Molière Préface De Tartuffe

* La vraisemblance : refus des incohérances * La bienséance : on ne doit ni choquer ni aller à l’encontre des conceptions politiques et religieuses. Se met en place la règle des trois unités au théâtre. Pierre Corneille «  Le Cid », Molière «  Tartuffe » , Racine « Andromaque » au théâtre. La Fontaine renouvelle le genre antique de la fable. La Rochefoucauld « Les Maximes », De La Bruyère « Les charactères ». Blaise Pascal « Le Discours de la méthode, René Descartes « Les Pensées » pour

Molière disait en son temps: « Le théâtre est fait pour être joué ». Cela aurait-il un lien avec le fait de vouloir corriger les vices des hommes par l’emploi de la comédie, comme il l’évoqué dans la préface de Tartuffe, écrite en 1664, avant d’être censurée par les dévots, puis en remplacement, mit en place la pièce Dom Juan, ou le personnage, Dom Juan lui-même est un noble à la personnalité complexe ayant des vices et des défauts. Cette pièce est une comédie alors que le personnage principale

projet politique. Avec des humoristes qui prônent la tolérance, les échanges entre les peuples, i l sera mis au service d'une dénonciation des travers de l'humanité et d'un projet de mieux vivre ensemble. C'était déjà la défense de Molière dans sa préface de Tartuffe. C'est aujourd'hui le projet artistique de Fellag. Mais i l peut aussi exacerber les antagonismes : c'est le rire misogyne ou le rire raciste, c'est-à-dire le rire qui soude un groupe contre un autre et non plus le rire qui unit dans

notion de goût qui désignerait une capacité à trouver un équilibre juste entre des tendances contraires. Ce goût serait né dans les salons mondains et aurait profondément influencé la littérature de la seconde moitié du siècle. [->23][->24] [->25]Molière[->26], un des artistes favoris de Louis XIV. Le classicisme français atteindra son apogée sous le règne de ce dernier Littérature[modifier] Contextes[modifier] La centralisation monarchique qui s'affirme dès 1630 dans le domaine politique sous

existé de tout temps : le dramaturge latin Plaute dans sa comédie Aulularia (la Marmite) met en scène un avare, que Molière reprend ensuite dans son personnage d'Harpagon. Les personnages de niais sont légion au théâtre : ce sont par exemple des maris cocus, dans la comédie grecque d'Aristophane La Nuée des cocus, ou dans les vaudevilles de Courteline, Feydeau ou Labiche. Mais c'est Molière qui imagine un personnage de niais particulièrement réussi avec Monsieur Jourdain dans Le Bourgeois gentilhomme :

sagesse pour cet humaniste réside dans la mesure, afin de « jouir loyalement de son être ». Au siècle suivant, Molière, Racine ou La Fontaine veulent corriger les mœurs. La littérature alors devient un pédagogue moraliste: Molière fustige l’égoïsme de ceux qu’une manie obsède ; il fait rire des ridicules et des vices et nous apprend la modération en nous mettant en garde contre les Tartuffe, les Dom Juan, les profiteurs ou les médecins peu scrupuleux. Racine dépeint les ravages de la passion amoureuse

géographique et temporel éloigné pour rendre la faute encore plus dramatique. Le respect du Héros augmente quand ils s’éloignent de notre propre époque. Biographie de Racine Illustre représentant de la tragédie classique, Jean Racine est considéré, avec Molière et Pierre Corneille, comme l'un des plus grands dramaturges français. Il est né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699. Orphelin dès son plus jeune âge, l'enfant est recueilli par ses grands-parents puis sa marraine

    Dossier pédagogique L’Avare de Molière mise en scène Ludovic Lagarde   © Céline Gaudier. Répétition de L’Avare, mis en scène par Ludovic Lagarde, septembre 2014, De gauche à droite : Alexandre Pallu (Valère), Myrtille Bordier (Elise) et Laurent Poitrenaux (Harpagon). mercredi 8 au vendredi 17 octobre 2014 (représentation en audiodescription le jeudi 16 octobre à 19h30, surtitrage en anglais le mercredi 15 octobre à 19h30 et le vendredi 17 octobre à 20h30) Dossier pédagogique réalisé par

l'Europe par les lettres, les arts et les armes. Il a été pour la littérature française une époque fabuleuse , qui commence avec Balzac, et, passant par les deux périodes les plus brillantes, celle de la jeunesse de Descartes, de Corneille ou de Molière et avec maturité de Boileau , de Racine , de La Fontaine , de Sévigné .Ce siècle est marqué en littérature par deux courants importants, le Baroque et le Classicisme.Le Classicisme cultive le bon goût de l'élégance , c'est le retour des règles strictes

fait événement. La pièce a connu un beau succès, trente représentations jusqu’en janvier 1671. Elle toucha particulièrement le public féminin ému aux larmes par le sort de la reine de Palestine. Au même moment, Pierre Corneille faisait jouer chez Molière au Théâtre du Palais-Royal, une tragédie sur le même thème intitulée Tite et Bérénice. La pratique n’était pas rare à l’époque, mais la concomitance est significative de la rivalité des deux grands auteurs dramatiques de l’époque. Corneille, emblème