Mon Rêve Familier Champs Lexical

collective de la population entière, thème souvent repris par Victor Hugo dans “Les châtiments”, quand il accuse le peuple de léthargie ou de compromission. Avec «Ah ! mon Dieu ! on est donc des brigands !», on trouve une incorrection du langage familier bien que Victor Hugo, très respectueux de la syntaxe, évite presque toujours les solécismes, même quand il reproduit le parler populaire ; quant au «on», cette fois-ci, il englobe au contraire non seulement la famille mais la classe populaire entière

La présence d’un cimetière en face de la maison familiale renforce l’idée de tristesse et accentue l’impression d’un personnage qui vit sans vivre. Même ses rêves sont fermés d’un point de vue spatial, car il n’a « jamais fait de long voyage en rêve », et ses regards restent rivés au ras du sol. L’espace est donc borné à la fois de manière horizontale et verticale : Jean Dézert vit dans une toute petite bulle. 3. La métaphore filée du passager dans une gare montre, grâce à la répétition du verbe

d’abord celle de tous les habitants de cette banlieue en tôle ondulée qui n’espèrent qu’une seule chose : figurer sur la liste de la mairie leur attribuant un logement dans des immeubles flambant neufs. La mère de Djinala ne fait pas exception : elle rêve de cet appartement, promesse d’une vie nouvelle. Et puis second fil conducteur de ce récit : le drame familial. Djinala a une grande sœur de plus de dix ans son aînée… une voisine jalouse et peu scrupuleuse va dévoiler un lourd secret. Et la case

c Séquence 1 Séance 2 A - Les relations explicites entre les personnages 1- Le passage à surligner était : Elle l’avait aimé son Baptiste dès le début, ou presque. Pendant les premières années de leur mariage elle l’accompagnait aux champs pour lui donner la main. (l. 35-37) 2- Les regrets d’Angèle sont de n’être jamais sortie de son village, de ne pas être allée en pèlerinage à Lourdes (l.34-35). 3- a) Non, leur relation n’était pas aussi heureuse qu’au début de leur mariage

Quant à la formulation des questions, elle limite le plus possible le recours à un vocabulaire spécialisé. La démarche part d’activités liées au repérage d’indices et débouche sur des formes d’interprétation. Ainsi, la réflexion grammaticale et lexicale aboutit à la construction du sens. L’ÉVALUATION DE L’ORTHOGRAPHE Une triple évaluation de l’orthographe est proposée : • une courte dictée est maintenue. Elle peut généralement être mise en rapport avec le texte support, • un exercice de transformation

plus en plus vite, envahit la maison, la rue... (comme pour beaucoup de pièces, le point de départ, dans l’esprit de Ionesco, fut un rêve); dans Victimes du devoir (1953), dans Rhinocéros (1958), dans La Soif et la Faim (1964), cette hantise demeure présente et impose chaque fois un rythme très particulier: après un départ un peu lent, tout s’accélère, et le monde familier devient méconnaissable (en particulier dans Rhinocéros ). Vide et prolifération sont les deux faces d’une même réalité, l’absence

votre avis, se souvient-il de cet épisode de son enfance ? II. Scène d’orage 1. Par quel sens les personnages perçoivent-ils la foudre dans le passage « Nous étions parfaitement... » (l. 1) à « lointain du vallon » (l. 5) ? Nommez et relevez le champ lexical utilisé. 2. « [...] la foudre, sanglante et hurlante » (l. 1) a) Quelle est la figure de style utilisée ? b) Quel sentiment la foudre provoque-t-elle chez les personnages ? ½º Ö Ò ¹ Ù ÖÓ× ÓÙ¸ Ö Ô º 48 Sujet 3 III. Une apparition 1

peuple. Peut-être en est-elle le symbole. • Tous ces personnages parlent-ils de la même façon ? Avez-vous noté quelque chose quant au langage dans cette pièce ? Personnages adoptent tantôt un registre sérieux (=> tragique) tantôt un langage plus familier qui fait que la pièce semble proche de nous, comme une comédie. + Rappel sur ce que sont la tragédie et la comédie (sera repris dans la S.8) Tragédie : tout est joué d’avance, dès le départ on sait que la fin sera funeste (mort ou exil). Personnages

illusions sans bornes, qui s’éloignent pour me tromper toujours. Que m’importe ce qui peut finir ? L’heure qui arrivera dans soixante années est là près de moi. Je n’aime point ce qui se prépare, s’approche, arrive, et n’est plus. Je veux un bien, un rêve, une espérance enfin qui soit toujours devant moi, au-delà de moi, plus grande que mon attente elle-même, plus grande que ce qui passe. Je voudrais être tout intelligence, et que l’ordre éternel du monde... Et, il y a trente ans, l’ordre était,

sous l’empire », vidéo intitulée « champ de bataille d’Eylau ») Pour observer le tableau en détails et zoomer sur les éléments qui vous interpellent, rendez-vous sur le site : http://www.histoire-image.org/ (mot clé de recherche : Eylau) CNED SECONDE – FRANÇAIS 55 SÉQUENCE 3 Tableau n°1 Antoine-Jean Gros, Napoléon 1er sur le champ de bataille d’Eylau © RMN/Daniel Arnaudet. Tableau n°2 Charles Meynier, Napoléon 1er visitant le champ de bataille au lendemain de la bataille