Mondanité

effet de surprise majeur et réactive le scénario privé à l'intérieur de la fresque historique. 7. Observez la métamorphose de Roxane dans la scène 5 (v. 1981). Expliquez cette évolution. Dans la scène 5, Roxane, la jeune précieuse, habituée aux mondanités parisienne, s'est transformée en vivandière...de salon. Roxane reste une précieuse (elle sert le roi de l'Amour, v.1933). Face aux trois hommes épris d'elle, interloqués, et à un régiment, elle reste femme et s'adapte admirablement à la situation

termes auxquels elle associe l’amour humain: la « souffrance » (l.6), éphémère et périssable (l.6), et peu fiable voir traître (l.7). Au contraire de ceux qu’elle employait auparavant pour la religion. Ces relations sont celles du monde, des mondanités comme le sous entend son emploi de « vie » (l.14). Et si, comme je l’ai dit plus tôt, elle se sait différente, elle n’oblige pas

salle réservée aux spectateurs les plus modestes. 7. En fait les acteurs. 8. Il s'agit de jeunes gens, spectateurs peu attentifs qui vont de loge en loge pour saluer leurs occupants (spécialement les femmes), transformant le théâtre en un lieu de mondanités et de galanterie. 9. Aux salons attenants à la salle de spectacle. 10. Les actrices qui jouent les grands rôles tragiques passent pour avoir des mœurs légères. 11. Accessibles, peu farouches. TEXTE C – Voltaire, L'Ingénu, 1767. Chapitre neuvième

comme Verlaine ou sa sœur Camille). Enfances : passion de la campagne & hypersensibilité. Le « petit Liré » (château familial) en bord de Loire, rive droite, près d’ Angers, direction Nantes. Esprit tourmenté, enfance malheureuse Il a horreur des mondanités, de l’hypocrisie, du faste, des solennités. Surdité en avançant en âge. Perturbations et souffrances du jeune Paul qui débarque de Province à Paris (Lycée, ville, autre milieu).//déracinement de Joachim à Rome. Fréquentation des grands et du Pouvoir ;

à évacuer le sentiment pénible d’être hors-jeu. Les romans et les feuilletons jouent parfois de dissonances sociales entre images et personnages, comme Arsène Lupin le gentleman cambrioleur, véritable dandy qui inspire confiance et se mêle aux mondanités, ou Colombo, le célèbre inspecteur faisant respecter l’ordre moral dans les milieux chics, tout en passant régulièrement pour un marginal excentrique, voire une espèce de clochard. Utilisant ces principes, certains individus, ayant des difficultés

et savitesse de croisière tendance quarantièmes rugissants. Il plonge là où il ne faut pas aller, brasse des mots comme autant de coups de palmes, moquant (généralement) les hommes et les femmes politiques. « J'évite de les croiser. Je refuse les mondanités. Je ne veux ni sympathiser ni justifier mon travail. » Une précaution antiporosité qui le fait quitter le studiositôt commis son forfait comique. On le lui reproche, il s'en fout, comme il se fout des effets retours. Ni le président de Radio France

succès vers l'âge de 25 ans, mais il reçoit aussi des critiques pas tendres soulignant par exemple la superficialité de ses œuvres ou l'absence d'une ligne conductrice. • Pourtant, il est très apprécié du public. • Il est discret et vit isolé des mondanités et est entouré de ses proches. Il se mariera deux fois à des comédiennes et aura 4 enfants. • Il a élaboré une classification de ses œuvres par couleurs (œuvres rouges, vertes...). Il est connu pour Antigone, le voyageur sans bagage et Becket

dans d’autres oeuvres claudine et Valentine “belles de jour”, “de quoi a-t-on l’air” et “la guérison” pour Valentine et “le miroir” pour claudine → séjour à la mer “en marge d’une page blanche” et “partie de pêche” → monde des music-halls et des mondanités “printemps de la riviera” et “music-halls”→ annexes: féminité “maquillages” “amours” amour de C pour les animaux, en particulier la chatte, “un reve”, C reve qu’une chienne dialogue avec elle Ouvertures: ● Les malheurs de Sophie, comtesse de Ségur

poule d’admiration » (l. 9). On peut dire que l’auteur fait preuve ici d’autodérision. Son ironie, perceptible dès les premières lignes, prend également pour cible la promenade dominicale elle-même, désignée par la gradation « nos villégiatures, nos mondanités, nos chasses à courre » (l. 4). L’antiphrase sert ici à souligner que ce simple tour en tramway à trois sous était le seul loisir, la seule fantaisie que la famille Cohen pouvait s’offrir. Avec le recul, ces sorties du dimanche lui semblent bien

par le patriotisme, le dévouement à la grande cause nationale ou la nécessité qui fait la loi (il faut bien vivre et faire vivre ceux qui dépendent d’elles). Dans la majorité des cas, le quotidien ne se prête plus aux effets de toilettes ou aux mondanités. Optant pour la sobriété, un raffinement discret pour être en accord avec le deuil patriotique, ou bien pour une allure émancipée de celles livrées à elle-même, une extravagance pour montrer qu’une nouvelle aire est arrivée, les françaises s’expriment