Monarchie Et Féodalité

règlement dans sa seigneurie qui interdisait la chasse et le braconnage et 2 personnes n’ont pas obéit et ils furent donc pendu mais les familles ont trouvé cela injuste et le ministère a sanctionné le Cire de Coucy en entendant la famille. La féodalité est donc en perte de vitesse et à sa mort les féodaux vont essayer de reprendre le pouvoir mais ils n’y arriveront pas et Philipe de Hardy va continuer cela et enfin ce fut Philippe IV Le Bel et c’est lui qui organisera le procès du templier pour

est une faute civil ce qui témoigne bien d’une permanence de la morale religieuse. Il existe d’autres exemples de l’influence du droit par la religion : les fêtes chômées, repos le dimanche, le droit de grâce du chef de l’Etat : il remonte à la monarchie de droit divin où on considérer que le roi était un envoyer de Dieu sur terre et qu’il pouvait gracier les condamnés. *Notre histoire juridique a connu plusieurs phases/étapes dans notre rapport à la religion : L’antiquité a connu l’association

pouvaient lever les impôts, saisir les revenus royaux, effectuer des réquisitions de bien auprès des particuliers. Le système reste à peu près le même jusqu’à la mort d’Henry II en 1559 parce que leurs pouvoirs sont relativement bien maitrisés par la monarchie. Mais évidemment avec les crises politiques et religieuses de la fin du 16e siècle, on va permettre à ces gouvernements de province de dépasser le cadre légal de leur pouvoir, de leur fonction. Ils vont lever les impôts et les armées sans autorisation

régions, le secteur du textile, la vente des objets fabriqués, entraînant chômage, errance, mendicité, et bientôt émeutes, comme à Rennes dès le 26 janvier 1789, puis durant le mois de mars partout en France. Dans ce contexte économique difficile, la monarchie entreprend de prélever un impôt pour financer la guerre en Amérique, ce qui est bien entendu mal perçu. C/ Les doléances paysannes Les cahiers de doléances : au printemps 1789. Ils attestent que le monde paysan a encore pour le roi un attachement

politique de l’ancienne France. En quoi la monarchie est-elle absolue ? Et l’est-elle vraiment ? Puis, dans une deuxième section, il sera question de l’organisation sociale de la France d’Ancien Régime, société d’ordres, société chrétienne, société faite de communautés rurales dominées par la ville. Une troisième section sera consacrée à la crise de l’Ancien Régime, qui conduit à la Révolution. SECTION I - LE REGIME POLITIQUE DE L’ANCIENNE FRANCE C’est une monarchie, le gouvernement d’un seul, que nous

ont fait sa culture, ses antagonismes et ses guerres. Une réforme célèbre caractérise l'Église : 1075, réforme grégorienne du Pape Grégoire VII. Cette réforme c'est en fait l'affirmation d'une monocratie, le pouvoir d'un seul (terme grec) ou d'une monarchie (terme médiéval) autour du pape de Rome. L'Église est hiérarchisé de haut en bas à l'époque de cette réforme. L'Église a des compétences d'une autorité publique dans la société, donc le pape lui même a ses compétences. Il est le chef spirituel, moral

l’impérium (son pouvoir militaire) et se fait élire grand pontife (chef des prêtres de la religion romaine). Il faut 6 ans à Octave pour transformer la nature du pouvoir politique à Rome. En -27 av JC il se fait nommer Auguste (l’excellent). C) La monarchie militaire, romanisation de toute l’Europe, la montée du christianisme Pendant environ 1 siècle on maintient les nouvelle institutions républicaine ; Il existe deux consuls, un sénat et des assemblées populaires (qui ne jouent plus aucun rôle puisque

Du bon usage de la guerre civile en France – Jacques Marseille 1) 1356 : accouche du premier roi moderne, Charles V, assoit son autorité contre les princes locaux et dissout la féodalité 2) 1562-1598 : protestants et catholiques (Midi/Nord). Charisme d’Henri IV => religieux dans la sphère privée. Au-delà de la fracture religieuse, fracture Nord/Sud présente oc/oïl, décrit/dcoutumier, duc de Guise / Henri de Navarre. Pas loin de la situation des Provinces-Unies où Nord à dominante protestante

elle n’est plus qu’un titre sans grande portée pratique. La féodalité apparaît avec la mise en cause de l’autorité royale sapée par les assauts des Vikings et ceux des Hongrois. C’est l’époque où apparaît, pour la première fois, la théorie des deux glaives tirée de l’Évangile et devenus symboles du pouvoir spirituel et du pouvoir séculier. Le roi et particulièrement Charlemagne est un nouveau David mais bien vite les conceptions de la monarchie théocratique se différencient de plus en plus. La perception

comme le moulin ou le four). L'ordre féodal est donc combattu en France, pays où il est déjà très souple. La féodalité reste une institution civile, elle régit les rapports sociaux, mais elle n'est plus une institution politique, en ce qu'elle donnait des pouvoirs à des gens qui ont été dépossédés de ces droits avant la révolution. Les institutions politiques ont disparu car la monarchie absolue a instauré la centralisation administrative, que la révolution ne fera que faire croître et embellir