Monade

se divise. Ce qui est indivisible = l’atome (la monade : atome métaphysique (au-delà des réalités matérielles) substance simple (tout apparaît d'un coup : ni création et annihilation) sans parties, unité d’énergie indivisible) • La monade n’a pas de “fenêtres” c.-à-d. que rien n’agit sur elle du dehors, tout se passe à l’intérieur de la monade (comme la conscience : inétendue, indivisible, sans fenêtre (tout se passe dedans) • Les monades ont une perception du monde qui les entoure ce qui

Leibniz, Dieu est l’ensemble des monades, Dieu est l’univers, et, selon Pascal, Dieu est le centre, il est à la jonction de l’infiniment petit et l’infiniment grand qui se rejoignent. Par la suite, dans le texte de Leibniz, il est question des monades qui sont des parties et qui agissent en harmonie «Ainsi il y a une harmonie parfaite entre les perceptions de la Monade et les mouvements des corps3». Puis, dans le texte de Pascal, même s’il ne parle pas de «monade» comme Leibniz, Pascal parle tout

d’ouvrages comme le Discours de métaphysique ou le Système nouveau de la nature et de la communication des substances. La notion de substance individuelle présente dans le Discours de métaphysique ne doit en effet pas être confondue avec celle de monade. La force Pour Leibniz, la physique a sa raison dans la métaphysique. Si la physique étudie les mouvements de la nature, quelle réalité est ce mouvement ? Et quelle cause a-t-il ? Le mouvement est relatif, c'est-à-dire qu'une chose se meut selon la

- 1716 : il meurt dans une totale solitude. Seule l’Académie de Paris lui rend hommage (éloge de Fontenelle en 1717). II-La Philosophie de leibniz 1-La théorie de la substance : les monades Aux yeux de Leibniz, tout l'univers est constitué de monades. Les monades sont des substances simples, sans parties, des atomes de la nature qui ont chacune une unité. Elles sont toutes différentes. Deux choses individuelles ne sauraient être parfaitement semblables et leur différence

compte le caractère “d’indivision de la totalité” que présente la monade qu’elle est à la naissance, puis que constitue pour elle l’exigence vitale de sens ensuite) peut alors être considérée comme la figure qui s’oppose précisément à celle du réseau (dans le but de le subsumer en une représentation satisfaisante, fût-ce au prix de la psychose). L’hypothèse qui vient ici serait que peut-être, l’émergence de la psyché (comme monade ou instance monadique principielle) pourrait être réactive à l’activation

- Ses relations - Ses influences - Son époque II-une vision scientifique des mathématiques * La visée politique * La vulgarisation des mathématiques III- Une vision magique des mathématiques *Cornélius Agrippa de Nettesheim *La monade hiéroglyphique *Le livre de Soyga *Le Sigillum Aeifmeth IV- Conclusion (répondre aux axes) INTRODUCTION: Notre problématique est de savoir comment est-il possible de concilier la magie avec la science sachant que les mathématiques sont

d'abord agir, et la force d'une substance, c'est sa tendance à exister au maximum parce qu'elle est composée d'unités de force que le philosophe appelle monades (unités). Ce qui caractérise alors une monade, c'est la perception comme représentation du multiple dans l'unité, ce qui explique que chaque monade perçoit l'ensemble des autres monades (l'Univers) à sa façon. ● Leibniz insiste sur le rôle des perceptions confuses, peu nettes, de la réalité. Il distingue aussi les petites perceptions, trop

qu’elles sont mais seulement telles qu’elles nous apparaissent. De plus, dans la Monadologie, Leibniz définit une substance miroir du monde, qu’il appelle « monade ». L’esprit est composé de monades qui sont liés entre eux. Chaque monade renferme la substance de tout l’univers. La monade perçoit le monde entier, donc elle-même. Plus la monade a une perception de l’univers, plus elle ressemble à Dieu. Rien n’agit de l’extérieur sur elle, sauf Dieu. Elle diffère de Dieu par la connaissance bornée du

monadologie ( 1714), Ed. Delagrave § 1 La monade, dont nous parlerons ici, n'est autre chose qu'une substance simple, qui entre dans les composés ; simple, c'est-à-dire, sans parties. § 2 Et il faut qu'il y ait des substances simples, puisqu'il y a des composés : car le composé n'est autre chose qu'un amas ou aggregatum des simples. § 3 Or là où il n'y a point de parties, il n'y a ni étendue, ni figure, ni divisibilité possible. Et ces monades sont les véritables Atomes de la Nature et en

contemporaine du virtuel. Dans l’une de ses oeuvres majeures, La Monadologie [1], Leibniz déploie sa conception d'un univers composé de « monades », qui n'est pas sans rappeler notre conception contemporaine de l'univers virtuel. Ces monades sont des sortes d’atomes spirituels, les éléments irréductibles de toute réalité composée : chaque individu est comme enfermé dans sa monade, sans porte ni fenêtre, mais s'accorde aux autres selon l'harmonie préétablie, grâce à l'organisateur bienveillant de ce monde.