Mme Du Châtelet Discours Sur Le Bonheur

Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse pendant quinze ans, il part pour la cour de Prusse, mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753

Lycée Elie CARTAN, La Tour du Pin Année 2011-2012 Professeurs : Mme PAQUIEN Lydie Elève : Mme LE GALLIC Maryse (Littérature) Mme GOSSE BRAITO Angela (Littérature) EPREUVES ANTICIPEES DE FRANÇAIS EPREUVE ORALE DESCRIPTIF DE LA CLASSE DE 1re L1 Manuels et œuvres intégrales utilisés : Lettres et langue SOLEILS D’ENCRE Français 1re, Hachette, 2007. En attendant Godot, Samuel BECKETT Poésies, Arthur RIMBAUD L’étranger, Albert

a repris l’imprimerie vétuste de son père à Angoulême, désire révolutionner l’industrie de la papeterie. Pour le sauver du désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique et bourgeoise de la ville. Elle est séduite « par l’excessive beauté de Lucien, la timidité de ses manières, de sa voix ». Il découvre l’amour

a repris l’imprimerie vétuste de son père à Angoulême, désire révolutionner l’industrie de la papeterie. Pour le sauver du désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique et bourgeoise de la ville. Elle est séduite « par l’excessive beauté de Lucien, la timidité de ses manières, de sa voix ». Il découvre l’amour

des veuves éphémère _Thèse: toutes les veuves retrouvent le bonheur _Avis personnel _Inclusion du lecteur _Allégorie du temps _Morale habile _Philosophie des sentiments II- Le récit _Transmission de la morale agréable _Élément déclencheur _Euphémismes _ Comique: femme exagérée _Dialogue avec satires du père _Hyperbole comique _Fable caricaturale _Deuil et souffrance Texte 3: Discours sur le bonheur, essai de Mme du Châtelet Reçoit une éducation non religieuse et très préceptrice. Compagne

son mystère (« Elle n’affecta ni rigueur ni dédain. Elle me dit, après un moment de silence »). Les modalisateurs et adverbes tels que « ingénument ») font douter de la sincérité de Manon. Les propos rapportés et l’absence de dialogue, comme de discours direct (« Je lui demandai », « Elle me répondit ») témoignent d’une scène qui est reconstituée, qui est racontée à Renoncour grâce aux souvenirs de Des Grieux (nous aborderons la distinction entre JE narrant et JE narré dans la partie d’après)

Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse pendant quinze ans, il part pour la cour de Prusse, mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753

réalités concrètes (statistiques, faits historiques, témoignages…). Ce type de discours argumentatif est souvent très structuré pour rendre une impression de logique plus prononcée. Le Discours sur le Bonheur de Madame du Chatelet est un bon exemple de conviction. Cette scientifique connue pour avoir été la maîtresse de Voltaire nous offre une belle argumentation sur comment trouver le bonheur selon elle. Son discours est très structuré, en effet, elle utilise de nombreuses conjonctions de coordinations

Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse pendant quinze ans, il part pour la cour de Prusse, mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753

parce qu’elles étaient riches d’un passé dont il pouvait se nourrir ; il avait rencontré Mme de Berny, qui était âgée de vingt-deux ans de plus que lui, puis la duchesse d’Abrantès, enfin Mme de Castries. Ces amours avaient déjà été le thème du “Lys dans la vallée” (1835) où Mme de Mortsauf semble bien avoir le mieux hériter de la bonté de Mme de Berny. Mme de Bargeton a plutôt les traits de la coquette Mme de Castries, auprès de laquelle l’écrivain a subi un échec dont il s’est d’ailleurs vengé