Mobilité réduite

Comment rendre compte de la mobilité sociale ? Le terme de « mobilité » évoque l'idée de parcours et il peut s'appliquer aux changements d'activité professionnelle d'une personne (mobilité professionnelle) ou à des changements de résidence (mobilité géographique), mais son acception la plus intéressante, pour le sociologue, concerne les parcours d'un individu ou d'une génération dans l'espace social – ce qu'on désigne par l'expression « mobilité sociale ». Celle-ci est en effet

comme un appareil de distribution des positions sociales ; elle produit donc des acteurs ajustés à ces positions (Cf. Dubet et Marcelli ,1996). Par le processus de laïcisation, l’école devient accessible pour tous, et donc censée de permettre la mobilité sociale et la promotion des individus. En effet, les efforts colossaux de nos sociétés ,voire les travaux des sociologues de l’éducation ont permis de passer d’une école élitique à une école démocratique. Elle apparaît alors comme un élément central

L’immigration clandestine L'immigration illégale, ou immigration clandestine, est l'entrée sur un territoire national d'étrangers ne possédant pas les documents l'autorisant, ou la poursuite de leur séjour une fois la validité de ces documents expirée. Les personnes se trouvant dans cette situation sont des étrangers en situation irrégulière, aussi appelées « clandestins », ou « sans-papiers ». Peuvent également se trouver dans la clandestinité des personnes n'ayant pas obtenu le renouvellement

obligations morales et personnelles. -l’attachement au groupe qui nous fait adhérer aux normes et aux valeurs qui lui sont propres. Cette conformité aux règles du groupe permet de s’y intégrer, d’y être adapté. Favorisée par les possibilités de mobilité sociale, l’identification à un groupe de référence auquel on désire appartenir fait que l’on adapte son comportement et ses attitudes sur les modèles de conduite de ce groupe. Ce phénomène s’appelle la socialisation anticipatrice. De plus, nous

situation précaire en étant locataires. 2. Les 30-60 ans (à partir de 35-40 ans en périphérie, milieu périurbain car milieu où se développent les familles) : augmentation des divorces, les femmes sont plus indépendantes -> participent à accroître la mobilité résidentielle au cours du cycle de vie. Parfois rupture avec la trajectoire résidentielle ascendante. 3. Personnes âgées (se rapprochent du centre parce que dépendants des services de proximité) : allongement de l’espérance de vie = la retraite

intéressé de près au thème de la mobilité sociale. Cet intérêt est très certainement en lien avec les valeurs fondamentales de cette société, le mérite, le travail. La société des USA c'est donc celle du « rêve américain », l'idée selon laquelle n'importe qui, par son travail, son courage, peut arriver au sommet de la hiérarchie sociale en partant de rien. Pour optimiser nos chances d'atteindre le haut de la société, il faudrait donc immigrer aux USA, là où la mobilité sociale serait plus importante

services au détriment de l'industrie et de l'agriculture (cf. déversement des activités du primaire et secondaire vers le tertiaire conduit à une nouvelle structure sociale, doct 2) => hausse du niveau de formation => accès à des postes + qualifiés => mobilité sociale structurelle ascendante: - salarisation de la population active ( doct 1 : baisse de la part des non salariés au profit des salariés) : qui s'appuie sur une reconnaissance collective, des droits (conventions collectives) et qui profite

celle-ci sur le plan économique, mais également sociologique, ce qui se traduit par des difficultés d’ascension sociale et des conflits sociaux. A l’inverse, une vision de la société en terme de strates instaure une vision continuiste, avec de forte mobilité sociales. Nous verrons donc en premier lieu en quoi la société française peut être qualifier de société de classe pour ensuite chercher a comprendre pourquoi la société française peut être considéré comme une société de strates. De nombreux

Articles : - «  L’école et la déstabilisation des classes moyennes », Louis Chauvel, Education et Sociétés, (http://www.cairn.info/revue-educatoin-et-societes-2004-2-page101.htm). « L’évitement scolaire et les classes moyennes à Paris », Jean-Christophe François et Franck Poupeau, Education et Sociétés, (http://www.cairn.info/revue-education-et-societes-2004-2-page-51.htm La société est fondée sur des rapports sociaux qui sont en grande partie des rapports entre groupes sociaux. Les groupes

main-œuvre devenu trop chère. La deuxième catégorie des causes du chômage est celle d’ordre sociodémographique. Les départs a la retraite sont insuffisants, le niveau des diplômes ne correspond pas a l’exigence de la vie active, et, en fin, la mobilité géographique est insuffisante. Sauf l’indemnisation des chômeurs, la politique gouvernementale applique des mesures en faveur de l’emploi : développement de la formation professionnelle, aides à la reconversion, incitation a la création d’emplois