Modèle De Portrait Péjoratif

fiche d’activité Séance 2. Comprendre le contexte  Le travail en classe  Corrigé de l’évaluation n°1 Séance 3. Etudier les données du récit  Le travail en classe  Corrigé du questionnaire n° 1 Séance 4. Analyser la fonction argumentative des portraits dans l’incipit  Le travail en classe  Corrigé du questionnaire n° 2 Séance 5. Analyser les procédés de dramatisation  Le travail en classe  Corrigé du questionnaire n° 3 Séance 6. Étudier le réquisitoire contre la justice  Le travail en classe

..4 Introduction 6 I La présentation des femmes baudelaireinnes et ses valeurs 9 II Les femmes et leurs beautés 12 2.1 La diversité des figures féminines présentées dans les poèmes 12 2.2 L’évocation de la beauté féminine 15 2.2.1 Le portrait physique et le portrait moral des femmes baudelairiennes 15 2.2.2 Le mal dans la beauté et le beau dans la laideur 18 III Les femmes et l’amour ambivalent 22 3.1 L’amour sensuel et l’amour spiritualisé 22 3.2 La douceur et la douleur de l’amour. 25 IV Les femmes

hommes attendent une jeune femme. Lorenzo apparaît comme un entremetteur. Il nous livre d’ailleurs le portrait de « la petite ». « Il fait un froid de tous les diables » : notation en partie comique dans la mesure où le duc incarne d’une certaine façon le diable. Autre effet comique : le recours au juron « entrailles du pape » (le duc = lui même considéré comme un fils bâtard du pape). Le portrait de la jeune femme est dépréciatif : champ lexical de la fille de mauvaise vie et de la débauche. Ceci

de toi » L10 insistant sur l’expérience de l’artiste. - Elle cherche à donner existence , rappelé par la gradation « d’abord morte, peu à peu vivante » L10-11 - par l’hyperbole « de cette masse fraternelle » L20 révélant la pate nécessaire pour modeler son frère. - elle a un pouvoir de création rappelée par l’aspect du verbe « je forme mon frère avec tous ses détails » L21 * Deux métaphores : - celle de la statue « une brute d’or » L11 ; « fragments » L16 révélant l’importance du toucher, de

seules peintures dont on a pu en conserver les traces sont les peintures sur vases. ⇒les romains ont énormément copié l'art grec, donc ont peut retrouver des traces grecs à travers les romains mais elle ne rend pas compte des coloris et des rendus du modelé et de la profondeur spatiale qui semblent avoir existé dans la peinture murale ou de chevalet de l’époque classique. On a cependant retrouvé quelques peintures murales de la période hellénistique dans des tombes en Macédoine.⇒ certaines mosaïques

l'appartenance de classe lorsqu'on est 2 enfant d'ouvrier », (p100). Ce n’est donc pas un hasard si l'auteur cherche à travers l'histoire de ses parents, à rendre compte de la réalité sociale de ces années. La vie de son père est en ce sens un modèle de représentation. Entré à l’usine à 14 ans, à la fin du cycle primaire qu’il n’a pas achevé en raison de la guerre (il a onze en 1940) et des responsabilités familiales qui lui échouent car « pendant tout le temps que dura l’occupation, il lui fallut

siècle. De Carolus Magnus (Charlemagne), le plus célèbre souverain de cette période. Bas Moyen Âge • Époque romane : du Xe au XIIe siècle. De « roman », langue parlée à cette époque. • Époque gothique : du XIIIe au XVe siècle. De « goth », terme péjoratif désignant les Barbares du Nord. Le Moyen Âge débute en 476, date de la chute de l’Empire romain d’Occident, et se termine, selon les historiens, en 1453, date de la prise de Constantinople par les Turcs musulmans, ou 1492, date de la découverte de

appuie, met en valeur, met en évidence, signale, rapproche… Un narrateur, un romancier, un poète… accumule, déplore, mentionne, affirme, désigne, met en garde, alerte (sur), dessine, analyse, prône, approfondit, dresse (le portrait), propose, recourt à, brosse ou ébauche (un portrait), emploie, réfute, campe (un personnage), esquisse, (re)trace, exalte (un héros), célèbre (un sentiment), s'indigne de, communique, expose, s'insurge, consacre, fait l'éloge de, critique, tente de, déclare, introduit, transfigure

masculine : l’isotopie de la domination dans les expressions des Droits de la femme (« souverain empire » l. 3, « opprimer » l. 3, « empire tyrannique » l. 7, « commander en despote » l. 18) trouve un écho dans les termes péjoratifs employés dans le postambule, comme « injuste » (l. 105), « injustices de l’homme » (l. 111) ou « vaines prétentions de supériorité » (l. 121). Il s’agit dans les deux cas de repenser les rapports entre les hommes et les femmes, en montrant aux uns

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... Les termes mélioratifs et péjoratifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... Dénotation et connotation . . . . . . . . . . . . . . .