Modele Revenu Depense

fluctue pas tp d’1 année sr l’autre. - trouver des explicat°s aux phénomènes (Comment les fluctuat° du revenu peuvent expliquer consommat° des ménages). Ces modèles explicatifs, ne permettent pas de prévoir. Expliquent bien passé mais pas prévis°s => explicat° à postériori, cad 1 fois les grandeurs macro-éco connues et mesurées. - justifier les décisions de politique économique => modèles de décision. Face à 1 problème, quelle est la mesure à prendre ? - faire des prévisions (budget de l’Etat

(/10-20 ans), étudier les déterminants éco (les motivations des FR : prix + revenus), les lois d'Engel (macro-economie), savoir présenter les théories de ces économistes. Introduction : les ménages disposent d'un revenu brut, deux options vont découler de ce revenu : soit ils dépensent ce revenu afin de satisfaire leurs besoins (processus de conso), soit les ménages épargnent une partie de ce revenu afin de le dépenser plus tard lorsque la necessité s'en fera sentir (un processus de conso différé

distingue principalement deux formes de marché :-Le marché de concurrence pure et parfaite ;-Le marché de concurrence imparfait.Chaque situation de marché est caractérisée par un nombre des offreurs et de demandeurs. Le modèle de la concurrence pure et parfaite (CPP) est le modèle théorique dans lequel les prix ne sont déterminés que par les mécanismes de l’offre et de la demande, et par le libre jeu de la concurrence. A cet effet, au sens courant la concurrence correspond à la compétition ou à la

quantités globales. Il montre la nécessité pour les pays d'élaborer des systèmes de comptabilité nationale. Toutefois, les physiocrates ont encore une vision de l'économie assez limitée -- Quesnay ne s'intéresse en fait qu'à l'agriculture et aux revenus agricoles. Seule l'agriculture est créatrice de richesses pour les physiocrates. B - En quoi consiste globalement la pensée libérale ? Dans la pensée libérale, l'explication des phénomènes économiques se trouve dans l'action des seuls « individus

marchés de B + S * Production = revenus pour le producteur – rémunération des facteurs de production * Equilibre « Emplois – Ressources » : * Y = Revenu (richesse produite) * C = Consommation * I = Investissement * G = Dépenses publiques Y = C + I + G Théories et modèles macroéconomiques * Modèle Keynésien : aucune confiance dans les mécanismes du marché pour restaurer l’équilibre (intervention de l’Etat…) * Modèle Néo-classique : théorie de la  « main

de l’économie de l’offre Ecole de l’économie publique Equilibre économique Esping Andersen Etat Gendarme Etat providence Hayek Friedrich Individualisme Intérêt Keynes John Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marché Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la croissance endogène Théorie de la valeur Théorie quantitative de la monnaie Théorie de la régulation Walras

développement... A ) Croissance = création de richesses supplémentaires permettant l'amélioration du niveau de vie : - par l'augmentation du revenu des ménages (croissance des salaires et du nombre d'emplois créés) - par l'augmentation des ressources de l'État (la croissance des profits et des salaires augmente le montant des cotisations sociales et la base des revenus imposables). Celui-ci va pouvoir proposer plus de services collectifs non marchands (écoles, crèches, infrastructures, hôpitaux...) et

s'enrichir de l'étude des grands modèles de santé européens et de leurs réformes. La construction progressive, au cours du XXe siècle, d'un rôle déterminant des pouvoirs publics en matière d'organisation et de financement du système de santé a conduit à distinguer 3 modèles - 3 orientations - dont les caractéristiques reflètent des choix cohérents et variés.  Le modèle bismarckien caractérisé par l'autogestion et le poids décisif des assurances sociales, le modèle beveridgien d'assistance publique

milliards de dollars (englobant à la fois les dépenses en infrastructures ainsi que celle de fonctionnement), ce méga-projet devrait permettre de soutenir 37 200 emplois directs et indirects annuellement et ce sur une période d’au moins 25 ans. La création de richesse (la valeur ajoutée additionnelle) s’élèverait en moyenne à 5,9 milliards de dollars par an sur 25 ans, soit un niveau correspondant à environ 1,8 % du PIB québécois de 2011. Les revenus fiscaux et parafiscaux du gouvernement du Québec

mais plus importante pour les pays en développement qui accueillent de nombreuses usines étrangères. Pour les pays occidentaux l’indicateur le plus courant est le PIB. On passe du PIB au PNB en ajoutant les revenus des facteurs versés par le reste du monde et en retranchant les revenus des facteurs versés au reste du monde. Le PIB (total) ce n’est pas que la somme des valeurs ajoutées des activités marchandes puisque le PIB est la somme du PIB (marchant) + la somme du PIB (non marchand).