Monarchie Parlementaire

culte protestant est interdit depuis l’Edit de Fontainebleau signé par Louis XIV en 1685, visant à persécuter tous ceux qui refusent de convertir au catholicisme. Contrairement à la France, au XVIIIe siècle, l’Angleterre est sous Monarchie parlementaire qui est une monarchie constitut

Mais en 1789l’unification n’est que partielle. Les coutumes en vigueur sont encore nombreuses. Et le roin’est donc intervenu, en matière de droit civil, que pour ordonner la rédaction de règles (lescoutumes) qui ne viennent pas de lui. Au total, la monarchie « absolue » n’est parvenue ni àunifier complètement le droit privé d’origine coutumière, mais à légiférer elle-même en cedomaine 8 disposer d’eux-mêmes est exprimée en 1526 par les Etats de Bourgogne, refusant la cession deleur province

absolutisme. §1 : une souveraineté sans partage Le roi gouverne seul cependant sa tâche est immense et il a besoin de conseils. Si le roi est absolu il existe des organes destinés à faire part au roi de leurs conseils  les organes auxiliaires de la monarchie. A. le roi et l’état Il y a une confusion à éviter, une confusion entre le roi et l’état. Si le roi a une souveraineté sans partage pour autant l’état n’est pas sa chose, il n’est pas propriétaire de l’état. C’est la raison pour laquelle l’histoire

relatives a un même objet, a une même fonction, constituant un tout coordonné. Elles peuvent etre définies comme de grandes structures construites pour l’homme et dans lesquelles se déroule la vie en société. On y trouve l’etat, les assemblées parlementaires etc. Elles sont nombreuses et on peut opérer un classement. Institutions politiques: organisation de l’Etat et définit les libertés publiques. Elles découlent de la constitution. Administration générales: organes d’administratrion d’un pays:

Les régimes d’arbitraires seraient des régimes qui nient les buts de la vie en société, de la politique. * Dans les régimes d’autorité, des auteurs ont été amenés à répertorier des régimes dont nous contestons la validité, par exemple, la monarchie de l’ancien régime. * A l’inverse dans les régimes arbitraire on a souvent intégré la tyrannie mais aussi l’anarchie démocratique. Il faudra longtemps avant que l’on considère que la démocratie est un régime viable et ayant vocation à bénéficier

gouverner) - monarchie parlementaire ( différente de la monarchie absolue) - recherche de la vérité par la mise à l'épreuve - éducation, développement de l'équité et de la sociabilité -> plus proche de l'humanité Un bonheur incompréhensible et fragile: - montée de sa position sociale progressive - vie dirigée par le hasard (et les animaux! : le chien, le cheval, le perroquet) - accès enfin à un certain bonheur - mais le perroquet est un mauvais présage Dénonciation de la monarchie absolue

religions, elles font secouer la monarchie française et l’ensemble de France en général. Les monarchomaques vont contester le fait que le pouvoir soit détenu par un seul, ils veulent une monarchie tempérée, théorie soutenue par John Locke. Des théories du droit vont s’opposer aux monarchomaques, ils veulent préserver l’institution monarchique. Parmi ces penseurs éminents, il en est un, Jean Bodin grand penseur du XVI siècle. En France d’un point de vue historique la monarchie absolue va prévaloir au XVII

de modèle politique et de berceau de la démocratie. Section I : Royaume-Uni3 Ce pays entame très tôt son processus de développement politique. Un certain nombre de règles et principes vont amorcer la marche de la constitutionnalité de la monarchie. A- Le processus de constitutionnalisation La Grande-Bretagne4, dont la constitution est non écrite5, entame très tôt sa marche vers la mise en place d’un Etat de droit6. La Magna Carta inaugure en 1215 cette tendance à l’édiction des règles

l'essentiel. Trois grandes variantes de la démocratie libérale se sont élaborées au fil du temps par la construction d'équilibres particuliers entre l'exercice des libertés politiques et celui des libertés économiques : la république américaine, la monarchie parlementaire britannique et la IIIe République française. Ces démocraties représentatives, où le pouvoir est confié entre deux élections à des élites qui ont su élargir la base au départ très étroite de leur légitimité au cours du XIXe siècle, sont principalement

majorité parlementaire. L’argument est le suivant : une majorité parlementaire ne résulte que du regroupement d’un certain nombre de député élu dans le cadre de circonscription territorialement limitées. Cette légitimité n’est pas nationale mais elle n’est que le fruit d’alliance dont on sait par expérience qu’elles sont aléatoires. Serait-il alors logique, qu’un président élu par la nation toute entière démissionne en cas d’élection législative contraire la nouvelle majorité parlementaire pouvant