Mon amant de Saint-Jean

* M.Robert: voisin de Sganarelle * Valère: domestique de Géronte * Lucas: mari de Jacqueline * Géronte: père de Lucinde * Jacqueline: nourrice chez Géronte et femme de Lucas * Lucinde: fille de Géronte * Léandre: amant de Lucinde * Thibault: père de Perrin * Perrin: fils de Thibaut, paysan Résumé de l’œuvre : Tout d’abord, Sganarelle et sa femme Martine se disputent, et Sganarelle bat sa femme. Leur voisin M. Robert essaie de prendre la défense de Martine

  Nègre, un nom cévenol et protestant Les gorges nègres ! Fait curieux : c'est ainsi que l'on surnommait, en Languedoc, les protestants pendant les guerres de religion. Ma famille est originaire de Saint-Jean-du-Bruel, village des Cévennes occidentales, au bord de la Dourbie, au pied du Saint-Guiral (superbe balade !) Les Cévennes sont le pays de ces braves Camisards qui luttaient contre les Dragons du royal tyran Louis XIV. Ce monarque qui se prenait pour le soleil voulait instaurer la religion

| |PHEDRE | |de | |Jean RACINE | |Commentaires : | |

que la vie nous offre de plus émouvant et de plus comique.» Jules Renard MORGANE WALTHER Poil de carotte MICHEL PILORGÉ Monsieur Lepic ANNIE MONANGE et BRIGITTE AUBRY Madame Lepic ALEXIA PAPINESCHI Annette Mise en scène par Michel Pilorgé et Jean-Philippe Ancelle Décor et conception graphique de Gérard Roveri Distribution Attaché de presse - Elodie Kugelmann - 06 62 32 96 15 - elodie.kugelmann@wanadoo.fr Compagnie Acamas - 01 43 72 99 18 - contact@compagnie-acamas.com 1 Il y a un père

ornementale de pierre, de fleur, et de coquillage, par la fantaisie des lignes contournées et des volutes et par la recherche d’une grâce un peu mièvre. 1. La vie et l’oeuvre de François BOUCHER Il est fils unique du peintre de l'académie de Saint-Luc Nicolas Boucher. Après une formation auprès de François Lemoyne, il remporte le Grand prix de peinture de 1723 et séjourne en Italie de 1727 à 1731. Il obtient à son retour des succès de société, ainsi que la faveur de Madame de Pompadour, et

le 30 mars 1842, est unepeintre française, considérée comme une grande portraitiste de son temps à l'égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze. Enfance Son père, Louis Vigée, était pastelliste et membre de l’Académie de Saint-Luc; sa mère, Jeanne Maissin, était coiffeuse et d’origine paysanne. Son frère,Étienne Vigée, fut un auteur dramatique à succès. Baptisée à l’Église Saint-Eustache de Paris, l’enfant est aussitôt confiée à des paysans des environs d’Épernon d'où elle ne reviendra à Paris que

parallèle avec son travail d’écrivain il est tout à tour journaliste, critique d’art et de littérature puis traducteur d’Edgar Allan Poe, un auteur Américain. Ces poèmes sont marqués par des rencontres de femmes qui ont bouleversées sa vie dont l’actrice Jeanne Duval, sa « Vénus noire ». Il mène une vie de bohème dans sa ville natale où il décède 31 août 1867. Avant le titre définitif de son recueil, Baudelaire avait pensé auparavant à des titres tel que « Lesbiennes » ou encore « Les Limbes ». Un

Jean de SpondeEt quel bien de la Mort ? où la vermine ronge Tous ces nerfs, tous ces os ; où l'Âme se départDe ceste orde charongne, et se tient à l'escart,Et laisse un souvenir de nous comme d'un songe ? Ce corps, qui dans la vie en ses grandeurs se plonge,Si soudain dans la mort estouffera sa part,Et sera ce beau Nom, qui tant partout s'espard,Borné de vanité, couronné de mensonge. A quoy ceste Âme, helas ! et ce corps desunis ?Du commerce du monde hors du monde bannis ?A quoy ces nœuds si beaux

Chapitre X Trouscaillon se mit en quête de trouver un automobiliste qui pourrait les amener à la Sainte-Chapelle afin de sauver Gabriel. Après quelques tentatives, ils montèrent dans la voiture d'un « Sanctimontronnais », qui reconnut Zazie. L'agitation des discussions et du trafic amena le conducteur à emboutir plusieurs voitures, sans gravité. Ils arrivèrent à la Sainte-Chapelle emboutissant alors le bus de Fédor. Celui-ci sortit et les deux femmes lui demandèrent où était parti Gabriel

pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes(Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII.