Mondanité

littéraire est interrompue par la Première Guerre mondiale, durant laquelle il sert dans un hôpital de la Croix-Rouge des Balkans. Après la Victoire de 1918, il reprend ses activités et publie, en 1922, Le Baiser au lépreux. Dans une vie marquée par des mondanités littéraires (jeune, il fréquente les salons, notamment celui de Natalie Clifford Barney) autant que par des engagements politiques, guidés notamment par un idéal chrétien socialisant (il suit un temps le Sillon de Marc Sangnier et s'oppose à l'Action

partir sa fille rejoindre Rahinna qui mène une vie luxueuse grâce aux revenus de son époux, cela au milieu d’une cour où personnages importants, imposteurs et parasites sont entretenus. Grisée par un quotidien fait de flâneries, de richesses, de mondanités et de fêtes, à mille lieues des besognes villageoises, Maïmouna plus belle que jamais ne prend pas conscience qu’elle devient un objet de convoitise. Très vite, les prétendants au mariage se bousculent. Rahinna veille à ce que sa cadette soit l’épouse

+ l.15 «Lecteur» l 1; l 14 C’est paradoxal car il s’adresse au lecteur d’entrée de jeu mais démentit l’identité du destinataire «Tu» l.13 + l.15 Cette familiarité montre que Montaigne aime son lecteur + légèreté Il se fiche des mondanités «Aucune fin, que domestique et privée» l.2 Montaigne nous congédie et prétend que ses proches sont les seules destinataires de son oeuvre «Je n’y ai nulle considération de ton service ni de ma gloire» l.3 :

gagner plus d'argent. L'extrait étudié se situe entre les lignes 1et 78 de l'œuvre. Nous allons mettre en évidence l'ambiguïté du contexte spatio-temporel de l'incipit ainsi que son caractère "in media rès", et l'attitude aristocratique et les mondanités présentes dans la vie de Renée. Premièrement, lors de la première lecture de l'extrait, nous sommes littéralement plongés dans un récit dont nous ne connaissons pas le début. Le lecteur est confronté à une absence quasi-totale d'éléments qualifiants

dorée qui voudrait que la France n'ait été peuplée que de sportmen juchés sur des De Dion-Bouton et de femmes habillées par Worth et Fortuny. À la recherche du temps perdu de Proust ne serait qu'une évocation minutieuse des rites et fastes de la mondanité ; un temps véritablement perdu où les Guermantes et les Verdurin incarnaient deux constellations inconciliables. D'autres mémorialistes accréditent la légende noire, qui n'est pas incompatible avec l'autre : celle du « stupide XIXe siècle » (Léon

Avec le second abbé, la satire est féroce avec le propos du baron : « il faut combattre ces hommes là, c’est notre droit et notre devoir. Ils ne sont pas humains ». Puis sociale, par rapport à la noblesse, classe en déclin, apparences de fausse mondanités. La ruine des Perthuis des Vauds en témoigne. Enfin sentimentale, à travers la dure réalité. Le roman est alors un « anti roman d’apprentissage » : Jeanne n’apprend guère de ces épreuves et s’enferme quand elle est quasi abandonnée de tous, déréliction

dans la vie politique de son pays, notamment dans l'affaire Dreyfus pour laquelle il écrira son fameux « J'accuse...! » dans le quotidien l'Aurore. Sans peur de l'engagement, il liera aussi de profondes amitiés dans tous les milieux, refusant les mondanités. C'est dans cet esprit de la cause juste qu'il écrit Germinal, paru en 1884. Germinal est un mois du calendrier républicain qui annonce le printemps, la renaissance du monde. La germination (Germinal) des plantes devient alors la métaphore de la

fiacre (partie III) donne lieu à un procès car elle fait outrage aux bonnes mœurs et à la religion. Flaubert gagne le procès. 1857 : publication en livre qui connait un succès et reçoit en général de très bonne critique. Flaubert accepte les mondanités à Paris, et se lie d’amitié avec certains de ses contemporains. Il est célèbre. 1858 : voyage à Carthage. Il a la volonté d’écrire un livre sur l’Antiquité, fait des recherches, puis commence l’écriture. 1862 : publication de Salammbô un énorme

FRANCAIS: Lecture cursive Livre choisi: Carmen , Mérimée I Biographie de l'auteur Prosper Mérimée naît à Paris le 27 septembre 1803, au sein d'une famille cultivée et suit des études de droits. Adepte des salons littéraires et des mondanités, il côtoie les grandes plumes de l'époque, telles que Hugo, Musset ou Stendhal, dont il s'inspirera souvent. Mystificateur de la littérature, il réalise des pièces théâtrales (le Théâtre de Clara Gazul, 1825) puis s'attelle à la rédaction d'un ouvrage

jusqu'à éclater »Il se coupe de son auditoire : il rit « le premier » de ses « historiettes » (suffixe dépréciatif – petites histoires sans intérêt). ==> Arrias ne respecte pas les bienséances contredit le code de l'honnête homme, de la mondanité. La Bruyère se moque de ce « mondain » qui ment par pure vanité. Ce portrait constitue un blâme qui vise un défaut moral et social. II. La satire d'un vaniteux Un vaniteux piégé - Outre l'irrespect des bienséances, Arrias est