Monarchie Parlementaire

trouver une solution budgétaire, il s’agit de sauver le royaume de la faillite. Très vite les états généraux se transforment en une assemblée générale. Cette assemblée nationale va exercer le pouvoir conjointement avec le roi. Il naît alors une Monarchie Constitutionnelle. Celle-ci est vite insuffisante aux yeux des révolutionnaires les plus durs. Et dès l’été 1792, ce met en place un gouvernement qui aspire à appliquer les principes révolutionnaires par tous les moyens. Cette démocratie autoritaire

: Une série de faits marquants peut expliquer l’émergence du nationalisme en France comme mouvement politique entrant dans le système démocratique. D’une part nous pouvons citer l’avènement en 1870, de la troisième république qui mit fin à la monarchie française. C’est pendant cette dernière qu’à eu lieu la guerre franco-allemande au cours de laquelle la France a été défaite et l’Alsace-Lorraine annexée. D’autre part, en 1894, l’Affaire Dreyfus éclate. Le capitaine Dreyfus de confession juive

Républiques repose sur celle qui se trouve entre leurs souverains... ». D’où sa distinction entre trois types de Républiques (ou États) : 1 quand le représentant (celui qui détient le pouvoir souverain) est un seul homme, la République est une Monarchie 2 quand « c’est l’assemblée de tous qui voudront part à la réunion, c’est une démocratie ou une République populaire » 3 quand « c’est l’assemblée d’une partie seulement de l’ensemble, on l’appelle Aristocratie » (p. 192). Mais ils vont tenter

empire, une nouvelle monarchie puis une seconde République, et enfin le Second Empire de Napoléon III. C’est alors que suite à la défaite de Sedan en 1871 qui a précipité la chute de cet Empire, trois courants politiques veulent s’emparer du pouvoir. Ce seront finalement les républicains, qui veulent poursuivre les valeurs de la Révolution c’est-à-dire créer une culture commune : la culture républicaine, qui y succèdera. La culture républicaine est un régime politique parlementaire autrement dit la République

La monarchie anglaise est à la fois proche des monarchies continentales, et pour autant à ses spécificités qu'on ne peut lui retirer. Tous les attributs royaux, se retrouvent en elle (toute-puissance de la personne royale, elle a ses juristes qui lui ont conféré une ascendance divine, elle possède un protocole, une étiquette, et plusieurs symboles royaux...) Pour autant, son histoire, depuis la chute de l'empire romain dans laquelle elle prend ses racines, jusqu'à maintenant, peut légitimement se

crises vont remettre en cause la monarchie dans ses fondements. La monarchie est le gouvernement d'un seul : le roi qui exerce la plénitude du pouvoir dans le royaume. C'est donc la seule volonté du roi qui est le moteur de l'Etat. Il décide, juge, légifère. L'expression consacrée est celle introduite dans les actes officiels par François Ier « car tel est notre plaisir ». Elle témoigne de la volonté du roi dans l'action de l'Etat. Auter caracère de cette monarchie : la confusion des pouvoirs. L'ordre

En France, la monarchie qui précède la Révolution est qualifiée d'absolue, les rois successifs sont vus comme les suprêmes gouvernants du peuple, tous Ordres confondus. Cependant, dans la très large période que couvre l'appellation « Ancien Régime », les deux siècles qui séparent Henri IV et Louis XVI, la royauté a fait appel à diverses institutions, qui viennent se confronter au caractère même de l'absolutisme – la réunion de tous pouvoirs dans les mains d'un seul. C'est dans cette période que

gouvernement de l'époque. Il y eut en réalité deux sortes de fronde. La première fut parlementaire, et lorsque celle-ci fut matée, une seconde fronde, celle-ci nobiliaire, lui succéda. Les deux ne furent pas tournées contre le Roi proprement dit et jamais l'institution monarchique ne fut remise en doute, mais elles furent surtout tournées contre le ministère du cardinal Mazarin. 1) La fronde parlementaire En 1648, la France fut gouvernée par la régente Anne d'Autriche, mère du jeune roi

constitutionnel. Cicéron traduit ce dialogue au 1er siècle avant JC « De re publica ». Cela aboutit au terme République. Progressivement, nous passons au terme d'Etat. Aux XIVème et XVème siècles, la République prend un sens actuel. Elle est différente de la monarchie. L’État est une organisation politique. La République est une forme de gouvernement d'un État. En conséquence, la République est différente de l’État. En 1515, Machiavel écrit Le Prince et emploie le mot État dans son sens moderne. Ce terme existe

l’Empire qui font que nous l’appelons « le pouvoir personnel », le différenciant néanmoins de toute monarchie (talons rouges) ou république (bonnet rouge) ? Nous traiterons dans une première partie des aspects monarchiques de ce régime, puis dans une seconde partie nous étudierons le caractère ambigu et plein de faux-semblant de ce premier Empire. I. Un pouvoir personnel aux aspects de monarchie? Dès 1799 Napoléon apparaît comme Consul au côté de Siéyès et Roger Durcos. Ce système de Consulat