Mon Reve Imaginaire Verlaine

l’image attendrissante du jeune couple moderno-intellectuel. Qui pourrait encore m’attendrir si je me laissais faire, si je ne voulais pas chercher comment on s’enlise, doucettement . En y consentant lâchement. D’accord je travaille La Bruyère ou Verlaine 16 dans la même pièce que lui, à deux mètres l’un de l’autre. La cocotte-minute, cadeau de mariage si utile vous verrez, chantonne sur le gaz. Unis, pareils. Sonnerie stridente du compte-minutes, autre cadeau. Finie la ressemblance. L’un des deux

____________________________________________________________ ______43 Charles Baudelaire ____________________________________________________________ _____43 Arthur Rimbaud ____________________________________________________________ _______43 Paul Verlaine ____________________________________________________________ _________44 Niet zsche ____________________________________________________________ ____________44 Lautréamont ____________________________________________________________ __________45

son spectre aujourd'hui nous hante, mince et clair. Et voici que parmi l'effroi d'un long éclair Sa pâle blouse a l'air, au vent froid qui l'emporte, D'un linceul, et sa bouche est béante, de sorte Qu'il semble hurler sous les morsures du ver. VERLAINE, « P i e r r o t » , Jadis et Naguère. Exercices Exercice 8 :À quel thème commun se rattachent les mots soulignés dans ce texte ? Envole-toi bien loin de ces miasmes1 morbides Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure

est mort. En 1791 il est ré enterré au panthéon. Présentation de l’œuvre de candide : C’est un œuvre éponyme, conte philosophique (c’est pour éviter la censure grâce aux personnages et aux situations fictives), l’univers du conte est imaginaire et merveilleux, narration=> ouvert à plus de monde vulgarisation des idées plus accessible, le conte a un corps et une morale c’est un apologue, le goût pour l’exotisme rêver sur la différence aimer les voyages, point de vue interne permet l’indentification

formuler la sourde éclosion d'avenir qui montait en lui. Un grand silence tomba, pendant qu'il achevait d'ébaucher le veston de velours, frémissant. Sandoz l'avait écouté, sans lâcher la pose. Et, le dos tourné, comme s'il eût parlé au mur, dans un rêve, il dit alors à son tour : "Non, non, on ne sait pas, il faudrait savoir… Moi, chaque fois qu'un professeur a voulu m'imposer une vérité, j'ai eu une révolte de défiance, en songeant : "Il se trompe ou il me trompe." Leurs idées m'exaspèrent, il me

purent être la Flandre des comtes et des communes, ou la Lotharingie des ducs de Bourgogne, ou même les Pays-Bas de Charles Quint et de Philippe II. Mais, de l'histoire littéraire les mythes des poètes font légitimement partie. Ce fut indubitablement un rêve esthétique valable que ce curieux forçage de couleurs et son exploitation aux fins de l'expression à demi factice de tempéraments et de sentiments eux-mêmes un peu sollicités. Pièce importante à conserver dans le dossier « écrivains français de Belgique »

« liberté » du lecteur car tout ouvrage littéraire est défini par Sartre comme un appel et plus particulièrement un appel à la liberté du lecteur. Et il ajoute : « c'est l'effort conjugué de l'auteur et du lecteur qui fera surgir cet objet concret et imaginaire qu'est l'ouvrage de l'esprit. Il n'y a d'art que pour et par autrui ». 2.Langage scientifique/langage poétique En essayant de répondre à la question liminaire, nous tenterons de mettre en parallèle les traits du langage scientifique

symbolistes ; il obéit globalement aux contraintes du vers traditionnel (longueur fixe), mais remplace la rime par l’assonance. Il s’agit d’une forme intermédiaire entre le vers classique et le vers libre. c) Le vers libre – déjà en germe chez Hugo, Verlaine et Rimbaud - est né dans les années 1880 du désir d’abolir la contrainte métrique (l’exigence d’une longueur fixe et identifiable) qui pesait sur le vers, pour donner à l’expression poétique une souplesse qui l’accorde aux mouvements de la sensibilité

vouée à la fulgurance et à l'ellipse. La matière du recueil se refuse à toute espèce de définition rationnelle, cohérente, n'obéit qu'aux lois mystérieuses de l'inconscient, et irradie d'admirables éclairs poétiques. Les domaines de la réalité et du rêve s'y confondent et s'y mêlent étroitement. Les mots, les membres de phrases se heurtent, se contredisent et font fleurir d'énigmatiques images, denses et lapidaires, dont certaines ont un symbolisme cosmique s’accordant avec une sorte de savante simplicité

début d’un poème qui s’appelle La liberté». « Elle est retrouvée. Quoi ? L’éternité. » (Rimbaud) Mais c’est précisément avec la poésie que se dessine une des limites de la littérature engagée : la littérature n’est-elle pas le lieu du dégagement rêvé rimbaldien, une parole du monde sans prise sur lui, une voix pure ? «Pourquoi des poètes en temps de détresse ?» s’interroge dans une formule célèbre Hölderlin. La littérature engagée s’inscrit en effet par définition dans une modernité, dans une instantanéité