Mon Sang Michaux

jugeant au jugement du Jura que les jaugeurs qui devaient jauger avaient faussé le jaugeage, décida que ces jaugeurs mal jaugeant ne jaugeraient plus. 14. Un vieux voyou voleur et voyeur voulait voler Violette. 15. L’assassin sur son sein suçait son sang sans cesse. 16. Six cent six chausseurs sachant chausser, chaussaient cher six cent six chausseurs. 17. Un chasseur sachant chasser sans chien sait chasser. 18. Va ! Chemineau, chemine sur le chemin, et chaque soir, dans chaque chaumière, chaudement

Bellay - Eluard - Fénelon - Flaubert -Fontenelle - Giono - Giraudoux - Hérédia - Hugo - Huysmans - Ionesco - Juliet - La Bruyère - Laclos - La Fayette - La Fontaine -Laforgue - Lamartine - Lesage - Mallarmé - Malraux - Marivaux - Marot - Maupassant - Mauriac - Michaux - Molière - Montesquieu -Musset - Nerval - Pascal - Ponge - Prévert - Prévost - Proust - Rabelais - Racine - Rimbaud - Ronsard - Rousseau - Roy - Saint-Amant- Sand - Sarraute - Sartre - Senghor - Shakespeare - Stendhal - Supervielle - Vallès - Verlaine - Vigny - Voltaire - ZolaActe

silence gêné qui a salué en 2008 le Prix Nobel de littérature et le discours du lauréat contraste singulièrement avec le soutien apporté à Claude Simon dans des circonstances analogues. Le Clézio est pourtant l’un des leurs, auteur d’un mémoire sur Michaux puis d’une thèse d’histoire, candidat (malheureux) au CNRS. Son œuvre satisfait aux critères d’éligibilité les plus actuels, avec sa forte composante autobiographique, son exterritorialité, l’attention aux opprimés et “dominés”, l’ombre portée des

Claude Cahun, en référence à des parents juifs. En 1917, tandis que son père épouse Marie Malherbe, la mère de Suzanne, Cahun emménage avec Suzanne Malherbe à Paris. Elles fréquentent les surréalistes et se lient d’amitié avec Cocteau, Bataille, Michaux, André Breton et notamment Robert Desnos. En 1930, Claude Cahun publie son livre majeur, « Aveux non avenus ». C’est dans les années 1930 qu’elle participe au combat contre le fascisme et la montée de l’impérialisme français. En 1937, Cahun et Moore

encore, la femme. Dessin: Robert Petit-Lorraine Jean-Pierre Rosnay 2 TABLES DES MATIÈRES AUTEURS A. de Lamartine G. de Nerval A. de Musset V. Hugo Ch. Baudelaire P. Verlaine A. Rimbaud G. Apollinaire P. Éluard L. Aragon R. Char H. Michaux R. Desnos P. Fort F. Ponge J. Prévert L. Sédar Senghor Notes …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………

chevaux et grand bruit Voilà Paris que vous en semble ? “Sur Paris”, Poésies diverses, PAUL SCARRON, 1654 10       Paris bloqué Ô ville, tu feras agenouiller l’histoire. Saigner est ta beauté, mourir est ta victoire. Mais non, tu ne meurs pas. Ton sang coule, mais ceux Qui voyaient César rire en tes bras paresseux, S’étonnent : tu franchis la flamme expiatoire, Dans l’admiration des peuples, dans la gloire, Tu retrouves, Paris, bien plus que tu ne perds. Ceux qui t’assiègent, ville en deuil, tu les

suivantes : * Une comparaison ; * Deux métaphores. d) Explique le titre du poème : La terre est bleue comme une orange. e) Quelles sont les caractéristiques de ce poème au niveau de la forme ? v. Lis ce poème d’Henri Michaux, Le grand combat (1927), et détermine le thème et les caractéristiques stylistiques et formelles. Il l’emparouille et l’endosque contre terre : Il le rague et le roupète jusqu’à son drâle : Il le pratèle et le libucque et lui baroufle les ouillais :

- le poème à commenter : Les chevaux du temps ………………………….. ………. 37 VII. - Francis PONGE (1899–1988) …………………………………………………. 38 - le poème à commenter : Le Cageot ………………………………………………. 39 VIII. - Henri MICHAUX (1899-1984) ……………………………………………….. 40 - le poème à commenter : Dans la Nuit (Lointain intérieur) ……………………… 41 IX. - René CHAR (1907-1988) ……………………………………………………….. 42 - le poème à commenter : PLACE ! ………………………………………………

littérature au nom de Dieu et de la France : Discours des misères de ce temps Ne prêche plus en France une Evangile armée Un christ empistolé tout noirci de fumée, Portant un morion en tête, et dans la main Un large coutelas rouge du sang humain : Cela déplaît à Dieu, cela déplaît au Prince (…) De Bèze, mon ami, tout cela ne vaut pas Que la France pour toi prenne tant de combats. Mais de Bèze reste sourd aux appels de Ronsard ; le poète en vient à attaquer très violemment

film les sujets suivants : « Retour animal de l’homme », « De l’homme des villes à l’homme originel », ou bien d’envisager la relation de l’être humain avec son environnement : « L’avancée industrielle aux États-Unis », « Un passé collectif rempli de sang indigène »… D’aucuns pourraient juger ce film froidement morbide, mais cela serait sans considérer qu’il nous fait partager une mystérieuse quête initiatique imaginaire, ainsi que l’expérience d’un autre rapport au monde dont l’harmonie cyclique apparaît