Mon idole

et politiques et non pas spirituelles. Ruy Blas, le valet de Don Salluste, récupère une partie de la maîtrise : le savoir et la volonté, mais non le pouvoir ; il recouvre son autonomie, il s'affranchit, mais ne peut se résigner à se détacher de son idole. Le drame exige un dénouement tragique et c'est volontairement que Ruy Blas se donne la mort. La fin de la pièce est donc conforme à la logique des caractères et aux conventions du drame romantique.

accident. M.Alphonse le fils de M. de Peyrehorade sur le point se marier à une riche héritiaire Mlle.de Pygarig. Le matin de la cérémonie il engage une partie de paume contre des espagnols, pour ne pas étre géné M.Alphonse passe au doigt de cette belle idole la bague déstinée à sa future femme et l'oublie. Le soir, bouleversé, il révèle qu'il n'a pu reprendre l'anneau et que la Vénus a serré le  doigt pour le garder comme un gage de fiançailles. La nuit était agitée. Le narrateur entend plusieurs bruits

de sa vie, Son cœur sentit qu'il était fait pour vous. Point de serment, point de vaine promesse : Si jeune encore, on ne les connaît pas ; Son âme pure aimait avec ivresse, Et se livrait sans honte et sans combats. Elle a perdu son idole chérie ; Bonheur si doux a duré moins qu'un jour ! Elle n'est plus au printemps de sa vie : Elle est encore à son premier amour. Marceline Desbordes-Valmore. On a choisit ce poème parce qu’il parle d’une fille que pensait que son premier

fleurs préférées, et il vient d'y laisser une lettre (scène 2). Elle a l'émotion d'identifier l'épistolier en la personne de "Don César" (Ruy Blas), qui lui apporte, de la part du roi, un laconique billet de chasse. Le trouble de Ruy Blas devant son idole enfin approchée va jusqu'à la syncope (scène 3). Grâce à la lettre apportée et à une blessure à la main, elle reconnaît Ruy Blas comme étant son adorateur secret. Don Guritan, amoureux lui aussi de la reine et inquiet de l'idylle naissante, provoque

les enfants africains qui grandissent en idolâtrant leurs grands frères qui ont été sélectionnés par des équipes internationales. Dans le livre Le ventre de l’Atlantique de Fatou DIOME nous présente Madické qui rêve de devenir footballeur comme son idole MALDINI afin de quitter son île de Niodor. Des handicapés cherchent la reconnaissance de leur validité dans la compétition tel Oscar PISTORIUS coureur paralympique qui a pu participer au JO de 2012 avec les athlètes olympiques. Le sport est pour tous

De son coté, Molière, dans Les femmes savantes, exagère la vision d'Armande des femmes au foyer, du savoir, de la connaissance. Armande dresse un horrible tableau des femmes marièes : « De vous claquemurer aux choses du ménages » (v.3), « Qu'une idole d'époux et des marmots d'enfants ! » (v.5), et utilise une métaphore : « loin d'être aux lois d'un homme en esclave asservie » (v.18). Alors qu'elle donne une image du savoir optimiste et donne même l'impression d'en être amoureuse, en effet, Molière

nos yeux. On se rend compte au fur et à mesure du récit que c’est un opportuniste, à chaque fois qu'une occasion se présente, il saisit l'opportunité pour monter dans la société. Il établit des stratégies pour suivre ses ambitions à l’instar de son idole, Napoléon, il lui arrive de comparer ses victoires amoureuses aux batailles militaires. Il est très intelligent mais aussi très orgueilleux. C’est un personnage complexe, tantôt motivé par la vanité et l'ambition, tantôt par l'amour et la passion.

désenchantement et à la désillusion. La postmodernité va se présenter à la fois comme un rejet et comme un dépassement de la modernité. LES CARACTERISTIQUES DE LA POSTMODERNITE La fin du règne de la raison La modernité a fait de la raison la dernière idole, celle qui devait réussir là où toutes les autres avait échouées (cosmos, religion, tradition, patrie…), celle qui devait réussir à unifier le savoir. Son échec signe donc la fin des idoles et l’entrée dans une nouvelle ère : la postmodernité. Cet

trouble » intensité croissante par « s’élever » L282 « ma raison égarée tétramètre qui met en relief l’agrément par l’antithèse avec «  cherchais » scission dans l’être C. Idéalisation d’Hippolyte Paradoxe de « l’ennemi » qui devient idole L293 antithèse ennemi / idolâtre (tétramètre) Passion qui relève d’une passion religieuse pour devient alors même qu’il s’agit d’amour contre nature Champ lexical de la religion qui fusionne l’amour pour Hippolyte aux vœux adressés à Venus pour y

honneurs – pour se masquer sa petitesse : « Il veut être grand, il se voit petit ; il veut être heureux et il se voit misérable. » Confondu par sa propre imposture, il n'a alors d'autre issue que l'hyperbole narcissique : faire de lui-même sa propre idole, s'adorer sans limite, devenir Dieu et rayonner dans tout l'univers : « Nous sommes si présomptueux que nous voudrions être connus de toute la terre. » Pathétique « divertissement » que l'amour propre ! Il nous éloigne de nous-mêmes, d'autrui et de