Mon Rêve Familier Champs Lexical

garçons sont-ils privés de piscine un samedi après-midi ? 6. Quels sont les indices qui nous montrent que Jean-B. aime lire ? 7. Pourquoi Jean-A. et Jean-B. n’ont-ils pas le même point de vue sur le camp scout ? 8. Quel animal le narrateur rêve-t-il d’avoir ? 9. Pourquoi les cinq frères font-ils la grève ? 10. Expliquez le titre du roman. 1. Relevez trois exemples qui vous permettent de dire quel niveau de langue l’auteur a choisi pour son récit. Pourquoi a-t-il fait ce choix, selon

Commentaire composé de La jetée d’Henri Michaud Au début du XX siècle, un nouveau mouvement littéraire se répand : le surréalisme qui repose sur la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. Henri Michaud, un écrivain, poète et peintre d’origine belge

blâme, le réquisitoire, le plaidoyer. Les registres Registres non comiques Un registre épique (glorifie un héros dont ses exploits suscitent l’admiration, le thème du combat est essentiel). L'épopée (présent partout). Indices : champ lexical du combat ; antithèses; procédés d’amplification comme les hyperboles, les comparaisons hyperboliques, les accumulations ou l’emploi du superlatif. Auteurs : Homère (auteur grec), Virgile (auteur latin), Hugo, Zola (c’est un auteur réaliste

= réciprocité des réactions. 2 expressions synonymes « de ne pas etre surpris … jamais vu » l 14 et « voir Mme de Clèves pour la 1 ère fois… grand etonnement » l 17 = réciprocité des sentiments. b. Sens essentiel sollicité, la vue Champs lexical de la vue + verbe voir très présent, « admira, admiration, admirer » et « chercher des yeux, vit, voir, vut » = 1 sens sollicité et coup de foudre qui passe par le regard. Répétition « beauté » l 1, 11, 28 = coup de foudre provoqué par le physique

marques de la présence du narrateur et utiliser les mêmes (« je », modélisateurs, …) Ne pas changer de registre et respecter le niveau de langue (familier, courant ou soutenu). Se rappeler les caractéristiques du genre du texte et tenter de les respecter au mieux. Par exemple, pour un récit fantastique, il faudra absolument employer les champs lexicaux de la peur et du doute, ménager une chute qui hésitera entre explication rationnelle et surnaturelle sans lever le doute. Etre attentif aux anachronismes :

à susciter l’attention du lecteur a) le langage familier, les expressions familières propres aux tournures, formulations orales (style oral = > titre du recueil, Paroles) : ex : « Il est terrible le petit bruit de l’œuf », « de n’importe quoi qui se mange », « il s’en fout de sa tête l’homme » (au lieu de l’homme s’en fout de sa tête »), etc. b) Outre les tournures orales, on note l’emploi d’un niveau de langue familier (« s’en fout », « flics »…) => côté populaire, accessible

comparaison qui crée une image positive, confortable. - Il y a des termes positifs comme « sans me soucier » (V.5), « un plaisir si doux et si charmant » (V.9) → avec « si » qui est un adverbe d’intensité. - On peut aussi voir qu’il y a le champ lexical de la paresse : lit, rêve, paresse, fagoté, dort, sans me soucier, oisiveté, en langueur, doux, charmant, ce plaisir. - Versification : les phrases sont longues, et il y a des enjambements (la lecture du poème est lente). Tout les vers sont écrit en alexandrins

noir tout le long du texte, et qui clôture même ce poème, en un mot final et sombre. Dans ce tableau macabre, l'auteur évoque plus particulièrement la tristesse, qui est la traduction litt érale du mot " Spleen ". On relèvera des termes, un champ lexical de la tristesse, avec des mots comme " gémir, ennui, triste, affreux, corbillards, pleure ", . L'auteur, triste, se sent alors enfermé dans son malheur, qu'il exprime alors avec une absence de liberté. ..2. L'absence de liberté On ressent un

en un sens, elle « re-traite » le monde et le déforme… Dans la mesure où vous aurez à parler de nombreuses fois de la notion d'« ouverture » et de « monde », vous avez intérêt à vous constituer une « banque » de mots synonymes qui constitue le champ lexical de ces deux notions. Cela permet : de trouver peut-être de nouvelles idées ; de disposer d'un « stock » de mots au moment de rédiger pour ne pas vous répéter. Le choix des exemples Des poèmes qui « peignent » le monde extérieur : Hugo :

Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins; Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes! Charles Baudelaire