Mollah

the Muslim Sufi Naqshbandiya Order, on the outskirts of Samarkand. Assise 1994,San Egidio. © CPP/CIRIC, Paris © R.Guerreiro, UNESCO Meeting of spiritual traditions (Ta s h ke n t ) . Interreligious dialogue in action:a Rabbi advances to greet a Mollah in the Mosque-Mausoleum of a spiritual master, the founder of the Muslim Sufi Naqshbandiya Order. © R.Guerreiro, UNESCO This carving in the rock of Mani is situated near Quanzhou on the South-East coast of China. It is probably the only surviving

politiques au Sénégal », Conférence organisée par le Centre d’études et de recherches sur les droits africains et sur le développement institutionnel des pays en développement (CERDRADI), Bordeaux, 13 juin 2001. Moriba (M), L’Islam au Sénégal. Demain les mollahs?La "question" musulmane et les partis politiques au Sénégal de 1946 à nos jours, Paris, Karthala, 1985. Savané (L), « Le rôle des partis politiques dans la transition démocratique », conférence organisée par la Fondation Friedrich Ebert sur le thème :

Kaboul » a) L’intervention soviétique en Afghanistan 1. 1978 : CE militaire prosoviétique en Afghanistan  mise en place d'un régime prosoviétique réformes de structure vigoureuse répression contre les notables, les grands propriétaires, les mollahs  le nouveau pouvoir afghan, incapable de faire face à la guérilla anti-communiste d’un peuple foncièrement musulman, sous la pression des soviétiques, fait appel à eux.   2. Décembre 1979 : invasion militaire soviétique  L’armée rouge envahit

sierra-léonais ou congolais. La formule choisie pour constituer la coalition a prolongé celle qui fut la trame de la guerre contre les taliban. Elle a dû considérablement surévaluer la logique identitaire : pour faire pièce à un clan constitué autour de Mollah Omar (leader proclamé des taliban), le levier des solidarités ethniques a été largement sollicité, jusqu’à exprimer le processus de réconciliation en dosage entre Pachtounes, Ouzbeks, Hazaras, Tadjiks… Cette dialectique de la puissance entravée et

Moyen-Orient que l’on retrouve de l’Afrique du Nord jusqu’à la Chine, en passant par l’Égypte, la Syrie, la Turquie. Son nom peut changer : les Afghans et les Iraniens l’appellent Mollah Nasr Eddin, les Turcs, Nasr Eddin Hodja, on trouvera aussi Ch’ha, Goha, Djeha, Srulek ou encore Effendi… Il est parfois prêtre, rabbin ou mollah mais les histoires sont semblables. Ce recueil comprend une sélection d’histoires courtes ; toutes donnent en première impression un sentiment d’absurdité, d’ineptie. Mais l’accumulation

suivit la révolution iranienne en 1979 brisa les efforts de redressement économique entrepris par le professeur Barre à Matignon et entraîna la défaite du président français en 1981. On n’en avait pas fini pour autant avec la révolution des mollahs. Toute révolution était depuis 1789 une affaire française. La gauche, les intellectuels en tête, s’estimait propriétaire pour l’éternité de l’idée révolutionnaire. Elle refusait par principe de se sentir étrangère à un soulèvement d’où qu’il

démocratie pour parvenir au pouvoir afin d'instaurer une république islamique et imposer la charia. La propagande des relais médiatiques aidant, la rumeur allait crescendo pour attribuer au FIS l'idée de vouloir instaurer un régime similaire à celui des mollahs en Iran, synonyme de dictature et où la femme n'aura aucun droit… La presse avait commencé à déformer les propos des dirigeants du FIS, en particulier ceux de Abdelkader Hachani, Rabah Kébir et Mohamed Saïd pour alarmer l'opinion en faisant croire

était avisé. Avant cet événement, la prise de pouvoir en Iran par les mollahs intégristes de l’ayatollah Khomeyni avait été une chaude alerte. La « révolution » iranienne, en occupant l’ambassade américaine, fit autant de bruit, dans le monde musulman, que la Révolution française en avait fait, dans le monde des Lumières, en prenant la Bastille… L’Irak de Saddam avait d’ailleurs mené une guerre acharnée contre l’Iran des mollahs. Khomeyni, en lançant une fatwa contre l’écrivain Salman Rushdie, défiait

«capitaine Omar » nous nous sommes déplacés vers le sud. Nous sommes arrivés à Eyl, dimanche soir, où 15 pirates supplémentaires montèrent à bord de notre navire. À partir de ce moment là une vingtaine de pirate resta toujours à bord, y compris leur mollah. J'ai convaincu Omar de nous laisser nous diriger vers le nord à Gabbac, un endroit plus abrité. Un pirate appelé Ahmed nous a dit qu'il avait été dans les garde-côtes, et seulement Ahmed, et un ou deux autres pirates, qui avaient eux aussi été garde-côtes

République après avoir éliminé ses rivaux. • 1979 : Saddam Hussein succède à Hassan al-Bakr qui renonce « pour raison de santé » et devient, à 42 ans, président de la République d’Irak. • 22 septembre 1980 : Saddam Hussein lance son armée contre l’Iran de mollahs. Cette guerre meurtrière dure jusqu’en 1988 et s’achève par la victoire de l’Iran. • 1988, Opération « Anfal » : génocide organisé contre une partie de la population irakienne, les Kurdes. • 2 août 1990 : L’Irak envahit le Koweït. La réaction internationale