre pour signifier la suite le combat qui va s’engager dont nous avons les prémices dans la dernière phrase où l’on annonce un dîner qui semble plus stratégique qu’amoureux. R décide d’agir comme le lui avait conseillé mme de Beauséant et de manipuler les gens. Après une première partie avec de l’émotion, la seconde introduit la suite le renouveau de R s’oppose à la fin du PG mais cela signifie la fin de ses illusions de la société et le début d’une ambition.