Modeste Proposition

immaculé ce qui était un signe de noblesse, le groupe nominal « La blancheur de se teint » en est l’exemple parfait. « Ses cheveux blonds » en plus de la perfection de son teint la rendent rayonnante. Ce qui lui donne un « éclat » particulier. La proposition subordonnée « que l’on n’a jamais vu qu’à elle » prouve que Mademoiselle de Chartres plait à tout le monde. Avant sa venue à la cour nulle femme n’avait égalé une telle beauté. Dans le portrait physique de Mademoiselle de Chartres, le narrateur

spleen. I. La montée de la crise 1) Une lente progression vers l’inexorable Tout d’abord on note que les quatre premiers quatrains développent une seule phrase qui progresse avec trois subordonnées (3 quand) et aboutit à un paroxysme dans la proposition principale ; donc L'anaphore, avec le mot "quand" répété 3 fois, rythme cette progression. Par ailleurs, les coordinations "et qui" (vers 3-11), les enjambements continuels, tout cela donne l'impression d'un mouvement lent et enchaîné inexorablement

valeur péjorative (« la chétive pécore ») pour désigner la grenouille. Antéposition de l’adjective « chétive » : commentaire du fabuliste qui condamne l’orgueil de l’animal. v.10 « creva » : terme familier ; dernier mot du vers : effet de surprise. Proposition subordonnée de conséquence : fin tragique qui est la conclusion logique des efforts absurdes de la grenouille. v.11 Morale. Symbolisme de l’animal : comparaison explicite entre l’animal et certains humains. Pluriel (« les gens ») + terme qui indique

ponctuation. Ces principes fondamentaux sont pour vous un repère. Un étudiant qui réalise un rapport de stage est amené à rédiger des phrases complexes. Ce sont des phrases plus longues que la norme des 12 mots et constituées de propositions principales et de propositions subordonnées conjonctives ou relatives. En respectant les principes énoncés vous veillerez à ce que la phrase complexe ne soit pas confuse. Elle doit être un agencement intelligent de phrases courtes. • Le titre Le titre récapitule

discours qui part de propositions non douteuses ou vraisemblables, et en tire ce qui, considéré seul, paraît moins douteux » 1.2 Les connecteurs logiques Les connecteurs logiques servent à lier entre elles les propositions. « Étant donné que », « comme », « puisque » ; « et », « de plus » ; « or », « mais » ; « si…, alors… » ; « donc », « ainsi », « par conséquent ». « Étant donné que », « comme », « puisque »: ces connecteurs logiques servent à introduire des propositions qui sont des jugements

oral : apostrophe, interjection, exclamation... ex : Le professeur m'a dit : « Oh ! C'est un travail bâclé, je ne suis pas satisfait de toi. » B – Au style indirect On intègre les paroles d'un personnage sans interrompre le récit, dans une proposition subordonnée : • La ponctuation du discours direct disparaît. Toutes les phrases deviennent déclaratives. • Les temps verbaux deviennent ceux du récit, en respectant les règles de concordance des temps. • Les marques de personnes grammaticales

Ceux-ci ne sont généralement pas encadrés de guillemets.  Le discours indirect peut être est lié : Les phrases reproduisant les paroles ou les pensées sont placées dans dépendance grammaticale d'un verbe principal et sont transformés en propositions ou en infinitifs.  Paul a dit qu'il était content  Paul a dit être content.  Le discours indirect peut être libre : Ce cas se veut plus rare à l'oral. Les phrases reproduisant les paroles ou les pensées ne sont pas dans la dépendance

dans ce club. a- Précise la nature de ce qui est souligné : .....................................................................................................................................................……………… b- Remplace-le par une proposition subordonnée relative : ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. c- Remplace-le par un adjectif qualificatif : ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. III-Production écrite : Sujet : Amina

qu’il vienne. ») -pour exprimer l’ordre, la volonté et l’interdiction (ex : dans Le Vicomte Pourfendu : «  Moi, Paméla, j’ai décidé d’être amoureux de toi .») -pour exprimer le souhait (ex : « J’aimerais tant qu’il s’en aille. ») -et en proposition indépendante, principale ou subordonnée, donc après des conjonctions de coordinations telles que : en attendant que, jusqu’à ce que, avant que, bien que, afin que… La construction du subjonctif : Il se construit à l’aide du mot « que »

complexe Les types de liens syntaxiques entre les propositions Les types de propositions subordonnées Ce qu’il faut savoir faire Savoir structurer la phrase Reconnaitre les modes d’enchainement pour former la phrase complexe Reconnaitre les types de subordonnées Subordonner deux propositions en utilisant le mot subordonnant adapté RESUME I . Définition. La phrase complexe est un système de deux ou plusieurs propositions simples liées par le sens, l’intonation et