Moelle épinière

structures de neurones : multipolaire, bipolaire ou unipolaire, ou inter neurones (90 % dont les cellules de Purkinje et les cellules pyramidales). Certains axones sont très courts et d’autres très longs (ex. : départ de la région lombaire de la moelle épinière jusqu’aux muscles du pieds). Les interruptions indiquent que les axones sont en réalité plus longs que dans l'illustration. possède Un plusieurs neurone multipolaire prolongements qui émergent du corps cellulaire. Un neurone unipolaire

inférieurs et de la partie basse du tronc, portant sur tout le territoire situé plus bas que la lésion de la moelle épinièrequi la provoque. La paralysie des deux membres inférieurs est causée par la compression ou une lésion de la moelle épinière au niveau dorso lombaire, La tétraplégie correspond à la paralysie des quatre membres. Elle est due à une lésion, partielle ou complète, de la moelle épinière, le plus souvent au niveau cervical, empêchant l’information nerveuse de parvenir jusqu’aux bras et

transmission du message nociceptif peut être modulée par des molécules naturellement fabriquées par l’organisme. Expliquez, en illustrant votre texte par un schéma explicatif, comment est réalisée cette modulation au niveau de la corne dorsale de la moelle épinière. © Hatier 2007 LES CLÉS DU SUJET s Question 1 Les documents concernant l’action analgésique de la morphine sont relativement classiques ; ils nécessitent de bien connaître le codage du message nerveux en fréquence de potentiels d’action

du crâne, des organes intracrâniens. Plusieurs conséquences peuvent avoir lieu après un traumatisme crânien, entre autre des comas, des pertes de conscience, des paralysies … 2. Traumatisme du rachis : quand le traumatisme met en péril la moelle épinière. Ce traumatisme entraine peut parfois entrainer des paralysies ( tétraplégies : quand la paralysie est située au niveau inférieur du corps, et paraplégie : quand la paralysie est située au niveau du tronc et des quatre membres. ) 3. Traumatisme

lum-, luminal : lumière, partie creuse d’un tube -lyse : dissolution macr- : grand médull- : moelle méga- : gros -mégalie : accroissement anormal mél-, -mèle : membre mén- : règles métr- : utérus micr- : invisible à l’oeil nu myél- : moelle myo- : muscle nas- : nez natr- : sodium nécr- : mort néphr- : rein

variées. Nous allons tout d’abord expliquer comment la main est-elle contrôlé par le système nerveux puis quelles sont ses différentes capacité de mobilité. A- La main contrôlé par le système nerveux COMMANDE NERVEUSE DU MOUVEMENT Le cerveau et la moelle épinière sont responsable de la motricité de la main. Les nerfs qui établissent la liaison entre les centres nerveux et les muscles, sont les nerfs moteurs et les nerfs sensitifs. Le cerveau, à partir des informations sensorielles reçues par les nerfs

torsion du tronc ou parfois d’une chute. C’est une douleur violente qui empêche le redressement (la vertèbre ne revient pas dans son axe => contracture du muscle) b) syndrome de la queue de cheval d’origine discale (partie terminale de la moelle épinière) Souvent lié à une hernie discale. Atteinte pluri-radiculaire motrice et sensitive avec aréflexie et troubles urinaires et génitaux c) syndrome du canal lombaire étroit ou rétrécie 2 formes : - le canal lombaire étroit = CLE = réduction

semaine du développement embryonnaire 2- Neurulation : Mise en place du tube neural, Formation du système nerveux Crêtes neurales (SNP) Tube neural Soudure des bords de la gouttière neurale pour former le tube neural => SNC Cerveau et moelle épinière III- 3ème semaine du développement embryonnaire 2- Neurulation : Mise en place du tube neural, Formation du système nerveux Amnios Protégera l’embryon et le foetus Amnios Somite Tube neural III- 3ème semaine du développement

l’emplacement exact des cellules souches dans un organe. On rejoint l’organe cible grâce à un cathéter que l’on fait entrer par l’aine. - Administration intrathécale par ponction lombaire : on injecte les cellules souches dans le canal de la moelle épinière et du canal rachidien, au niveau des lombaires, pour rejoindre le liquide céphalorachidien, pour qu’ainsi les cellules souches s’y mélangent. Elle permet le traitement de maladies neurologiques. - Injection directe dans la zone-cible par intervention

soit construite.  Elle fut largement utilisée pendant la Révolution française. Décapitation :  selon la méthode utilisée en Arabie saoudite et au Qatar, la tête est détachée par un sabre.  Bien que la lame soit censée trancher rapidement la moelle épinière, entraînant la perte de connaissance, plusieurs coups sont parfois nécessaires.  La rapidité de l'exécution dépend de la force et de la précision du bourreau. L'injection :  On sangle fermement le condamné sur le brancard.  Ensuite, on introduit