Mollah

1978 : CE militaire prosoviétique en Afghanistan ← mise en place d'un régime prosoviétique ▪ réformes de structure ▪ vigoureuse répression contre les notables, les grands propriétaires, les mollahs ← le nouveau pouvoir afghan, incapable de faire face à la guérilla anti-communiste d’un peuple foncièrement musulman, sous la pression des soviétiques, fait appel à eux. 2. Décembre 1979 : invasion militaire soviétique

écrits par les Guatémaltèques, tout en prenant soin qu’on découvre après sa mort seulement, et par testament, qu’il assimilait la cause des Noirs à celle des Indiens... La même logique anime les interprètes de la loi coranique – ayatollahs et mollahs – qui tâchent de donner sens et cohérence à des textes contradictoires dans le corps même de leur livre saint en jonglant avec les sourates, les versets et les milliers de hadith ou en finassant avec versets abrogeants et versets abrogés ! On

aujourd’hui un métier risqué. « Le temps où on ne tirait pas sur l’ambulance est fini » (GRUNEWALD, 2006). Par exemple en Afghanistan, après le départ des militaires russes en 1989, les médecins présents sur place devinrent symbole de menace pour les Mollahs, car ils représentaient les droits de l’homme et la démocratie. Des musulmans assassinèrent des volontaires français, poussant les autres à partir. Des médecins sont kidnappés, emprisonnés, assassinés non pour ce qu’ils font mais pour ce qu’ils représentent

de Kaboul » a) L’intervention soviétique en Afghanistan 1. 1978 : CE militaire prosoviétique en Afghanistan mise en place d'un régime prosoviétique réformes de structure vigoureuse répression contre les notables, les grands propriétaires, les mollahs le nouveau pouvoir afghan, incapable de faire face à la guérilla anti-communiste d’un peuple foncièrement musulman, sous la pression des soviétiques, fait appel à eux. 2. Décembre 1979 : invasion militaire soviétique L’armée rouge envahit l’Afghanistan

pur L’USAID parle L’Égypte, le contrôle de l’Afrique Le chien d’infidèle L’Iran : autoroutes et forteresses Israël, le soldat de l’Amérique La guerre irano-iraquienne, une autre victoire des assassins financiers Qatar et Dubaï : Las Vegas du pays des mollahs Dans l’abîme 179 183 187 192 197 203 208 213 219 223 228 231 PARTIE 4 : L’AFRIQUE 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 Les conquistadors modernes Sur les genoux de l’Amérique La naissance d’un mercenaire Le peuple « non existant » de Diego

Kerbala => lieux saints du chiisme. Ce monde est encadré par un certain nombre de religieux : les Inman sont les serviteurs des mosquées, au-dessus, les Oulémas sont les docteurs de la foi, ils sont à l’origine de décrets religieux. Au-dessus les Mollah, puis, uniquement dans le monde chiite, les Ayatollah. Dans les deux clergés, d’un côté la cooptation est basée sur la connaissance tandis que pour les chiites, c’est le sang entre autre qui permettra d’expliquer le Coran. Enfin, le Chérif est le

cheikh est un sage, un guide. Le mufti est l'interprète de la loi. L'ouléma, ʿâlim (عالِم), est le gardien de la tradition musulmane et homme de référence. Dans le Coran, al-'Alîm (العليم), l'omniscient est l'un des nombreux noms de Dieu. Le molla ou mollah (Ayatollah ou Hodjatoleslam) est un érudit musulman dans des pays dont le langage a une influence perse (arabe : mawlān, مولًى, pl. mawâlin, موالٍ aide ; défenseur ; seigneur). Il est la plus haute autorité pour les chiites. Jusqu'en 1055, le caliphe

islamophobes). La plupart des communiqués de la Licra sur ce thème dénoncent la reconnaissance officielle (et l’usage du terme) de l’islamophobie dont le but serait de taire toute « diffamation des religions (…) comme l’ont toujours voulu ses inventeurs, les mollahs iraniens à l’aube des années 80 »). 1 2 Mis à part l’analyse politique de Vincent Geisser. Rapport 2007 de l'ONU, rapports de l’OSCE depuis 2004/2005… Rapport d’étape du CCIF sur l’Islamophobie en France @ Droits de reproduction et de diffusion

frérots sont distingués par leur mode d’habillement : un uniforme à la manière afghane composé d’une calotte, d’une gandoura et des sandales bédouines. Leur apparence est marquée par une austérité aggravée par l’aspect de leurs visages : un visage de mollah afghan qui se résume en une longue barbe, des yeux sombres, un front nettement marqué par le dinar de la piété. Les surnoms qu’ils s’attribuent : «Abderrahmane _ appelé Abou Abderrahmane », «Cheikh Océan de savoirs », « L’afghan », «Idar, dit  Abou

l’art, ou y chercher confirmation de ses croyances, les deux attitudes donnent naissance à une fausse morale, à une morale du mensonge. L’éthique de l’art ne consiste pas à soutenir nos croyances ou nos rites, nous disposons pour cela des juges, des mollahs, des commissaires, dans notre monde, qui nous enseignent à nous repérer dans les contraintes d’un système donné : qu’est-ce qui est légitime, qu’est-ce qui ne l’est pas, il faut faire ceci, pas cela. L’art n’enseigne pas, il ne fait qu’éveiller, parce